Tous les articles par ZionKabbalah

Déva

Un Déva (देव) désigne une force spirituelle, un dieu de l’hindouisme. « Déva » a pour origine la racine « Div » qui veut dire « Illuminer ». Le védisme originel (Rig-Véda) en énumère 33.

33 est la guematria de la racine « Gal », liée à la délivrance, au dévoilement, à ce qui tourne (roue, cycle…).
גל

Un Déva est une Puissance (« Numen » en latin) qui se manifeste par son Nom (« Nomen ») et qui permet d’Illuminer (« Lumen »), de Connaître.
Le Nombre est l’Ombre du Nom et le mot « Nombre » a pour racine indo-européenne « Nem » (« Distribuer »).

Déva
דווה
Guematria = 21
= guematria du nom de Dieu « Ehyeh » (« Je serai »)
אהיה

« Ehyeh Asher Ehyeh » (« Je serai qui Je serai » Exode 3:14)
אהיה אשר אהיה

#DivUn #Nem #Name #Nom #Nombre #Ombre #Omen

Ravi

« Ravi » (रवि) en sanskrit veut dire « Soleil », qui est source de Prana, l’énergie vitale universelle.

Ravi
רבי
Guematria = 212
= guematria de « HaOr » (« La Lumière »)
האור

« Ravi » signifie, en français, « Être comblé », « Grandement heureux », « Enchanté ». On représente souvent le soleil ravi : avec un sourire.

#Heureux #HaOr


En hébreu, « Rabbi » est un dérivé de « Rav » qui signifie « Grand ».
רבי

Le ravi est grand car la joie élargit notre compréhension des choses. Il éclaire.

#RaviAuxCieux


« C’est une grande mitsvah d’être toujours ravi. » (Rabbi Na’hman de Breslev)

#LouRavi


Purusha Sukta

Le mot « Mantra » (मन्त्र) est composé des mots « Man » (« Esprit ») et « Tra » (« Instrument »).

Dans les Védas, tous les mantras commencent par « Aum » et le Purusha Sukta (पुरुषसूक्तम्) célèbre le Chant de l’Homme.

L’Homme est Esprit. Le corps est l’Home.

#ManTra #Homme #Aum


Le Purusha est un concept de philosophie hindoue.
Il représente le Soi, la Conscience pure, le Principe universel, la Dimension masculine.
Le mot sanskrit « Sukta » (littéralement : « Bien dit ») peut, lui, se traduire par « Chant ».

Le Purusha Sukta décrit l’Homme Primordial, géant aux dimensions cosmiques, et son sacrifice permettant la Création du monde et de l’homme dans toute sa diversité.
À travers des sons, des noms et des nombres, il dévoile l’unité dans la diversité de l’Uni-vers, l’unité entre l’Homme Primordial et chaque être humain.


Extrait du Purusha Sukta (Verset 7) :

« Sept Paridhis (Pieux) leur servirent à faire l’enclos du lieu du sacrifice,
Trois fois sept Samidhas (Bâtons servant de combustible) leur servirent de bois pour le feu,
Lorsque les dieux, préparant le grand sacrifice,
Ligotèrent l’Homme Primordial pour en faire la victime sacrificielle. »

Le bois utilisé pour délimiter le lieu du sacrifice de l’Homme Primordial est constitué de 7 Paridhis.
« Paridhi » परिधि (« Barrière », « Mur », « Halo », « Pieux », « Piquet ») désigne quelque chose qui entoure, qui délimite. On retrouve cette racine aujourd’hui en hindi, comme dans « Pardès » परदेश (« Terre étrangère ») ou « Pradesh » प्रदेश (« Province »).
En avestique (langue parente du vieux perse) « Paridaeza » signifie une « Enceinte royale », un « Verger entouré de murs ».
Le mot fut repris en hébreu (« Pardès ») et en grec (« Paradeisos ») pour désigner le paradis.

Purusha Sukta
פורושה סוקטה
Guematria = 777

Le chiffre 7 représente la plénitude, l’harmonie, à l’image des 7 notes de Musique. C’est le chiffre de l’Homme complet qui a réuni les dimensions masculines et féminines du divin : l’Homme Mêle-aux-dieux.

#ChantDeLHomme #MélodieDivine #ShirHadash

Trident

La Trimourti (trinité hindoue) est composée de Brahma (le Créateur), Vishnou (le Préservateur) et Shiva (le Destructeur).
Si l’on prend l’image d’une plante, Brahma est la fleur, Vishnou la tige, et Shiva les racines.

Shiva est le dieu des ténèbres, de la fin. Il est donc normal que Shiva soit associé à une Fourche. En jardinage, elle sert à retirer les mauvaises herbes, casser les mottes, retourner le compost, percer le sol pour l’aérer…


La fourche détruit. « Shiva » (hébreu pour « Sept ») est le nom de la période de deuil de 7 jours observée dans le judaïsme pendant laquelle il est de coutume de s’asseoir sur le sol de sa maison. Il y a 7 jours de Création et le chiffre 7 représente son achèvement.
שבעה

Le nom de Shiva (शिव) peut se traduire par « Celui qui porte bonheur », « Le bienfaisant ».
De même, le chiffre 7, qui correspond au Septième Jour béni par Dieu, est un chiffre port-bonheur.

En physique quantique, la lettre grecque Psi Ψ, qui ressemble à un trident, désigne la fonction d’onde, élément fondateur de la mécanique quantique qui nous enseigne que la nature se comporte comme si les deux possibilités coexistent, comme la vie et la mort, tant qu’il n’y a pas eu observation.

La fourche détruit, mais on observe que cette destruction a un but constructif.

Shiva est appelé Destructeur, mais également Transformateur, Restaurateur. Il fait le ménage, dépoussière, donne un grand coup de balai pour reconstruire.


Un Trident est une fourche à trois dents, et « Dent » se dit « Shen » en hébreu.
שן

La lettre Shin, avant-dernière lettre de l’alphabet hébreu, est semblable à Psi Ψ, 23ème lettre de l’alphabet grec.

Il est dit que lors de la Délivrance Finale, une nouvelle lettre sera dévoilée : la 23ème de l’alphabet hébraïque qui sera le Shin à 4 branches.

La lettre Shin correspond aussi au feu et l’anglais « To Shine » signifie « Briller ».


Dans le Vishnu Purana, il est écrit que le Trishula, le nom du trident de Shiva, aurait été créé à partir de l’énergie du soleil.

#SunShin #SolEHYEH


Trishula
טרישולה
Guematria Akhas Beta = 333

La méthode de guematria A’has Beta correspond au partsouf Zeir Anpin.
La sefira centrale de Zeir Anpin est Tiferet, celle de Yaakov (Israel), sefira de l’harmonie, qui resplendit et qui est comparée au Soleil, qui est une étoile.


« Ehyeh Asher Ehyeh » (« Je serai qui Je serai », Exode 3:14)
אהיה אשר אהיה
Initiales = Aleph Aleph Aleph
אאא
Guematria pleine = 333
אלף אלף אלף

La Réaction Triple Aleph est fondamentale pour la Vie.

La quasi-totalité du carbone présent dans l’univers provient de la Réaction Triple Alpha, fondamentale pour la Vie. Elle désigne un ensemble de réactions de fusion nucléaire se produisant dans des étoiles en fin de vie convertissant trois particules α (noyaux d’hélium 4) en un noyau de carbone.

Mariamman

La déesse Mari (tamoul : மாரி), connue sous le nom de Mariamman (« Mère Mari ») est la principale déesse-mère de l’Inde du Sud.
Elle est la déesse de fertilité et de la pluie, mais aussi des maladies infectieuses.
En Inde, le culte de Mari comporte des sacrifices d’animaux qui sont spécifiques aux autres cultes indiens des déesses mères pré-védiques.


