Certaines personnes décrivent le Machiah comme un « Singe » et l’assimilent à l’Antéchrist du Nouveau Testament.
Pourquoi un singe ? Car de nombreux écrits catholiques comparent Satan à un singe, qui « singe » Dieu, prenant les apparences de Dieu, l’imitant, afin de tromper les hommes.
Tertullien, théologien chrétien, déclara que « Satan est le Singe de Dieu ».
Il est intéressant de noter que dans le Judaïsme, le Machiah est également comparé à un « singeur ». En effet, la Kabbalah nous enseigne que l’âme du Machiah vient d’Atik, le niveau supérieur de la sefira Keter (Couronne).
L’animal symbole de la GauLe, la France, est le coq, TarneGoL תרנגול en hébreu.
Le coq possède la Binah, il est le premier à distinguer le jour de la nuit.
La guematria (valeur numérique) de la ragine GaL גל est de 33.
33 est l’indicatif téléphonique international de la France.
33 est le 137ème nombre premier.
Guematria de Kabbalah קבלה = 137
Le « Yetser Ara » (mauvais penchant) dominant en France (Tsarfat) est la débauche (« Pritsout »).
C’est la raison pour laquelle « Cock » en anglais familier signifie le sexe masculin, le penis.
Penis = Panis (« pain » en latin).
Par euphémisme le judaisme assimile le pain au sexe (Talmud Sanhedrin 75a).
La racine indo-européenne « G-h-el » signifie « Chanter » / « Crier » / « Lancer au loin »
« Coq » se dit « TarneGol » en hébreu, « Gallus » en latin, et « Rooster » en anglais.
« Gallus » en latin se lit comme « Galout » (prononciation ashkénaze) qui signifie « Exil » en hébreu..
« Rooster » peut se lire « Roue » + « Ster » (« caché » en hébreu). Le coq, c’est la « roue cachée ».
« La cervelle du coq est faite en forme d’un crapaud bien formé et qu’étant renversé de l’autre côté elle ressemble à une fleur de lys, qui sont les armes des Français et des Gaulois. » (Blaise de Vigenère, diplomate-alchimiste du XVIème siècle)
Tarn(Tourne)Gol.
Guematria pleine de « Tarnegol » (תרנגול)
= 1201
« Reviens, ô mon âme, à ta quiétude, car l’Eternel te comble de ses bienfaits. » (Tehilim / Psaume 116:7)
Une des clés de la Sagesse est la connaissance des chants d’oiseaux.
« Quand la prophétie se tait, le ciel parle par la voix des sages. À défaut de sages, l’avenir est révélé dans les songes, et, à défaut de songes, on peut le lire dans le chant des oiseaux. » (Zohar I, 183b)
« Oiseau témoin, oiseau signe, oiseau messager, oiseau dans le nid caché où le Messie attend son heure. » (Zohar II, 8b)
Par exemple, les canaris émettent des sons composés de 25 à 30 syllabes différentes. Chacune dure de 20 à 200 millisecondes. La répétition de ces syllabes forment des phrases (entre 500ms et 3s) qui elles-mêmes forment un chant (entre 5s et 15s).
On ne peut décrire Dieu par des théories soignées et faciles à comprendre.
Dieu est au delà de « ou » / « parce que » / « soit » / « donc » etc…
Dieu est au-delà des logiques.
Le libre-arbitre et le déterminisme existent simultanément. La vie est à la fois un monologue et un dialogue.
Si tu ne crois pas que tu peux changer toi-même et le monde qui t’entoure, alors tu es encore comme un esclave en Egypte.
Les Enfants d’Israel sortis d’Egypte ont dû accepter de tout abandonner, de relever le défi de laisser derrière eux leur ancienne logique de pensée.
Personne n’est banal. Chaque être humain a en lui des pouvoirs spécifiques à son âme, des pouvoirs souvent insoupçonnés.
L’Egypte (« Mitsraïm ») est une « Galout » (exil en hébreu), un « Goulet » (passage étroit), un « Goulot d’étranglement » (point d’un système limitant les performances globales d’un flux de production).
Sors d’Egypte !
Sors des limites, arrête d’imiter.
