Les racines indo-européennes « Sam » (« Saison », « Année ») et « Sem » (« Un » / « Uni ») renvoient à l’idée de Cycle et d’Unité. On retrouve ces racines dans les mots « Sommaire », « Somme », « Semaine », « Summer » (été), « Same » (identique), etc…
Le terme sanskrit « Samsara » (संसार « ensemble de ce qui circule ») désigne le cycle des réincarnations conditionné par le karma.
Samsara סמסרה Guematria = 365
La Terre tourne autour du Soleil en 365 jours.
En hébreu, « Samsara » peut se lire ainsi :
SAM (Samekh Mem, le nom du Satan) + SAR (racine Samekh Resh, « Tourner », « Renverser ») + lettre Hé (qui représente la Malkhout).
Dans le bouddhisme, le Samsara est le cycle des existences conditionnées successives, soumises à la souffrance, à l’attachement et à l’ignorance.
« EL » est l’un des noms de Dieu figurant dans la Torah.
En ancien français, « EL » signifie « Dans le » (composé de « en » et de « le »).
En espagnol et en catalan, « EL » signifie « Le » / « La » et vient du latin « Ille ». « Ille » veut dire « Cela », « Il », et désigne quelque chose d’éloigné (apparenté à « Ultra » / Au-delà , « Alius » / Autre, etc.).
Ecrit phonétiquement en hébreu, « La » (français ou espagnol) s’écrit avec les lettres Lamed et Hé. לה Lamed représente la direction, Hé le Nom Complet de Dieu (« Hé » de « HaShem »), la Shekhina.
Ani/Hou – Je/Il
Une voyelle suivie de la consonne L indique un objet à l’écart (racines indo-européennes)
Il, Elle, …EL
י/אל
En français, le suffixe « EL » sert à former des adjectifs ou de diminutif. Le suffixe « EL » vient du latin « Ellus » qui adonné pour dérivés -EL et -EAU en français.
EL et EAU : les eaux d’en bas.
En tboli (ou tagabili, langue austronésienne parlée dans le sud de l’île de Mindanao aux Philippines), « ÉL » signifie « Eau ».
« EL » est le symbole de l’exalitre, correspondant au volume de l’eau dans tous les océans de la Terre.
Les « Ailes » désignent les parties éloignées d’un axe.
En hongrois, « ÉL » désigne les bords d’une surface.
« Elle » est un pronom personnel Féminin. C’est la Dimension Féminine du monde qui est « éloignée » et que nous devons « délivrer ».
En pitcairnais (langue créole née du contact entre l’anglais et le tahitien), « EL » signifie « Pouvoir », « Etre capable de ».
Guematria classique = 262 = guematria de « Dibarnou » (« Nous avons parlé ») דברנו = guematria de « HaAron » (« L’Arche ») הארון
La lettre Hé en début de mot correspond à l’article défini. La quatrième lettre du nom de Dieu YHVH, Hé, représente la Shekhina. Lorsque un Hé est placé en début de mot, sa valeur numérique correspond à son intériorité. L’intériorité de l’Arche, c’est la Shekhina.
« Orgazmah » est constitué de 7 lettres, le chiffre 7 symbolisant la Malkhout (Shekhina, Présence Divine, Dimension Féminine).
Les 3 premières lettres du mot « Orgazmah », Aleph + Vav + Resh, forment le mot « Or » (« Lumière »). אור
Les 4 dernières lettres sont l’anagramme de « Gam Zeh » (« Ça aussi ») גם זה
La Shekhina dit « Je suis noire, ô filles de Jérusalem. » (Cantique des Cantiques 1:5) car lors de l’Exil la Lumière est voilée.
La Délivrance / Géoula est similaire à un « Orgasme » car la Lumière ne sera plus voilée. « Ça aussi » (le « Ma », le Monde d’En bas, aussi) ne sera plus voilé.
« Gam zeh » (« Ça aussi ») גם זה Guematria = 55 = guematria de « Kalah » (« Épouse ») כלה
#MeToo #MeTwo
La Shekhina, la Présence Divine, est comparée à une Épouse que nous devons « illuminer ».