Mariamman nous fait penser au prénom Miriam (Marie en français).
On trouve dans le nom Miriam deux racines : « Mar » qui veut dire « Amer », ainsi que « Meri » qui signifie « Rebellion » car Miriam a su se rebeller, se soulever contre l’amertume de l’exil égyptien.
מרים
Les deux dernières lettres forment, elles, le mot « Yam », « Mer ».
ים
Comme Mariamman, Miriam est liée à l’Eau. Elle a suivit le cours d’eau sur lequel flottait le panier en osier qui contenait son frère Moïse. Elle est également connue pour avoir célébré par un chant le passage de la Mer Rouge. Enfin, elle est à l’origine du puits qui suivit les Hébreux pendant la traversée du désert.
Miriam, comme Mariamman, est aussi liée aux maladies infectieuses : elle fut punie de la lèpre après avoir parlé contre la femme de Moïse.

« Mariati », en sanskrit, signifie « Tuer » (मारयति).

L’amertume est le ressentiment causé par le regret ou la déception. En exil, la dimension féminine a de l’amertume à cause des rigueurs du Nefesh, l’âme animâle : elle est une « tueuse ».

#Slipknot #Gemaria #Isis #TheKillingName #QuiLeurre


Ci-gît Dieu

La lettre J correspond au Youd hébreu.

Guematria du nom de Dieu YHVH = 26
יהוה

On retrouve le nom de Dieu YHVH dans la lettre Aleph, la première de l’alphabet hébreu.

La lettre Aleph est formée de deux Youds, deux points, reliés par la lettre Vav.

Youd + Youd + Vav
= 10 + 10 + 6
= 26

Comme le Youd, J est la 10ème lettre de l’alphabet.
10, c’est le nombre de sefirot.
J = Youd long, qui vibre, force masculine.
J = Yakhin, la colonne de droite.
J c’est aussi la queue de l’hippocampe, qui symbolise ce qui est long, qui influe loin, etc.

« Gît » est la troisième personne du présent de l’indicatif du verbe Gésir.

« Gésir » signifie « Être étendu, couché, sans mouvement », « Être abandonné ».

Lors de l’exil de la Shekhina, de la Présence Divine, Dieu « gît », Dieu « est mort ».

Mais il ne faut jamais désespérer, car Dieu aime-Or !
אור

« Or » veut dire « Lumière » en hébreu, et « Giser » peut également signifier « Résider en quelque chose », « Se trouver ».

Ci-gît Dieu : il n’y a rien d’autre que Lui.

« Même si tu crois t’être tellement éloigné de Dieu qu’il t’est impossible de te rapprocher de Lui, tu peux encore trouver la Divinité même là où tu as sombré. » (Rabbi Na’hman de Breslev)

« Giser », c’est « Se trouver quelque part enfoui, caché », comme un trésor qui gît au fond de l’océan.

La dixième et dernière sefira est Malkhout, celle Youd / J d’en bas, du monde de l’Action.

Dieu est Un
Le Un gît.
Le Aleph gît.
L’A gît.

#AxeSion


Il ne faut pas avoir peur de l’âme-hors, de l’âme-or, de l’amor… Ce n’est que de l’âme-agit.

#MagieDesLettres #MagieDeLÊtre.

Mont Meru

On retrouve dans le récit de la Genèse les traces d’un mythe universel aux origines préhistoriques, mettant en scène une terre s’élevant des eaux primordiales. Cette terre devient une montagne, un paradis d’où s’écoulent quatre fleuves. Il est aussi question d’un arbre, d’un serpent, et bien plus encore…


« L’Éternel-Dieu planta un jardin en Éden, vers l’orient, et y plaça l’homme qu’il avait façonné.
L’Éternel-Dieu fit surgir du sol toute espèce d’arbres, beaux à voir et propres à la nourriture ; et l’arbre de vie au milieu du jardin, avec l’arbre de la science du bien et du mal.
Un fleuve sortait d’Éden pour arroser le jardin ; de là il se divisait et formait quatre bras
Le nom du premier : Pichon ; c’est celui qui coule tout autour du pays de Havila, où se trouve l’or. » (Genèse 2:8-11)


Selon des propos d’Aristote rapportés par Flavius Joseph, « les Juifs descendent des philosophes indiens. On appelle, dit-on, les philosophes, Kalano dans l’Inde, et Juifs en Syrie, du nom de leur résidence ; car le lieu qu’ils habitent se nomme la Judée. »
Il conviendrait plutôt de dire que l’on trouve dans le judaïsme des éléments empruntés aux traditions antiques du sous-continent indien.


Les livres d’Histoire abordent très peu la civilisation de la Vallée de l’Indus contrairement, par exemple, à celles de Mésopotamie ou d’Égypte.
Elle a pourtant dominé sur un territoire d’environ un million de km2 pendant 700 ans. Elle avait son propre système d’écriture et connaissait l’irrigation à grande échelle.

Ses habitants commerçaient avec la Mésopotamie (notamment le sud) et le Moyen-Orient, où les fouilles ont permis de retrouver de nombreuses pierres précieuses originaires de la vallée de l’Indus.

La particularité de la civilisation de la vallée de l’Indus est que bien qu’ayant toutes les caractéristiques d’un état unifié, elle semble n’avoir eu aucune organisation politico-religieuse centrale. Les fouilles n’ont permis de trouver aucune arme forgée. Il n’y a pas de traces de guerres.
Tout était basé sur la coopération, et non la confrontation.


« Jardin d’Eden » se dit « Gan Eden » en hébreu.
גן עדן
En sanskrit, « Edhini » (एधिनि) veut dire « Terre ».


Au commencement, selon les hymnes védiques, il n’y avait ni Ciel ni Terre. Tout était en état d’Asat, de Non-Être. De l’Océan Primordial (« Apas ») émergea un morceau de terre qui finit par devenir une montagne.


En Asie, cette montagne mythique est appelée Mont Meru (en sanskrit : मेरु, aussi appelée Sumeru avec le préfixe honorifique « Su »).


Dans la cosmologie hindoue, jaïne et bouddhiste, le Mont Meru est considéré comme le point le plus haut du monde, là où convergent le Ciel et Terre. Il est l’axe de l’univers physique et spirituel au-dessus duquel brille l’étoile polaire. Selon le Vishnu Purana, il a 7 niveaux et est le lieu de séjour des âmes des morts. Son sommet est la demeure de Brahma, des 33 dévas ainsi que des 4 préposés aux points cardinaux.


On retrouve dans le nom du Mont Meru la racine indo-européenne « Mer » qui a pour sens « Briller », « Scintiller », comme dans le le sanskrit « Marici » मरीचि (« Rayon de lumière », « Scintillement ») ou « Murmura » मुर्मुर (« Braise mourante »).
La racine « Mer » a donné le dérivé « Mori » qui signifie « Mourir », « Disparaître », et qui est par exemple à l’origine du latin « Mors » / « Mortem » qui a donné le français « Mort ». « Mer » a aussi donné « Mare » en latin puis « Mer » en français.

En hébreu, « Meïr » signifie « Éclairant », « Lumineux ».
מאיר


Meru
מרו
Guematria classique = 246

Le 1er mot de la Bible ayant 246 pour guematria est « Lehaïr » (« Éclairer », « Illuminer »)
להאיר

« Et ils serviront de luminaires, dans l’espace céleste, pour éclairer la terre. Et cela s’accomplit. » (Genèse 1:15)

#Meru #IllumineÀSion


De nombreux temples bouddhistes, jaïns et hindous ont été construits comme représentations symboliques de cette montagne.

La tour centrale du Temple d’Angkor symbolise le Mont Meru.

Le « Trône de Sumeru », « Xū Mí Zuò » ( 須彌座 ) est une caractéristique commune des pagodes chinoises.

Le point culminant du pyatthat, toiture à multiples degrés typique de l’architecture religieuse et royale birmane, représente lui aussi le mont Meru.