Sois toi-même.
Sors de « l’imite ».
Sois toi-même : cultive et fais resplendir ta propre personnalité, ne cherche pas à toujours rentrer dans le moule, ne sois pas un « être-on ».
« Faire d’un adversaire un allié constitue la plus complète et la plus efficace des victoires. » (Rabbi de Loubavitch)
L’Adversaire = Satan / Samael, le Mauvais Penchant, l’Ange de la Mort.
Dieu gère le monde seul. Tout provient de Lui, même le mal, l’Adversaire, illusion qui n’a été créée par Dieu que pour permettre le libre arbitre et nous donner du mérite.
Sans adversaire, il n’y a pas de victoire.
Cela signifie que nous reconnaissons que même le mal, même la mort, ont été créés par Dieu. Il n’y a rien d’autre que Lui.
La Kabbalah nous enseigne que nous pouvons dompter notre mauvais penchant (l’une des formes du Satan) jusqu’à l’utiliser pour faire le bien.
« En cette année jubilaire vous rentrerez chacun dans votre possession. » (Lév. 25:13)
Interprétant un passage du Zohar (1:138b), où il est écrit que le mot « Zot » זאת, « cette », a pour guematria 408 , de nombreux cabalistes proclamèrent l’année 5408 (1648) celle de la Délivrance finale.
Ce fut le contraire qui se produisit cette année là, en 5408. L’année 5408 devint ‘l’année de la terreur ». Les Cosaques, commandés par Chmielnicki, provoquèrent des pogroms atroces. Plus de 100 000 Juifs furent massacrés.
« La Pénitence (Techouva), la Prière (Tefilah), et la Charité (Tsedakah) atténuent la sévérité du jugement » (Ounetané Tokef, prière de Rosh Hashana et de Yom Kipour).
Dans les livres de prières, les mots Techouva, Tefilah et Tsesaka sont surmontés des mots Tsom, Kol et Mamon.
Ces 3 mots, Tsom צום (jeûne), Kol קול (voix), et Mamon ממון (argent), ont chacun exactement une valeur numérique de 136.
Ensemble, leur guematria est de 408.
Tsom + Kol + Mamon = 408
Il est écrit que le jour de Yol Kipour Aaron entrait dans le Sanctuaire avec « cette chose » (Lévitique 16, 3).
Aaron avait de nombreux ustensiles. Pourquoi est-il écrit « Zot » (cette) et non pas « Élé » (ces) ?
Car il y a 3 voies de repentir : Techouva, Tefilah, et Tsom.
Qassem Soleimani
קאסם סולימאני
Guematria = 408
Qassem Soleimani, général iranien, commandant de la Force Al Qods, est actuellement l’une des personnes qui fait peser le plus de menaces sur Israel.
Yom Kippour approche. Le véritable repentir écarte de tous les dangers.
Notre « possession » c’est « notre âme, qui est notre propriété et notre patrimoine » (Zohar I 139b).
Le « Zot » de « En cette année » fait avant tout référence à la Techouva, la Tefilah, et la Tsedakah, les 3 voies de la repentance qui permettent de « revenir à son âme ».
Pain (qui vient de « panis » en latin) est un homonyme du mot anglais « Pain » qui signifie « Douleur ».
Pourquoi la douleur ? Car lors de l’exil, l’homme doit gagner sa vie, son pain, « à la sueur de son front ».
Les Pains de Proposition « Lehem HaPanim » לחם הפנים, ou « Pain des Faces » correspondent eux aussi à la Douleur, ils sont associés à la sefirah Gvourah (la Rigueur). Dans le Temple, la table des Pains de Proposition était située au Nord, direction également liée à la Gvourah.
Guematria du Nom de Dieu YHVH יהוה
= 26
Pain (Lehem) לחם
= 78
Pain = YHVH X 3
Une des explications du sens du mot « Pain des Faces » (Lehem HaPanim) est que ces pains avaient la forme des Kerouvim (Chérubins), les anges situés sur l’Arche.
Ces anges se faisaient Face à Face.
La racine indo-européenne PAN signifie « Vêtement », « Voile », « Textile ».