« Parfum » se dit « Bossem » en hébreu. בושם Les deux premières lettres du mot Bossem, Beth et Vav, forment le mot « Bo » qui signifie « En lui ». בו Les deux dernières lettres forment le mot « Shem », le « Nom ». בושם
« Bossem » est l’anagramme de « Mashov » qui signifie « Réaction », « Rétroaction ». משוב
« Au commencement Elohim créa le ciel et la terre » (Genèse 1:1) בראשית ברא אלהים את השמיים ואת הארץ
« Bereshite Bara Elohim Èt HaShamayim VéÈt HaArets » (Phonétique)
Les premiers mots de la Bible peuvent se traduire ainsi :
« Au commencement Elohim créa Aleph Tav ».
Aleph est la première lettre de l’alphabet hébreu, Tav la dernière.
Le créateur du monde (soir le démiurge / le diable / le diviseur) divise les cellules.
« Èt » s’écrit Aleph + Tav et est une préposition introduisant le complément d’objet défini ou l’accompagnement.
Aleph + Tav (prononcé « Ate ») signifie également « Tu » au féminin.
En anglais, « At » permet de situer le nom dans l’espace et dans le temps.
En latin, « At » est une conjonction qui marque, comme liaison logique, l’opposition : « Mais », « Cependant », « Au contraire ».
En hébreu « Èt » signifie également une « Bêche ». En hébreu « BeEsh » signfie « Dans le Feu » באש .
Une Bêche permet de faire une opération de retournement pour enrichir le sol en matière organique.
« Au commencement Dieu créa la Bêche. »
#Bereshit #BritEsh
Si nous inversons Aleph et Tav, nous obtenons le mot « Ta » qui signifie « Cellule » en hébreu.
Un nouveau sens de la première phrase de la Bible apparaît : « Au commencement Elohim créa la cellule. »
#Cellule #Cell #Celle #Shekhina
« Il est écrit : « YHVH Elohim a formé ÈT l’homme » (Genèse 2:7). « ÈT l’homme » indique ici qu’il faut inclure toutes les forces qui sont en lui. » (Zohar Bereshit, Midrash HaNeelam 17c)
Le nom de Dieu Elohim est lié à la Nature et à ses forces.
En français, « Ta » est un déterminant marquant la possession d’un objet (de genre féminin) appartenant à celui (de nombre singulier) à qui l’on parle.
Réparer le monde signifie intégrer le nom Elohim dans le nom YHVH, l’immanence dans la transcendance : réparer la Dimension Féminine du Monde.
En français, le pronom féminin « Celle » est utilisé pour remplacer la personne ou la chose dont on parle.
En bambara (langue parlée au Mali), « Ta » signifie « Feu ».
Une « Cellule » (« Cell » en anglais) désigne également une pièce désignée pour enfermer quelqu’un. Intégrer le nom Elohim dans le nom YHVH consiste à « sortir de sa cellule », de sa prison. Nous sommes prisonniers de la prison que nous nous sommes nous-mêmes construite. Les murs de cette prison sont les murs artificiels séparant le Matériel et le Spirituel.
En hébreu, les mots « Amen » et « Omane » (« Artiste ») s’écrivent de la même façon. אמן
« Amen » s’écrit Aleph Mem Noun et est l’acronyme de « El Melekh Nééman », qui signifie « Dieu est un Roi Fidèle ».
Dieu est fidèle, même si cela est parfois difficile à réaliser durant l’exil.
Lors de la Délivrance Finale, nous réaliserons que tout le mal dans ce monde, toutes les difficultés et épreuves que nous avons subies sont incluses dans le Plan Divin et étaient pour notre bien.
L’Oeuvre d’Art Divine d’HaShem, l’Artiste Fidèle, sera Une.
L’essieu d’une voiture supporte les organes de commande des roues motrices.