Les livres sacrés de l‘Inde dont le Mahabharata célèbrent l’or du Mont Meru, d’où jaillissent quatre rivières, comme dans la description du Jardin d’Eden. Les pentes du Mont Meru sont décrites comme d’or à l’Est, d’argent à l’Ouest, de cristal au Sud-Est et d’agate au Nord-Ouest.

#DirectSion


La Chaîne de l’Himalaya est le centre qui se situe au nord, le « Pôle Nord » du sous-continent indien.


Des fleuves coulent du Jardin d’Eden. Nous pouvons donc supposer qu’il s’agit d’un endroit en hauteur, d’une montagne comme en parle le prophète Ésaïe :
« la montagne du rendez-vous (des dieux), dans les profondeurs du Nord. » (Ésaïe 14:13)


Idem pour Sion, la Jerusalem Céleste :
« Grand est l’Eternel et justement glorifié, dans la ville de notre Dieu, sa sainte montagne.
Comme elle se dresse magnifique, joie de toute la terre, la montagne de Sion, aux flancs dirigés vers le Nord, la cité d’un roi puissant ! (Psaumes 48:2-3)


« Tu étais dans l’Eden, le jardin de Dieu; toutes les pierres précieuses te couvraient: rubis, topaze et émeraude, tartessienne, onyx et jaspe, saphir, escarboucle et diamant, de l’or également; tu possédais des tambourins et des flûtes bien travaillés ; pour toi, ils étaient prêts dès le jour de ta naissance.
Tu étais le Keroub d’élection qui protège [de ses ailes]; je t’avais posté et tu étais sur la montagne sainte de Dieu; au milieu des pierres de feu, tu circulais.
Tu fus irréprochable dans ta conduite depuis le jour où tu fus créé jusqu’à ce que la perversité se rencontrât en toi.
Par l’activité de ton trafic, ton enceinte s’est remplie de violence, et tu es devenu coupable; je t’ai donc rejeté de la montagne de Dieu et je t’ai fait disparaître, Keroub protecteur, d’entre les pierres de feu. » (Ezekiel 28:13-16)


Le pays de Havila (Genèse 2:11) et le nord de l’Inde étaient associés au Paradis selon, entre autres, James Atkinson qui a parcouru la région au 19e siècle. Il rapporte même une légende locale selon laquelle le Satan se serait installé à Kaboul, dans l’Aghanistan actuel, après avoir été chassé du Jardin d’Eden.

#Havila #Himalaya


L’Himalaya, le Toit du Monde, est un immense château d’eau. Quatorze des plus grands fleuves du monde y prennent naissance, dont le Brahmapoutre, l’Indus et le Gange.

#GangeEden #GanEden


Le mot sanskrit « Paradesha », composé de « Para » पर (« Au-delà ») et de « Desha » देश (« Endroit », « Région ») désigne ce qui est « Au-delà ».
« Paridhi » परिधि (« Barrière », « Mur », « Halo », « Piquet ») désigne quelque chose qui entoure, qui délimite.
On retrouve cette racine aujourd’hui en hindi, comme dans « Pardès » परदेश (« Terre étrangère ») ou « Pradesh » प्रदेश (« Province »).
En avestique (langue parente du vieux perse) « Paridaeza » signifie une « Enceinte royale », un « Verger entouré de murs ».
Il fut repris en hébreu (« Pardès ») et en grec (« Paradeisos ») pour désigner le paradis.

Le Mont Meru est lui aussi clôturé : il est représenté entouré de cercles de montagnes, appelées Lokalokas (Cakravala dans le bouddhisme).

« C’est un jardin clos que ma sœur, ma fiancée, une source fermée, une fontaine scellée. » (Cantique des Cantiques, 4:12)
גַּן נָעוּל אֲחֹתִי כַלָּה גַּל נָעוּל מַעְיָן חָתוּם


Meru évoque aussi le paradis perdu de l’Atlantide, cette île mythique évoquée par Platon dont la ville principale est décrite comme entourée de plusieurs rangées de remparts et de canaux.


Au sommet du Mont Meru se trouve l’Arbre de Vie, appelé Jambu ou Kalpavriksha.
On y reconnaît par exemple Yggdrasil, l’Arbre Monde de la mythologie nordique, ou encore le pommier d’or du jardin des Hespérides.

#Pardes #Hespérides


Le Kalpavriksha (« Arbre à souhaits » en sanskrit) est un arbre qui a émergé des eaux primaires pendant le processus de « barratage de l’océan » et qui a le pouvoir de réaliser n’importe quel vœu. S’inscrivant dans une longue tradition originaire d’Asie, il est associé aux commencements : aux naissances, à la nouvelle année…

#Bereshit #Genèse


Le Mont Meru repose sur un grand serpent, Sécha.

Autre serpent lié au paradis : le Naga (नाग), serpent qui, dans les mythes asiatiques, garde les trésors cachés sous la terre.

#Naga-m’a-dit


« Naga » en hébreu est l’anagramme de « HaGan » (« Le Jardin »).
נגה
הגן


Dans un mandala, les nagas sont représentés à la base du mont Meru. Leur influence sur les êtres humains peut être bénéfique aussi bien que maléfique.


« Naga » s’écrit comme « Noga » qui signifie « Lumière », « Splendeur », « Etoile du matin ».
נגה

En Kabbalah, la Klipa désigne une « écorce spirituelle » attachée à la Lumière Divine, et la « Klipat Noga », liée à l’Arbre de la Connaissance du Bien et du Mal, désigne une Klipa entremêlée à cette Lumière.


Plusieurs montagnes ont ete associées au mont Meru, le plus célèbre étant le Mont Kailash.
Situé dans la chaîne de l’Himalaya au Tibet, c’est un sanctuaire religieux depuis des temps immémoraux.


« Kailash » signifie « Cristallin » (de « Kelasa », cristal).
Son sommet de forme pyramidale culmine à 6 638 mètres d’altitude.
Quatre des plus grands fleuves d’Asie, l’Indus, le Sutlej, le Brahmapoutre et la Karnali prennent leur source à proximité.


Le Mont Kailash est une représentation terrestre du Mont Meru pour les Hindous, les Bouddhistes, les Jaïnistes, ainsi que pour les adeptes du culte bön (pré-bouddhisme chamanique) qui la considèrent comme le symbole de l’âme. La circumambulation autour du mont est l’un des pèlerinages les plus importants d’Asie.


Le Pic Meru, lui, est situé dans le Nord de l’Inde et culmine à 6 660 mètres d’altitude.

#666 #Lumière


Le Massif du Pamir est également lié étymologiquement à Meru.


En Indonésie, le Semeru est un volcan situé dans la province de Java dont il est le point culminant avec 3 676 mètres.


Sumer est une région correspondant au sud de l’antique Mésopotamie.
Dans la Bible, elle est appelée « Shinar ». C’est là où Nimrod commença sa domination (Genèse 10:10).
שנער
En akkadien, « Šumeru » peut se traduire par « Pays des Seigneurs de la Luminosité ».


Le Mont Meru est aussi le nom du deuxième plus haut sommet de Tanzanie. Son nom, « Meru » signifie « Éclat éblouissant » en kiswahili.


Meru est une terre émergée des eaux, elle fut île avant de devenir montagne.


L’île de Méroé est, elle, le cœur du royaume de Koush, grande puissance du monde antique.
La zone du Nil que l’on appelle la Nubie et qui appartient aujourd’hui en partie au Soudan, était durant l’Antiquité le siège de trois royaumes koushites.

Les pyramides nubiennes sont un ensemble de 220 pyramides au total qui ont été construites en Nubie, servant de tombeaux aux rois et reines de Napata et de Méroé.


Meroe est également le nom d’une île indienne, au sud des Îles Nicobar.


La pyramide est à l’image du Mont Meru, et les égyptiens gravaient le nom du pharaon défunt et des prières sur son sommet, le pyramidion, pour préparer le passage dans l’au-delà.


On dit de Dionysos qu’il est né sur le Mont Méros, que l’on situe dans l’Himalaya.
On dit aussi qu’il est né de la cuisse de Jupiter.