En hawaïen, Face (« Panim » en hébreu) se dit « Maka » qui veut dire « Coup » en hébreu. Nous retrouvons ici le lien entre Pain et Coup (Le’hem HaPanim / Face / Pain dans la Gueule).
Même le hawaïen peut nous aider à percer les secrets de la Torah.
הוואי / Shem Havaye / YHVH
Si on étudie le mot de façon plus profonde, c’est à dire en « cassant la klipa » et en remontant à La Source, les Pains de Proposition, ou « Pain des Faces », correspondent, en argot français, au « PAIN dans la GUEULE », qui nous renvoie à nouveau à la Gvourah (Rigueur Divine).
Le japonais (yaPaNit) est lié à la sefira Gevourah. EN japonais, « Visage » se dit « Kao » 顔 (prononcer comme « K.O. » ou « Chaos »).
Le’hem HaPanim
Pains dans la Gueule
Proposition de la « Mafia » (« Boulangerie » en hébreu)
BoulAnge
Baker / BaCœuR / KRV
La Hassidout, la Kabbalah, nous enseignent que la Présence Divine se cache dans les choses les + grossières.
D’une façon surprenante, lors de la Délivrance finale, nous verrons que même les paroles « grossières » que nous avons apprises permettent d’apprendre la Sagesse Cachée.
« Pan » signifie « Gueule » / « Visage » en anglais (argot ancien).
Vignettes Panini : visages de joueurs de football.
« Elohim dit : Faisons l’homme à notre image » (Gen 1:26)
וַיֹּאמֶר אֱלֹהִים, נַעֲשֶׂה אָדָם בְּצַלְמֵנוּ
« à notre image » = « betsalmenou »
Tsal / Tsèle (צַלְ) signifie « Ombre ». Selon certains avis il est préférable de traduire le verset ainsi : « Faisons l’Homme dans notre ombre ».
À la manière de l’Ombre, qui est l’absence de lumiére, le Nom naît grâce au « tsimtsoum », le « retrait » de la Lumière Divine permettant la Création.
Il existe de nombreux Noms Divins, les plus connus étant YHVH et Elohim. Mais au-dessus d’un certain niveau, il n’y a plus de mots, il n’y a plus de Nom, car la compréhension de l’Essence Divine, la Lumière, y est trop aveuglante.
Résumé du Discours du Rabbi de Loubavitch sur la Paracha Vayechev (23 Kislev 5752 / 30 juin 1991).
La ‘Hassidout enseigne que, bien que la dispersion des Enfants d’Israël aux quatre coins du monde apparaisse superficiellement comme un sujet négatif, il s’agit en réalité d’un bienfait de Dieu.
Les Sages ont dit à ce propos « Dieu a fait preuve de charité en dispersant les Enfants d’Israël parmi les nations » (Talmud Pessa’him 87b). En effet, en y étant établis de façon stable, les Juifs imprègnent leurs pays de résidence respectifs de la Torah et des Mitsvot, d’une manière qui dépend des modalités et des us propres à la nature de chaque endroit. Le Midrach stipule en effet « Lorsque tu te rends dans une cité, adoptes-en les usages » (Chemot Rabbah, 47, 5) (dans le respect des lois de la Torah). On retrouve cela dans la Halakha : «Un principe fondamental des règles du commerce veut que les affaires soient traitées dans la langue des habitants de l’endroit et d’après la coutume locale» (Maïmonide, lois relatives au commerce). Ainsi la Torah confère-t-elle une importance particulière et une force juridique à la coutume locale non-juive.
Cela permet de comprendre l’importance du fait que des Juifs se soient établis en de si nombreux endroits : c’est précisément lorsque l’on est implanté dans un certain milieu et que l’on en maîtrise parfaitement les usages que l’on crée pleinement « une demeure pour Dieu dans les mondes inférieurs » (Midrach Tan’houma). Le fait que le Midrach utilise l’expression plurielle « les mondes inférieurs » pour désigner le monde matériel montre qu’il est important que ce travail soit réalisé dans chaque endroit, conformément à la coutume locale. En effet, chaque endroit étant caractérisé par une mentalité et une façon de vivre spécifiques, ce n’est qu’en y étant parfaitement intégré que l’on peut l’influencer de l’intérieur.