« Essieu » se dit « Tsir » en hébreu. ציר Guematria = 300 = guematria de « Roua’h Elohim » (« L’Esprit de Dieu ») רוח אלהים = guematria de la lettre Shin, qui représente le Feu. ש
« Or la terre n’était que solitude et chaos ; des ténèbres couvraient la face de l’abîme, et le souffle de Dieu planait à la surface des eaux. » (Genèse 1:2)
« Le souffle de Dieu » est une allusion au Machiah.
« EHYEH ASHER EHYEH » signifie « Je serai celui qui sera » (Exode 3:14). אֶהְיֶה אֲשֶׁר אֶהְיֶה
Le nom de Dieu « EHYEH » correspond à la sefirah Keter (Couronne).
אהיה
« Oreiller » se dit « Karite » en hébreu et est l’anagramme de « Keteri » qui signifie « Ma couronne ». כרית / כתרי
L’Oreiller supporte la Tête. L’Or-EHYEH est synonyme de « Coussin ». Le son « Cou » fait référence au nom de Dieu YHVH (Kaf+Vav = 26). Coussin =YHVH Saint.
Rêve EHYEH = Traverse Un = Tu d’Or !
Lors de la Délivrance Finale, la Lumière ne sera plus cachée et il sera l’Or pour l’Homme de se réveiller.
Un Quiproquo (du latin « Quid pro quo » : « Une chose contre une autre ») est un malentendu où l’on prend un être vivant, un objet ou une situation pour une autre. Erreur aux conséquences potentiellement graves dans la réalité.
« Quiproquo » se dit « I Havanah » en hébreu.
Dieu serait-il un fumeur de havane ? Pour éviter les quiproquos, disséquons le mot :
« I Havanah » (« Quiproquo ») אי הבנה Guematria ordinale = 37 Guematria classique = 73
Une fois le mot disséqué, utilisons la Sagesse.
« Sagesse » se dit « Khokhmah » en hébreu.
« Khokhmah » est l’anagramme de « Koakh Mah » (« Force du Quoi »). En kabbalah, « Qui » représente le Monde d’en haut, « Quoi » celui d’en bas, le monde de l’action. La Sagesse est « Force du Quoi » car c’est en elle que se trouve le potentiel de l’Action concrète.
« Sagesse » et « Quiproquo » partagent exactement les mêmes guematriot (valeurs numériques) à la fois ordinales et classiques.
« Au Commencement Dieu créa le Ciel et la Terre. » (Bereshit / Genèse 1:1) בראשית ברא אלהים את השמים ואת הארץ Guematria du verset = 2701 = 37 X 73
« Le commencement de la sagesse, c’est la crainte du Seigneur » (Proverbes 9:10)
« T’hilat Khokhmah » (« Commencement de la Sagesse ») תְּחִלַּת חָכְמָה Guematria = 911 = guematria de « Reshit » (« Premier ») ראשית
Pour éviter les quiproquos, nous devons briser la barrière artificielle entre le Spirituel et le Matériel, le Ciel et la Terre, Dieu et l’Homme,…
« Il fit dans l’enceinte du Saint des Saints deux chérubins, artistement sculptés, qu’on recouvrit d’or. » (Chroniques II 3:10)
וַיַּעַשׂ בְּבֵית קֹדֶשׁ הַקֳּדָשִׁים כְּרוּבִים שְׁנַיִם מַעֲשֵׂה צַעֲצֻעִים וַיְצַפּוּ אֹתָם זָהָב
« Ça ne tient qu’à vous. À vous de voir, je ne peux vous dire que ce que je ferais si j’étais à votre place.
…Si j’étais à votre place ! Mais que dis-je ? Allez savoir, peut-être étais-je à votre place un jour ? »
Un seul verset de la Bible a la même guematria : « Aucun ennemi ne saura le circonvenir, ni aucun malfaiteur l’humilier. » (Psaumes 89:23) לֹא יַשִּׁא אוֹיֵב בּוֹ וּבֶן עַוְלָה לֹא יְעַנֶּנּוּ