« Cuisse » se dit « Meros » (μηρóς) en grec ancien et les Grecs connaissaient le Mont Meru.
On peut donc supposer qu’avec le temps « Meru » s’est transformé en « Meros » et qu’à l’origine on parlait de Dionysos comme « né du Meru de Jupiter (de Dieu) ».

C’est au Mont Meru que l’on devient, comme Dionysos, un « Born Again ».


Dans les cultures du monde entier, les montagnes, comme l’Olympe, ont servi de résidence aux divinités.


Les Juifs ont le Mont Moriah, le mont de l’Enseignement divin.

« Va vers la Terre de Moriah » (Genèse 22:2)
לֶךְ לְךָ אֶל אֶרֶץ הַמֹּרִיָּה
מוריה

#Moriah #Meru


Le plus grand lieu de pélerinage en Israel est, lui, situé au Mont Méron.

#Meru #Meron #33Dévas


Au fil des siècles, Meru, qui est le « pôle nord de l’Inde », a été confondu avec l’Hyperborée, le Pôle Nord, ce qui a donné une étonnante première carte du Pôle Nord, celle de Mercator, en 1569.


Dans la tradition tibétaine ancestrale du Bön, le Mont Kailash est appelé
« Yungdrung Gutseg », la « Pyramide des 9 Swastikas ».


Quatre fleuves sortent du Jardin d’Eden comme du Mont Meru, et ces fleuves forment le symbole ancestral de la Swastika.

Au Mont Meru convergent le Ciel, la Terre et le Monde Souterrain.
C’est le siège du Paradis, mais aussi de l’Enfer.

« Un mur épais d’un Téfa’h – un peu moins de 10 centimètres – sépare le Paradis de l’Enfer. » (Yalkout Shimoni, Kohelet)


Le Pôle représente la stabilité, l’immuabilité, l’axe. Mais il ne faut pas se tromper d’axe. Ne pas se croire au sommet. Ne pas écraser, ni se faire écraser : trouver le juste milieu, le bon axe. Il n y a pas de hierarchie au sein de l espèce humaine. Nous sommes tous uniques. Si l’on se croit « élu » ou de « race supérieure », si on prend des mythes bibliques, nordiques, ou autres pour la réalité, alors on est dans l’axe du mal. Prendre un mythe pour une réalité et en faire un agenda politique dans un but de conquête, de domination, c’est apporter la destruction, l’enfer.
Les conquêtes guerrières des grandes religions monothéistes ont apporté l’enfer aux quatre coins de la Terre.


En hébreu, « Nassi » veut dire « Prince », « Président ». Nous devons combattre toute forme d’autorité, les « Nassis » aussi bien que les « Nazis ».
נשיא


Les nazis ont commis un génocide en prenant des mythes pour la realité.


Il n y a pas de hiérarchie au sein de l’Uni-vers. Personne n’est au sommet.
Tout va s’inverser. Au sommet trône celui qui ne possède rien : l’A-rien, le No-body, l’Est-tout.


L’homme supérieur n’est ni un grand blond, ni un petit brun. Lors de la Délivrance Finale, c’est l’A-rien qui dominera le monde.


« Swastika » स्वस्तिक est un mot sanskrit dérivé de « Su » (« Bien ») et de « Asti » (« Il est »).

La swastika des nazis est celle de l’enfer.
La swastika du paradis, celle de l’Inde.

« Inde » se dit « Hodou » en hébreu. « Hodou » signifie aussi « Rendez grâce », « Remerciez ».

« Rendez hommage (Hodou) au Seigneur, car il est bon, car sa grâce est éternelle » (Psaumes 136:1)
הוֹדוּ לַיהוָה כִּי טוֹב: כִּי לְעוֹלָם חַסְדּוֹ


Un D.

#SensCrie


Dieu est Un-touchable.


Le Paradis est représenté comme clôturé comme son opposé, le Camp de la Mort.
La différence entre le paradis est l’enfer est minime.
Idem pour celle entre une bête cachère et une bête non-cachère.
Ou entre une « Bête » et une « Beit »…

#BêteImmonde #BeitMachtFrei #BeitHaMikdash #BeitDuMonde


« Ton faste est descendu dans le Cheol, avec tes harpes retentissantes ; sous toi la vermine forme ta couche et les vers te servent de couverture.
Comme tu es tombé du ciel, astre brillant, fils de l’aurore ! Comme tu as été renversé jusqu’à terre, dompteur des nations !
Tu disais en ton cœur : « Je monterai au ciel; au-dessus des étoiles de Dieu, j’érigerai mon trône; je m’assiérai sur la montagne du rendez-vous (des dieux), dans les profondeurs du Nord.
Je monterai sur les hauteurs des nuées, je serai l’égal du Très-Haut. » (Esaïe 14:11-14)


Combats les nazis, déjoue d’innombrables pièges comme Indiana Jones… ainsi, tu trouveras l’Arche Perdue, le Saint Graal, et bien plus encore…


Pour trouver le Graal, qui n’est qu’un symbole, il faut unir les dimensions masculines et féminines, le Youd d’en haut (sexe masculin) au Youd d’en bas (clitoris) pour former le Aleph, le Un. Réunir les deux points qui n’en font qu’Un. C’est alors le Paradis, l’Or-gasme, le Septième Ciel.

#Point #G


« Réveille-toi, rafale du Nord ! Accours, brise du Midi ! Balayez de votre souffle mon jardin, pour que ses parfums s’épandent. Que mon bien-aimé entre dans son jardin et en goûte les fruits exquis ! » (Cantique des Cantiques 4:16)

#UnionDesOpposés #Jardin #Délices #JardinDesLys


Le sommet du Mont Kailash est considéré comme la demeure de Shiva et de sa shakti Parvati – littéralement « fille de la montagne » –, ce qui explique son caractère sacré pour les Hindous qui le voient aussi comme un Lingam (principe masculin) accompagné de la Yoni symbolisée par le lac Manasarovar.


Jarre d’Un.

#UnVerser


Les Bouddhistes tibétains, eux, considèrent cette montagne comme la demeure de Demchog et de sa parèdre Dorje Phangmo, symbolisant également l’union des forces masculines et féminines.


Le Roi est celui qui renverse la montagne pour trouver le Shem Un, pour en faire une coupe, un Graal.

#CaLys #Meru #Vin #Gît #Un


La guematria pleine de « Har Meru » (« Mont Meru ») est égale à 1118.
הא ריש מם ריש וו

« Deux personnes marchent-elles ensemble, si elles ne se sont pas entendues d’avance ? » (Amos 3:3)
הילכו שניים יחדיו בלתי אם נועדו
Guematria du verset = 1118

#Meru #Union #LaCoupeEstPleine


On compare le Mont Meru à une coupe qui contient des graines du lotus.


Le Mont Meru est une Coupe, un Graal.

#CoupeDuMonde


« Coupe » se dit « Gavia » en hébreu.
גביע
Guematria = 85
= guematria ordinale de « Swastika »
סווסטיקה

#SaintBol #CoupeDuMonde #CoupéDuMonde


La Quête du Graal consiste à unir le Spirituel et le Matériel, le Ciel et la Terre, l’Homme et la Femme, Pensées et Actions, Transcendance et Immanence, YHVH et Elohim…

Meru
מרו
Guematria ordinale = 39
= guematria de « YHVH E’had » (« Dieu est Un »)
יהוה אחד

« E’had » (« Un »)
אחד
Guematria = 13

Elohim
אלהים
Guematria = 86

13 x 86 = 1118

Elohim est Un

#ElleOHim


« Quête du Graal » se dit « ‘Hipouss A’har HaGavia HaKadosh » en hébreu.
חיפוש אחר הגביע הקדוש
Guematria = 1118
= guematria pleine de « Har Meru » (« Mont Meru »)
הא ריש מם ריש וו


Le Paradis est là, sur Terre. Mais il n’est pas nécessaire d’aller en Inde ou de ressembler à Indiana Jones pour le trouver. Il ne faut pas aller loin pour trouver la Coupe et devenir l’Oint. Elle est là. Il est là. En toi.