L’Arbre de Vie (Etz Ha’Haïm) עץ החיים = 70+90+5+8+10+10+40 = 233
La Lumière de Dieu (« Or HaShem ») אור יהוה = 1+6+200+10+5+6+5 = 233
233 est un nombre de Fibonacci.
« L’Éternel-Dieu fit surgir du sol toute espèce d’arbres, beaux à voir et propres à la nourriture ; et l’Arbre de Vie au milieu du jardin, avec l’arbre de la science du bien et du mal. » (Bereshit / Genèse 2:9)
« Regel », pied, a la même guematria que « Ets HaHaïm », L’Arbre de Vie, qui resplendit lorsque la Sefirah Malkhout, la Shekhinah, est libérée.
Nous retrouvons la lettre Resh, 200, qui représente la dualité cosmologique et la racine GAL, 33, (Galout, Gueoula, Goel, etc.).
Les mots « Règle » et « Roi » ont la même racine indo-européenne : Reg. Le Maître du Monde fait de nous des rois/reines lorsque nous sommes droits et sublimons la sefirah Malkhout (symbolisée par le pied, « ReGeL »).
En français, plusieurs expressions liées aux pieds expriment le plaisir (« c’est le pied », « prendre son pied »,…), et en hébreu le mot REGEL רגל signifie également Fête. Les SHLOSHA REGALIM, sont les Trois Fêtes de Pèlerinage au Temple de Jerusalem, à savoir Pessah, Shavouot, et Souccot.
Le plaisir (« Taanoug ») vient du niveau le plus haut de l’Arbre de Vie, Keter, car lorsque le Corps, la Ressemblance, l’Arbre de Vie, fonctionne en Harmonie, de la tête aux pieds, il en découle un plaisir dans les plus hautes sphères célestes qui se déverse jusqu’à la Sefirah la plus basse, Malkhout.
Pour revenir aux français, le mot français « RIGOLe » vient du néerlandais regel « ligne droite », issu du latin regula « règle ». Une rigole est un conduit creusé au niveau du sol (Malkhout) et destiné à amener l’eau (les eaux d’en haut, Mayim Elyonim).
« Rivière » se dit « Gol » (гол) en langue mongole.
Un autre mot français, le verbe « RIGOLer », est également assimilé au plaisir. Il est dit que « Dieu a créé le monde dans un éclat de rire », et nous pourrons à nouveau ressentir cet éclat de rire lors de la Guéoula, lorsque les secrets de la Torah nous seront dévoilés et que les masques seront tombés, car le Goel (Sauveur) est Rigolo.
Le Nom de Dieu YHVH (יהוה) est formé des lettres Youd, Hé, Vav, et Hé. Le Youd est un « cadeau ». Le premier Hé la main qui donne. Le Vav représente la transmission. Le deuxième Hé la main qui reçoit. « Cadeau » se dit « Regal » en catalan. Quand le cadeau arrive dans les mains du deuxième Hé (ce Monde-ci), symbolisé par le pied (« Reguel » en hébreu), il en ressort une immense joie, un « régal ». Lors de la Délivrance Finale, chacun va « prendre son pied ».
Enfin, l’adjectif « RÉGALien » vient du latin « regalis » qui veut dire « royal ». Régalien signifie ce qui concerne, qui appartient en propre au Roi, au souverain, et est également lié à la Sefira Malkhout.
Pied / Foot / Faute
Pied se dit « Cos » en gaélique irlandais et signifie « Coupe » / « Verre » en hébreu (allusion à la sefira Malkhout, récipient par excellence de la Lumière Divine).
« Pied » se dit « Fotus » 𐍆𐍉𐍄𐌿𐍃 en Gothique, car Malkhout est comme un fœtus, comme un enfant qui n’est pas encore né.
Une langue liée au pied est le basque. « Pied » se dit « Oin » en basque.
« Pied » = פֿיס en Yiddish, et se prononce comme « Fils » (Zeir Anpin).
