Bacchus est un dieu romain correspondant à Dionysos. Le nom « Bacchus » vient du grec ancien « Bakos ». Βάκχος
En hébreu, « BaKos » veut dire « Dans le verre » בכוס
« Kos » (« Verre », « Coupe » qui représente la sefira Malkhout) כוס Guematria = 86 = guematria de Elohim אלהים
« Vin » se dit « Yayin » en hébreu יין Guematria = 70 = guematria de « Sod » (« Secret ») סוד
« Lorsque le vin rentre le secret sort. » (Talmud)
Le vin représente la spiritualité cachée qui doit être révélée.
70 + 1
« Liber », « Homme libre » en latin, est l’un des autres noms du culte de Dionysos / Bacchus. Le vin est partagé. Le secret se libère.
« Ivri » signifie « Hébreu », soit « Celui qui traverse », qui est libre et libère. עברי
#Liber #Ivri #Hébreu #Liberté
Dionysos דיוניסוס Guematria ordinale = 80 = guematria de la lettre Pé, qui représente la Bouche. פ Guematria classique = 206 = guematria de « Davar » (« Parole ») דבר
Guematria pleine de « Yayin » (« Vin ») = 146 יוד יוד נון = guematria de « Koli » (« Ma Voix ») קולי
« VeYavo Melekh HaKavod » (« Qu’Il entre, le Roi de Gloire ! ») (Psaumes 24:9) וְיָבֹא מֶלֶךְ הַכָּבוֹד Guematria = 146
« Yayin BaKos » (« Vin dans le Verre ») יין בכוס Guematria = 158 = guematria de « Nits’hi » (« Éternel ») נצחי
« Les contes du monde entier contiennent beaucoup de mystères et de choses cachées. » (Rabbi Nahman de Breslev)
« Fée » se dit « Feya » en hébreu פיה
« Feya » s’écrit comme le mot « Piya » (« Sa bouche », la bouche de la Terre) que l’on retrouve dans la Genèse : « Eh bien! tu es maudit à cause de cette terre, qui a ouvert Sa Bouche pour recevoir de ta main le sang de ton frère! » (Genèse 4:11) וְעַתָּה אָרוּר אָתָּה מִן הָאֲדָמָה אֲשֶׁר פָּצְתָה אֶת פִּיהָ לָקַחַת אֶת דְּמֵי אָחִיךָ מִיָּדֶךָ
Le monde en-chanté des fées peut nous aider à percer les secrets de la Voix de la Shekhina. La Fée, que l’on retrouve dans les contes et légendes, est liée à la Bouche, la Parole, mais aussi au Monde de l’Action (Assia), à la Terre, la Malkhout, la Shekhina (Présence Divine).
Pé / Fé est la 17ème lettre de l’alphabet hébreu. Elle signifie Bouche (« Pé »).
Les Fées, qui représentent les forces de la nature, sont connues pour dire « Abracadabra », formule où l’on retrouve les mots « Bara » (« Créé ») et « Dabra » (« Parlé »).
« Davar » signifie à la fois « Parole » et « Chose ». דבר Guematria ordinale = 26 = guematria du nom de Dieu YHVH יהוה
= guematria ordinale de l’écriture pleine de la lettre Mem (13 + 13) מם
Mem / Même / M’aime
#FéeFait
« Feya » (« Fée ») est l’anagramme de « Yafa » (« Belle ») יפה Guematria ordinale = 32 = guematria de « Lev » (« Cœur ») לב
Si on ajoute le Un, un Aleph, on obtient le mot « LeAv » (« Pour le Père ») לאב
« LeAv » à l’envers donne le mot « Be-EL » (« En Dieu ») באל
#Belle #BeEL #Lev #Cœur
« Feya » (« Fée ») פיה Guematria = 95 = guematria de « HaMayim » (« Les Eaux ») המים = anagramme de Mi, le Monde d’en haut + Ma, celui d’en bas מי מה
95ème commandement de la Torah : « Et ils me construiront un sanctuaire, pour que je réside au milieu d’eux » (Exode 25:8)
#EauxDEnBas
Les Fées des eaux sont universellement connues (sirène, vouivre, nymphe, dame du lac, etc.)