Le Shema Israel est la prière juive proclamant l’unité divine. Il est coutume de prolonger la lettre Dalet de « E’had » (« Un ») à la fin. La lettre Dalet a 4 pour valeur numérique, comme les 4 points cardinaux, comme les 4 fleuves du Jardin d’Eden / Mont Meru.
Le Shema Israel proclame l’unicité infinie de Dieu dans toutes les directions.


Guematria pleine de « Har Meru » (« Mont Meru »)
הא ריש מם ריש וו
Guematria = 1118
= guematria du Shema Israel :
« Écoute, Israel : YHVH est notre Elohim, YHVH est Un ! » (Deutéronome 6:4)
שמע ישראל יהוה אלהינו יהוה אחד

#UnVerser #VinVerser #UnVerset #DieuEstUn


Rejoins l’Alliance, celle de la Nouvelle Torah qui part dans tous les sens.

#DirectSion #Oufaratsta #NouvelleTorah

Mérou

Le nom du mythique sommet himalayen, le Mont Meru se prononce comme « Mérou ».


Le Mérou est un poisson dont le nom vient de l’espagnol « Mero » qui lui-même vient du latin « Merus ».
« Merus » signifie « Pur », « Non étendu d’eau », « Non dilué » (notamment pour le vin), « Sans mélange », « Vrai », « Unique ». Originellement, en latin, « Merus » voulait dire « Brillant » (« Sans nuage »).

#Sea #See


On retrouve dans « Meru » et « Mérou » la racine indo-européenne « Mer » qui a pour sens « Briller », « Scintiller », comme dans le le sanskrit « Marici » मरीचि (« Rayon de lumière », « Scintillement ») ou « Murmura » मुर्मुर (« Braise mourante »).
La racine « Mer » a donné le dérivé « Mori » qui signifie « Mourir », « Disparaître », et qui est par exemple à l’origine du latin « Mors » / « Mortem » qui a donné le français « Mort ». « Mer » a aussi donné « Mare » en latin puis « Mer » en français.

Exemples d’autres mots dérivés de « Mer » : « Morbide », « Marasme », « Marbre », « Amaranthe », « Ambroisie », « Cauchemar », « Murder », « Mortgage », …

En hébreu, « Meïr » signifie « Éclairant », « Lumineux ».
מאיר

Dans la mythologie égyptienne, la déesse Mout, dont le nom veut dire « Mère », est une mère divine dont l’attitude peut être protectrice ou aggressive.
Son nom, qui s’écrit avec un hiéroglyphe représentant un vautour, nous renvoie à l’hébreu « Mavèt » (« Mort »).
מות

#Mother


Ce qui est Mort est « Muet », « Mute ». Dans la mort, il y a le silence, mais aussi une mutation.


La mère donne la mort : le jour de la naissance est comme un jour de mort pour l’âme.
Si on rajoute un Youd (un i) au son Am on obtient le mot hébreu « Yam », la Mer, mais aussi l’anglais « I am » : le « Je suis », l’ego, la mort.
La mer donne la mort.
L’âme erre, morte, dans les tréfonds de l’Uni-vers.
L’âme erre. Morte.
C’est en Israel que se trouve l’endroit le plus bas sur terre, la Mer Morte, et c’est dans l’Himalaya que se trouve l’endroit le plus élevé. Pour percer les secrets de la Torah, il faut unir les opposés.

Ө
Le Sel représente ce qui lie, ce qui connecte, ce qui soude. Le Sel, c’est l’union entre l’En haut et l’En bas.

Il faut élever les eaux d en bas pour qu’elles rejoignent celles d’en haut. Élever l’amer et le transformer en amour. Élever la Mer Morte, pour les lier aux Eaux d’en haut, au Nais-je Eternel. Il faut lier le sel d’en bas au sel d’en haut. Le sel de la Mer Morte au sel de l’Himalaya. Ajouter le youd, le yod, pour que le sel se transforme en ciel.

#MèreOù? #SelFin #CEstLaFin


Ève, reste !

#ToiDuMonde


La Mère correspond à la sefira Bina (Compréhension). Quand le Sod (« Secret ») est omis, quand nous refusons d’aller vers notre opposé, cela a pour conséquence de couper notre connection à la Bina : la « Mère est Morte ».

#MerMorte


La lettre Mem est la 13ème lettre de l’alphabet hébreu et symbolise à la fois l’Eau (« Mayim ») et la Mère (« Ima »).
מ
Guematria ordinale = 13
= guematria de « E’had » (« Un »)
אחד
= guematria de « Ahava » (« Amour »)
אהבה

En frison occidental, « Mem » signifie « Mère ».
En nomlaki et en patwin du sud (langues amérindiennes parlées en Californie), « Mem » signifie « Eau ».


Guematria pleine (ordinale) de la lettre Mem = 26
מם
= guematria du nom de Dieu YHVH
יהוה

#MAime #Mème #Reflet #I #Eye #Am #Âme #Yam


Le Mont Meru est le deuxième plus haut sommet de Tanzani, et « Meru » signifie « Éclat éblouissant » en kiswahili.


« Or » veut dire « Lumière » en hébreu.
אור
L’Âme
L’Âme Hors
Amor
L’Âme + Or
Or Voir

Dédain

« Ne sous-estime aucun homme et ne dédaigne aucun objet, car il n’est pas d’homme qui n’ait son heure, ni d’objet qui n’ait son utilité. » (Pirkei Avot 4:3)


« Dédain » se dit « Bouz » en hébreu.
בוז
L’Univers est notre reflet, et celui / celle qui a du dédain pour les autres est une bouse, un excrément.

« Ton prochain est ton reflet. Si ton visage est propre, telle sera l’image que tu recevras en retour. Mais si tu vois une tâche sur ton prochain, c’est en fait ta propre imperfection que tu aperçois : on te montre d’En-Haut ce que tu dois corriger en toi-même. » (Baal Shem Tov)

Il ne faut pas dédaigner le plus petit, le Youd. Il ne faut pas faire d’omis-Sion.

Stop à l’arrogance. Laissons place à l’Admire-à-Sion.


« Dédain » peut se lire « Dead Un », « La mort du Un ».

#Dead1


« Mépris », en hébreu, c’est ce qui vient « Du fruit », car il faut savoir manger du fruit de l’arbre de la Connaissance sans tomber dans le piège du Mépris.
מפרי

#Pris #Pri #Mord #Mort #LangueDesOiseaux

Brahmi et Kharosthi

Les premières attestations des anciens systèmes d’écritures de l’Inde que sont le brahmi et le kharosthi sont les édits de l’empereur Ashoka au IIIe siècle avant l’ère commune.


Les édits d’Ashoka sont un ensemble de 33 inscriptions gravées sur des piliers, sur des rochers et dans des grottes. Les textes ont été dictés par l’empereur Ashoka et dispersés dans tout le sous-continent indien pendant son règne sur l’Empire Maurya de -269 à -232. Ces inscriptions sont les plus anciens documents historiques d’Inde que l’on ait pu déchiffrer ainsi que les premiers à mentionner le bouddhisme.

Les écrits retrouvés dans la partie est de l’Inde sont écrits en maghadi à l’aide de l’alphabet brahmi.
Les inscriptions occidentales sont, elles, rédigées dans une langue proche du sanskrit en alphabet kharosthi.
Enfin, un édit unique retrouvé à Kandahar en Afghanistan est écrit en grec et en araméen.

Ashoka a régné sur un empire qui s’étendait de l’Afghanistan actuel jusqu’au Bangladesh, après avoir fait la guerre à l’Etat de Kalinga, sur la côte orientale de l’Inde. Mais suite aux atrocités commises, il s’est converti au bouddhisme et à la non-violence. Se faisant appeler « l’ami des dieux », il propage sa morale, basée sur la bienveillance envers tous les êtres vivants, aux quatre coins de l’empire dans des édits gravés sur pierre.