« Tout seul on va plus vite, à deux on va plus loin. » (Proverbe Yiddish)
Lors de la Délivrance Finale, quand le Nom de Dieu YHVH sera Un, lorsque le tikoun, la réparation du deuxième Hé aura été accompli, il en ressortira une grande joie, nous nous RÉGALerons.
Un jour viendra où chaque créature montera d’un niveau sur l’échelle spirituelle. Il est par exemple dit que notre corps se transformera progressivement en Lumière.
Ce sera le cas aussi pour toute la Création et les animaux s’élèveront au même niveau que les êtres humains actuels (Ari Zal, Shaar HaMitzvot).
Le Rav Kook explique qu’il est donc impensable que les sacrifices d’animaux aient lieu d’être quand il y aura le 3ème Temple (Otzarot HaReiyah).
Pourquoi tellement de personnages de dessins animés sont-ils des animaux se comportant comme des humains ? Peut-être est-ce une « préparation » à ces temps futurs ?
Le futur nous réserve bien des surprises et on peut déjà avoir un aperçu de ces choses en s’investissant dans la Torah.
Le talon est notamment composé de l’os du calcanéus. Le mot « calcanéus » vient du latin « calx » qui a la même étymologie indo-européenne que « coluber » (serpent).
« Talon » en hébreu : « Ekev » עקב Guematria (valeur numérique) = 70 + 100 + 2 = 172
= guematria du Nom de Dieu « Elohim » (86) X 2
Elohim est le Nom de Dieu qui génère et qui gère le monde physique, le monde de la dualité où le bien et le mal se divisent.
Les Dix Commandements qui figuraient sur les premières Tables de la Loi étaient composés de 172 mots.
Ehyeh אהיה Elohim אלהים Adonai אדני
Ehyeh + Elohim + Adonai = 21 + 86 + 65 = 172
Je ferai régner la haine entre toi et la femme, entre ta postérité et la sienne : celle-ci te visera à la tète, et toi, tu l’attaqueras au talon. (Genèse 3:15)
Le premier qui sortit était roux et tout son corps pareil à une pelisse ; on lui donna le nom d’Essav. Ensuite naquit son frère tenant de la main le talon d’Essav et on le nomma Jacob. Isaac avait soixante ans lors de leur naissance. (Genèse 25:25-26)
Le talon, partie la plus basse du corps, fait référence à la fin d’une ère, à la génération des temps messianiques que l’on appelle « talons du Machiah ».
Le « corps » d’Adam HaRishon contenait toutes les âmes. Celles contenues dans le talon sont celles qui ont chuté au plus profond des klipot (écorces d’impureté) et correspondent à notre génération. Ainsi, en notre temps, le mal semble plus fort.
Il est écrit dans le Tamud qu’à la fin des temps, beaucoup de gens fouleront du talon les commandements les plus importants.
Ce sont les talons qui maintiennent toute la structure du corps, de même notre génération maintient toutes celles qui l’ont précédées.
Le talon est également la partie du corps la moins sensible à la douleur.
Le poison et le remède se trouvent dans le talon.
Il faut faire briller la Lumière, et le mal sera automatiquement repoussé.
Ce qui est vrai dans nos coeurs inspirés et idéalistes doit s’exprimer jusque dans nos « talons », c’est à dire, jusque dans les aspects banals et ordinaires de notre vie. (Rabbi de Loubavitch)
Yayin, « vin » en hébreu, a pour valeur numérique 70, tout comme Sod, « secret ».
C’est par le foulage du raisin, par la force du talon, que sort le vin, c’est à dire les secrets de la Torah.
Vin / Yayin / Yah In Secret / Sacré / Se crée
Le vin / Levain / Lève Un / Lev Un
Nous nous trouvons dans la période qui précède immédiatement la venue de Machiah, dénommée celle du « talon du Machiah ». Le talon doit savoir qu’il est le talon. Quel rapport y a-t-il entre le talon et la réflexion ? Le principal est l’action concrète ! (Rabbi de Loubavitch)
C’est notre génération qui révélera pleinement le Divin à travers le monde matériel.