« HaMayim » (« Les Eaux ») Guematria pleine = 186 הא מם יוד מם = guematria pleine de la lettre Kouf, lettre représentant la descente vers l’en-bas. קוף = guematria de « Nympha » (« Nymphe ») avec le Kolel (185 + 1) נימפה
Guematria ordinale (avec finales, Mem sofit = 24) de l’écriture pleine de « HaMayim » = 100, soit la valeur de la lettre Kouf.
Guematria pleine de la lettre Mem, qui représente l’Eau = 80 מם = guematria de la lettre Pé (la Bouche) פ
« La Shekhina est en exil » et elle nous appelle. Pour délivrer la Princesse, nous devons réparer la Dimension féminine du monde et ainsi créer un Sanctuaire pour le Divin.
« L’Humanité sera sauvée par le langage, par les mots. » (Baal Shem Tov)
Le mot « Tronc » vient du latin « Truncus » (« Coupé », « Tronqué »)
« Tronc » a donné l’anglais « Trunk » qui signifie « Coffre ».
« Coffre » est proche du mot hébreu « Koufsa » (« Boîte ») קופסא
On retrouve dans « Koufsa » l’épélation de la lettre Kouf. La lettre Kouf est la seule non finale à descendre sous la ligne d’écriture. Le Zohar parle d’elle négativement (Zohar I 2b) : elle est une lettre du mensonge car elle tronque la lettre Hé, lettre du nom de Dieu.
En hébreu, un « Kofèr » est une personne qui tronque la Torah כופר
« Kapèr », la racine de « Kipour » signifie « Recouvrir » כפר
« Tronc » se dit « Gueza » en hébreu. גזע
Guematria ordinale = 26 = guematria du nom de Dieu YHVH יהוה
Guematria classique = 80 = guematria de la lettre Peh, qui représente la bouche. פ = guematria de « Yessod », sefira représentant les fondations, la transmission. יסוד
Ouvre le Coffre et tu verras la Lumière. Capiche ?
« Au commencement Elohim créa le ciel et la terre » (Genèse 1:1) בראשית ברא אלהים את השמיים ואת הארץ
« Bereshite Bara Elohim Èt HaShamayim VéÈt HaArets » (Phonétique)
Les premiers mots de la Bible peuvent se traduire ainsi :
« Au commencement Elohim créa Aleph Tav ».
Aleph est la première lettre de l’alphabet hébreu, Tav la dernière.
« Èt » s’écrit Aleph + Tav et est une préposition introduisant le complément d’objet défini ou l’accompagnement.
Aleph + Tav (prononcé « Ate ») signifie également « Tu » au féminin.
En anglais, « At » permet de situer le nom dans l’espace et dans le temps.
En latin, « At » est une conjonction qui marque, comme liaison logique, l’opposition : « Mais », « Cependant », « Au contraire ».
En hébreu « Èt » signifie également une « Bêche ». En hébreu « BeEsh » signfie « Dans le Feu » באש .
Une Bêche permet de faire une opération de retournement pour enrichir le sol en matière organique.
« Au commencement Dieu créa la Bêche. »
#Bereshit #BritEsh
Si nous inversons Aleph et Tav, nous obtenons le mot « Ta » qui signifie « Cellule » en hébreu.
Un nouveau sens de la première phrase de la Bible apparaît : « Au commencement Elohim créa la cellule. »
#Cellule #Cell #Celle #Shekhina
Le nom de Dieu Elohim est lié à la Nature et à ses forces.
En français, « Ta » est un déterminant marquant la possession d’un objet (de genre féminin) appartenant à celui (de nombre singulier) à qui l’on parle.
Réparer le monde signifie intégrer le nom Elohim dans le nom YHVH, l’immanence dans la transcendance : réparer la Dimension Féminine du Monde.
En français, le pronom féminin « Celle » est utilisé pour remplacer la personne ou la chose dont on parle.
En bambara (langue parlée au Mali), « Ta » signifie « Feu ».
Une « Cellule » (« Cell » en anglais) désigne également une pièce désignée pour enfermer quelqu’un. Intégrer le nom Elohim dans le nom YHVH consiste à « sortir de sa cellule », de sa prison. Nous sommes prisonniers de la prison que nous nous sommes nous-mêmes construite. Les murs de cette prison sont les murs artificiels séparant le Matériel et le Spirituel.