Extrait d’une inscription d’Ashoka :

« Huit ans après son sacre le roi ami des dieux au regard amical a conquis le Kalinga. Cent cinquante mille personnes ont été déportées ; cent mille y ont été tuées ; plusieurs fois ce nombre ont péri. Ensuite, maintenant que Kalinga est pris, ardents sont l’exercice de la Loi, l’amour de la Loi, l’enseignement de la Loi chez l’ami des dieux. Le regret tient l’ami des dieux depuis qu’il a conquis Kalinga. En effet, la conquête d’un pays indépendant, c’est alors le meurtre, la mort ou la captivité pour les gens : pensée que ressent fortement l’ami des dieux et qui lui pèse. »

« Ashoka » (अशोक) signifie « Absence de souci, de souffrance ».

Ashoka
אשוקה
Guematria = 412
= guematria de « Beit » (« Maison »)
בית

#OnRentreALaMaison


Le monde ne connaîtra plus de souffrances quand tout le monde sera rentré à la Maison.
Lors de la Délivrance Finale, les mythes ne seront plus utilisés à des buts politiques, à des buts de conquêtes. Il n’y aura plus de frontières. Tout le monde pourra vivre là où est son coeur. Tel est l’enseignement que nous pouvons retenir des Écrits d’Ashoka.


Le bouddhisme, à partir d’Ashoka, a eu une influence jusqu’au Moyen-Orient, que l’on retrouve par exemple dans le monachisme des Esséniens. De même, une écriture sémitique, l’araméen, a eu une influence sur les systèmes d’écritures asiatiques, via le brahmi qui s’est répandu contrairement au kharosthi. Le Brahmi est l’ancêtre de la plupart des écritures de l’Inde, du Bangladesh, du Népal, du Bhoutan, de l’Asie du sud-est et de Chine.


Les textes bouddhistes du Gandhara, écrits en kharosthi, ont été retrouvés près de la ville de Hadda en Afghanistan. Datés du premier siècle, ils constituent, eux, les manuscrits bouddhistes les plus anciens.


L’analyse de l’alphabet kharosthi montre une relation nette avec l’alphabet araméen, auquel on a ajouté des symboles supplémentaires pour noter les phonèmes des langues indiennes. Il s’écrivait au début de droite à gauche, comme cela semble être le cas de l’antique Écriture de l’Indus encore indéchiffrée.

« Kharosthi » semble être un dérivé du mot hébreu « ‘Haroshèt » (« Gravure »), de la racine « ‘Harash » (« Graver »). En grec ancien : Charasso (χαρασσω).
חרושת
חרש


L’alphabet brahmi, lui aussi influencé par l’araméen mais moins que le kharosthi, apparut environ à la même époque en Inde du nord, sous le contrôle de l’empire perse des Achéménides.

« Brahmi » signifie « Qui vient de Brahman (l’Âme Universelle, le Grand Tout, l’Absolu) ».
ברהמי
Guematria = 257

Premier mot de la Bible ayant 257 pour guematria : « VaYomèr » (« Il a dit »)
ויאמר

« Dieu dit: Que la lumière soit ! Et la lumière fut. » (Genèse 1:3)
וַיֹּאמֶר אֱלֹהִים יְהִי אוֹר וַיְהִי אוֹר


« Quant aux fils des concubines qu’avait eues Abraham, il leur fit des présents; et tandis qu’il vivait encore, il les relégua loin d’Isaac, son fils, vers l’orient, dans le pays de Kédem. » (Genèse 25:6)

#Abraham #Sarah #Brahma #Sarasvati #AbracadAbraham #UnDitUn

Skanda

Skanda, connu aussi sous les noms de Kartikeya, Murugan, Kumara, Sanmukha ou Subrahmanya est le fils de Shiva et de Parvati. L’origine de ce dieu est dravidienne.

Alors que le monde était en proie aux démons, les dieux, débordés, demandèrent à Shiva d’avoir un fils pour diriger l’armée divine, car seul un fils de Shiva pouvait venir à bout du mal. Il aurait été conçu lors du retour de Parvati auprès de Shiva, après une ascèse de plusieurs millions d’années. Shiva aurait alors laissé échapper sa semence, récoltée par Agni, le dieu du feu. Mais cette semence était si brûlante que le feu lui même ne pouvait la contenir, et elle fut jetée dans le Gange céleste.

Skanda
סקאנדה
Guematria = 220
= guematria de « Sex »
סקס

Le nom Skanda a pour origine la racine indo-européenne « Skand » qui signifie « Sauter », « Bondir », « Jaillir », en référence à l’émission de semence de Shiva.
Elle a par exemple donné le sanskrit « Skandati » स्कन्दति (« Bondir »), le grec ancien « Skandalon » σκάνδαλον (« Obstacle », « Achoppement », « Scandale ») à l’origine du français « Scandale ».

Selon le Mahabharata, Skanda naît avec six têtes.
Selon la Bible, Adam, l’Homme, a été créé le 6ème jour, jour de sa « chute ». Le nombre 6, comme le nombre de jours de la Création avant le Shabbat, représente la Matérialisation. Six, c’est la lettre Vav, 6ème lettre de l’alphabet, qui est également le nom des crochets utilisés dans le Temple.
La lettre Vav sert de conjonctif (« Et ») et lie les mots entre eux.
Vav c’est le Yessod, la sefira représentant le Sexe (« Six ») qui unit, comme le 6ème jour qui joint la semaine et Shabbat.

L’hindouisme a aussi son étoile à 6 branches : le Shatkona, symbole de Skanda.
Le Shatkona, représente l’union et l’équilibre entre les polarités masculine et féminine, Purusha et Prakriti, Shiva et Shakti.


Le mot Shatkona est formé de « Shat » (« Six ») et « Kona » (« Angle »). Il est formé de deux trikonas, triangles. Celui pointant en haut représente le principe masculin, le second pointant en bas le principe féminin.

Skanda est aussi appelé « Tarakajit » (« Vainqueur du démon Taraka ») : il symbolise la victoire de la Lumière sur les Ténèbres qui se fait par l’union des opposés représenté par la Shatkona / Étoile de David.


Pour Aime-Être, il faut être d-i-eux.

#Skanda

Perroquet

La Perruche à collier est un oiseau réputé pour son plumage coloré et sa capacité à répéter des mots ou des phrases. Elle servait d’animal de compagnie dans l’Antiquité.

Yts’hak ben Shmouel HaSfaradi était un juge rabbinique du XIIème siècle vivant au Caire. Dans son commentaire du Livre des Rois consultable à la Librairie nationale d’Israel et qui compte parmi les milliers de documents de la Guéniza du Caire, il explique le mot « Toukim » (« Perroquets ») du verset suivant :

« … Le roi avait une flotte à destination de Tarsis, naviguant avec la flotte de Hiram, et qui revenait tous les trois ans avec une cargaison d’or et d’argent, d’ivoire, de singes et de perroquets. » (Rois I 10:22)
כִּי אֳנִי תַרְשִׁישׁ לַמֶּלֶךְ בַּיָּם עִם אֳנִי חִירָם אַחַת לְשָׁלֹשׁ שָׁנִים תָּבוֹא אֳנִי תַרְשִׁישׁ נֹשְׂאֵת זָהָב וָכֶסֶף שֶׁנְהַבִּים וְקֹפִים וְתֻכִּיִּים

Yts’hak ben Shmouel HaSfaradi explique que « Toukim » veut dire « Albabaj » (« Perroquet » en arabe), un oiseau de couleur verte venant d’Inde et sachant parler.
ببغاء
Il rapproche également le mot « Touki » de « Tavekh » (« Milieu », « Entre ») car le perroquet, qui peut répéter les paroles mais ne communique pas, se situe « entre ».
תוכי
תוך

Mais l’essentiel reste à venir. Dans la suite de son commentaire, Yts’hak ben Shmouel HaSfaradi témoigne de ce qu’il a vu dans la maison de Mevoura’h ben Saadia, chef de la communauté juive du Caire.
Il avait un perroquet qui lui avait été offert par un Jui d’Inde. Il lui enseigna de nombreux versets, dont le Psaume 145. Mais, surtout, ce perroquet était capable de réciter le Shema Israel, la prière juive proclamant l’unité divine, en prolongeant la lettre Dalet à la fin comme il est de coutume.
Lorsque nous disons la lettre Dalet, nous devons en effet penser qu’Hachem règne dans les 4 coins cardinaux …


« HaTouki » (« Le Perroquet »)
התוכי
Guematria = 441
= guematria de « Emèt » (« Vérité »)
אמת

Le mot « Emèt » est composé des lettres Aleph, Mem et Tav. Aleph est la 1ère lettre de l’alphabet. Mem est centrale et représente la Vie. Tav est la dernière lettre.