La force d’offrir son existence pour Dieu est plus importante pendant l’exil qu’à l’époque du Temple. Nous pouvons le comprendre en considérant le fonctionnement les membres du corps humain. Ceux-ci sont tous identiques, bien que différents dans leurs fonctions. Tous, en effet, sont vivifiés par le cerveau. Malgré cela, nous constatons qu’il est plus facile d’introduire le pied et surtout le talon plutôt que la tête, dans l’eau bouillante. On interprète cela généralement en disant que le talon ne ressent pas la douleur autant que la tête. Mais il nous faut comprendre le sens d’une telle explication. Pourquoi le talon est-il moins sensible à la douleur ? Ne reçoit-il pas de l’esprit la même vitalité que la tête ? L’Admour HaZaken explique, dans le Tanya, au chapitre 51, que cette vitalité réside essentiellement dans le cerveau. C’est de lui que chaque membre reçoit la force d’exister et de fonctionner. La vitalité divine se répand donc dans tous les membres du corps.
Dieu a donné à l’âme le pouvoir de distribuer la vie au corps, lui a enjoint de se revêtir d’une enveloppe physique. Il réalise des merveilles et unifie l’esprit et la matière en une existence unique. Dès lors, la vitalité qui habite le cerveau est parfaitement identique à celle qui se trouve dans le talon. Pourquoi le talon entre-t-il plus aisément que la tête dans l’eau bouillante ? Parce qu’il est plus soumis qu’elle à l’esprit. Plus un membre est situé dans la partie inférieure d’un corps et plus il est soumis à l’esprit.
De la même façon, pendant le temps de l’exil, surtout en cette période du talon du Machiah, la force de faire don de soi-même est beaucoup plus grande, se révèle beaucoup plus.
Rabbi Rayats – Sefer HaMaamarim Yiddish (premier discours).
A l’opposé, Amalek est comparé à une personne qui a une telle haine d’Israel et de la Torah qu’il saute dans l’eau bouillante pour nous « refroidir ». C’est la force du talon d’Adam Kadmon qui finira par annihiler Amalek.
Le talon est lié à la rectification du nom Elohim (la matière) à travers le nom YHVH (la transcendance).
Talon d’Achille עקב אכילס Guematria ordinale = 86 = Guematria du nom de Dieu « Elohim » אלהים
La Délivrance dépend de la « réparation » du nom de Dieu Elohim. Le nom Elohim non-réparé est la faiblesse fatale de l’Homme, son « talon d’Achille » ; et c’est son tikoun qui permet l’unification avec le nom YHVH.
Plus la racine de l’âme (shoresh neshama) d’une personne est élevée, plus son mauvais penchant (yetser hara) est grand. Plus on dompte son mauvais penchant en faisant le bien au lieu du mal, plus on utilise son libre-arbitre. On « ressemble » alors à Dieu.
« La faute du serpent primordial consista à unifier l’En-bas et à diviser l’En-haut. Il convient au-contraire de trancher dans l’En bas et de réunir dans l’En-haut. » (Zohar)
Le mot « Kodesh » / « Kadosh » est généralement traduit par « Saint », mais son sens exact est « Consacré », « Séparé ».
« Le secret du Mauvais Serpent est de descendre de l’En-haut vers l’en bas en nageant à la surface des eaux amères. Ce serpent habite dans le côté gauche, mais il existe par ailleurs un Serpent de Vie, habitant le côté droit. » (Livre du Zohar)
« Le souffle de Dieu planait au-dessus de la surface des eaux. » (Genèse / Bereshit 1:2)
Le « Souffle de Dieu » est une allusion au Serpent de Vie, au Machiah.
Valeur numérique du mot Machiah = valeur du mot Serpent (Nahash) = 358
Dans la vie, il faut savoir trancher, il faut savoir couper. Il faut « couper » pour faire un « keli » (récipient apte à recevoir la Présence Divine). Pour faire un kiddouch, il faut une Coupe.
En français, « Opiner » signifie « Dire son avis ».
« Opine EL » : pour trouver Sa Voie, l’âme doit savoir trancher.
Kabbalah, Gnose, Guematria, Anthropologie, Linguistique, Métaphysique, Langue des Oiseaux, Humour, Rock et Poésie.