Les perroquets nous réjouissent avec leur drôle de façon de nous imiter.
L’homme, lui, n’est pas un ange capable de répéter parfaitement la Parole Divine. L’homme est loin parfait, et cela demande un grand effort, un effort surhumain, pour que l’en bas soit à l’image de l’en haut. Et c’est justement cette perfectibilité humaine dans le service divin qui réjouit Dieu. Lors de la Délivrance Finale, Dieu nous répondra et nous réaliserons que le Chant de l’Homme est infiniment plus élevé que celui des anges.

#PaireRock


Pour trouver la Vérité, il faut être comme un Perroquet (sans non plus croire et répéter tout ce que l’on entend).


« Père ? »

« OK »

Sangam

« … Le roi avait une flotte à destination de Tarsis, naviguant avec la flotte de Hiram, et qui revenait tous les trois ans avec une cargaison d’or et d’argent, d’ivoire, de singes et de perroquets. » (Rois I 10:22)
כִּי אֳנִי תַרְשִׁישׁ לַמֶּלֶךְ בַּיָּם עִם אֳנִי חִירָם אַחַת לְשָׁלֹשׁ שָׁנִים תָּבוֹא אֳנִי תַרְשִׁישׁ נֹשְׂאֵת זָהָב וָכֶסֶף שֶׁנְהַבִּים וְקֹפִים וְתֻכִּיִּים

Ce passage du livre des rois contient 2 mots proches du tamoul :
« Singe », « Kof » en hébreu, « Kavi » (கவி) en tamoul (« Kapi » en sanskrit).
« Perroquet » se dit « Touki » en hébreu (traduit aussi par « Paon » dans la Bible). En tamoul « Tokay » (தோகை) signifie « Plumage ».


Le tamoul est une langue appartenant à la famille dravidienne, essentiellement parlée dans le sud de l’Inde et au Sri Lanka. Considéré comme la première langue classique de l’Inde avant même le sanskrit, c’est l’une des langues vivantes les plus anciennes au monde.

La poésie du Sangam, coeur de la littérature tamoule classique, trouve son origine dans des poèmes écrits entre 300 et 600 avant notre ère. Ce sont des poèmes érotiques qui sous des formes allégoriques, mettent en scène la relation entre Dieu et l’Homme (Ciel et Terre, Homme et Femme, …) dans un cadre bucolique. Il est probable que les auteurs du Cantique des Cantiques se soient inspirés de ce type de littérature.

« Sangam » renvoie aux mots tamouls « Am » ( அம் ), « Amittal » ( அமைத்தல் ), « Angkam » ( அங்கம் ), et au sanskrit « Sangha » ( सङ्घ ) signifiant « Jonction « , « Union », « Confluence », « Association ».

Sangam
סאנגם
Guematria pleine = 500
סמך אלף נון גימל מם
« BeYa’had » signifie « Ensemble »
ביחד
Guematria AlBam (Abba / principe masculin) = 500
משקס
Guematria AtBash (Ima / principe féminin) = 500
שמסק

#SaintSang


« Mi VeMa » (« Qui et Quoi », « Sujet et Objet » = Mondes d’En Haut et d’En Bas)
מי ומה
Guematria = 101

#SangUn


Pagode

Le mot Pagode vient du sanskrit « Bhagavat » भगवत् (« Saint », « Divin ») via le tamoul « Pagadi ».

« Pas God » : Le Divin est même là où il semble être absent. Il n’y a rien d’autre que Lui.

Dieu est Un-cohérent.

#DieuAimeOr

Amit

Amit est un prénom israélien, mais aussi indien.

« Amit » veut dire « Ami », « Associé » en hébreu biblique.
עמית

En sanskrit, « Amit » ( अमित ) veut dire « Sans mesures », « Infini ». « Amit » est la négation du mot « Mita ( मित ) qui veut dire « Mesure ».

La véritable Amitié véritable ne connaît pas de limites.

#Amit


« Mesure » se dit « Mita » en sanskrit et « Mida » en hébreu.
מידה
En hébreu, « Mita » veut dire « Mort »
מיתה
Pour sortir de la mort, il faut sortir des mesures, aller au-delà des limites, aller vers le sur-naturel.

#SortirDEgypte


La racine indo-européenne « Med » signifie « Mesurer », « Conseiller ». Elle donnera le latin « Modus » puis le français « Mode ».

Sors des limites ! Arrête d’imiter !
Sors de la Mode ! Sors d’Edom !

#MesurePourMesure


« Amit » est lié étymologiquement au nom du bouddha du futur : Maitreya, le « Bienveillant ».

#MaîtreYah


« Amit » est l’un des 108 noms du dieu Ganesha.


En arabe, « Amit » veut dire « Fidèle », « Loyal ».
اميت


A-meet
א
Rencontre avec le Aleph
Rencontre avec le Un
עמית
A-meet-i
Rencontre avec l’autre Youd
י
Il faut 2 Youds pour faire le Aleph, le Un.

#Amity #AmisPourLaVie


Mitra (मित्र) est un gardien de l’ordre divin dans la littérature védique. Il est l’Ami, l’Allié, et représente le côté clair, masculin du divin. Dieu des alliances, il était le garant de l’amitié et des accords entre les hommes, de l’ordre terrestre. Mitra était opposé à son côté sombre, Varuṇa, associé aux eaux souterraines et, lui, garant de l’ordre cosmique. Mitra fut adopté dans le monde gréco-romain où son culte à mystères se répandit.


« Am » signifie « Peuple » en hébreu.
עם
Le son i correspond à la lettre Youd.
י
Am-i = Le Peuple de Dieu, celui qui est « sorti des limites ».

#ÂmeIsrael


« Amiti » veut dire « Vrai » en hébreu.
אמיתי

#IsRealFriend

Miriam

Isis était l’une des principales déesses de l’Égypte antique. Elle était appelée Cérès, Junon, la Lune, la
Terre, la Nature, Proserpine, Thétis, la Mère des Dieux, Cybèle, Vénus, Diane, Hécate, Rhamnusia…
On l’appelait la Déesse à dix mille noms : Myrionyme.

Myrionyme fait penser au prénom de la prophétesse Miriam (Marie en français), qui, comme Isis, est liée à l’Égypte et à la mer.

#SainteMiriamDeLaMer


« Car, les chevaux de Pharaon, chars et cavalerie, s’étant avancés dans la mer, l’Éternel en avait refoulé les eaux sur eux, tandis que les enfants d’Israël marchaient à pied sec au milieu de la mer.
Miriam, la prophétesse, soeur d’Aaron, prit en main un tambourin et toutes les femmes la suivirent avec des tambourins et des instruments de danse.
Et Miryam leur fit répéter: « Chantez l’Éternel, il est souverainement grand; coursier et cavalier, il les a lancés dans la mer…
Moïse fit décamper Israël de la plage des joncs et ils débouchèrent dans le désert de Chour, où ils marchèrent trois jours sans trouver d’eau.
Ils arrivèrent à Mara. Or, ils ne purent boire l’eau de Mara, elle était trop amère; c’est pourquoi on nomma ce lieu Mara. » (Exode 15:19-23)

#Miriam #LaMère #LÂmeErre #Amer


Cybèle est une divinité d’origine phrygienne adoptée d’abord par les Grecs et les Romains. Comme Miriam, elle est représentée avec un tambourin à la main.

#SiBelle #Cymbales


La Malkhout a de nombreux noms et le nom d’une chose représente son intériorité, l’intériorité étant la dimension divine du divin : Sa présence.

#Nombres #Shemot


On trouve dans le nom Miriam deux racines : « Mar » qui veut dire « Amer », ainsi que « Meri » qui signifie « Rebellion » car Miriam a su se rebeller, se soulever contre l’amertume de l’exil égyptien.
מרים


L’intériorité des choses est cachée, enfouie, à l’image des eaux souterraines. Pour les faire jaillir, il faut se « rebeller » et aussi « creuser », ne pas se contenter de l’extériorité des choses.


Le plus grand nombre écrit dans la Bible est le mot « Revava » qui signifie « Dix mille », « Myriade ».
רבבה

#Myriade #Miriam


« Et ils bénirent Rébecca en lui disant « Notre sœur! puisses-tu devenir des milliers de myriades ! Et puisse ta postérité conquérir la porte de ses ennemis ! » (Genèse 24:60)
וַיְבָרְכוּ אֶת רִבְקָה וַיֹּאמְרוּ לָהּ אֲחֹתֵנוּ אַתְּ הֲיִי לְאַלְפֵי רְבָבָה וְיִירַשׁ זַרְעֵךְ אֵת שַׁעַר שֹׂנְאָיו


Selon la kabbalah, il existe 5 niveaux d’âme : Nefesh (âme animale) / Roua’h (esprit) / Neshama (âme) / ‘Haya (essence de la Vie) / Ye’hida (fusion avec le Un).

Il y a 10 sefirot et un monde reçoit le dixième de celui se trouvant au-dessus de lui. Chaque niveau d’âme correspond ainsi aux unités (pour le nefesh), aux dizaines (roua’h), aux centaines (neshama), aux milliers (‘haya) et à la myriade (ye’hida).


« Je t’ai multipliée par myriades comme la végétation des champs, tu as augmenté, grandi, tu as revêtu la plus belle des parures, tes seins se sont affermis, ta chevelure a poussé, mais tu étais nue et dénudée. » (Ezekiel 16:7)
רְבָבָה כְּצֶמַח הַשָּׂדֶה נְתַתִּיךְ וַתִּרְבִּי וַתִּגְדְּלִי וַתָּבֹאִי בַּעֲדִי עֲדָיִים: שָׁדַיִם נָכֹנוּ וּשְׂעָרֵךְ צִמֵּחַ וְאַתְּ עֵרֹם וְעֶרְיָה

En connectant le monde d’en Bas au monde d’en Haut, la Matérialité à la Spiritualité, l’Homme dévoile Keter (la plus haute sefira) dans sa totalité et éclaire ainsi la sefira Malkhout (la Shekhina, soit la Présence Divine sur Terre). La sefira Malkhout devient alors le Keter du monde qui suit. Lors de la Délivrance Finale, la Shekhina ne sera plus « dénudée » mais « dévoilée ».

#NoWomanNoChrist

Arôme

Il existe un lien, subtil, entre les Juifs et le Nez.

#G #Nose


L’Arôme est une odeur agréable qui s’élève et « Rom » signifie « Élevé », « Glorifié », « Magnifié » en hébreu.
רום

L’Arôme c’est l’ essence « shemique », l’essence du Shem (le « Nom », Dieu), l’essence d’HaShem.
השם

#EssenceChimique


L’odorat est un sens qui nous connecte plus directement à notre âme que les autres. Il est lié à la pureté de l’âme, à la dimension messianique.

#CédezRome #BurningRome #NezRond


« Il sentira la crainte de Dieu, il ne jugera point selon ce que ses yeux croiront voir, il ne décidera pas selon ce que ses oreilles auront entendu. » (Esaïe 11:3)
Le Talmud (Sanhedrin 93b) explique ainsi que le Machia’h jugera par l’odorat (plutôt que par la vue ou l’ouïe).

#Machiah #NouveauNez


Le Saint Père est arôme.

#Émanation #EssenceDivine


L’Essence Divine, c’est le Roua’h Elohim, la dimension messianique.
Lorsque nous ne sommes plus connectés à l’Essence, on attrape alors le Virus de la Couronne dont l’un des symptômes est la perte d’odorat.
Mais il ne faut jamais désespérer. On peut toujours réparer, revenir vers Dieu. : tous les chemins mènent à l’arôme.

Nathan

En kabbalah, l’enchaînement des mondes est expliqué par un système de métaphores comparant les principaux principes spirituels aux 4 membres archétypaux de la structure familiale.
Le Père, la Mère, le Fils et la Fille sont des « Partsoufim ». Un « Partsouf » est la combinaison d’une ou plusieurs sephirot, représentant un « visage » de Dieu.

Il faut préserver la structure familiale.

#YHVH #SainteFamille


LE PÈRE : Abba. Correspond à la sefira ‘Hokhmah (Sagesse), au monde d’Atsilout (Émanation) et à la lettre Youd du nom de Dieu YHVH.

LA MÈRE : Ima. Correspond à la sefira Bina (Compréhension), au monde de Bria (Création) et à la première lettre Hé de YHVH.

LE FILS : Zeir Anpin / Petit Visage. Correspond aux 6 sefirot liés aux Midot (traits de caractère), au monde de Yetsira (Formation) et au Vav de YHVH.

LA FILLE : Shekhina / Présence Divine, correspond à la sefira Malkhout (Royaume), au monde d’Assia (Action, ce monde-ci) et au deuxième Hé de YHVH.


En kabbalah, la relation parfaite avec le Divin est appelée relation « Face à face ». Cette relation parfaite a lieu quand nous dévoilons les lumières cachées dans ce monde, quand les principes masculin et féminin s’unissent.


Il existe de nombreux procédés de transformation des lettres de l’alphabet hébreu correspondant à différents partsoufim.
Ainsi, la guematria AlBam correspond à Abba / ‘Hokhmah. La guematria AtBash correspond, elle, à Ima / Bina.

« BeYa’had » signifie « Ensemble »
ביחד
Guematria AlBam = 500
משקס
Guematria AtBash = 500
שמסק


« Nathan » (« Il a donné »)
נתן
Guematria = 500

« Naatha » (नाथ), est un terme sanskrit qui signifie « Seigneur », « Protecteur », « Refuge ». Le terme est lié à « Adi Natha » qui signifie « Seigneur Originel ».
« Naathaya » (नाथाय), toujours en sanskrit, veut dire « Donner », « Accorder le refuge ».
Ce terme a notamment donné le prénom tamoul Naathan (நாதன்), que l’on traduit par Fils de Dieu.

N’attends pas. Donne !


Il y a 10 sefirot et « Ten » veut dire « Donne » en hébreu. Chaque sefira correspond à une des parties du corps humain. Un Homme est complet lorsqu’il ne fait pas que recevoir, mais lorsqu’il donne, lorsqu’il transmet. Il n’y a pas d’Enchaînement des mondes sans relation face à face, sans action de donner.
תן


Le Youd du nom de Dieu YHVH est un « Cadeau ».
Le premier Hé la main qui donne.
Le Vav représente la transmission.
Le deuxième Hé la main qui reçoit.

Pour profiter pleinement du Présent de Dieu, il faut savoir ne penser ni à hier ni à demain, et profiter pleinement de l’instant Présent.

Un « Présent » (cadeau) se dit « Matana » en hébreu, et les israéliens prononcent « Maintenant » comme « Matana ».
מתנה

Il ne faut pas attendre. Il faut agir. Maintenant.
N’attends pas pour donner.

« Et Il fut, et Il est, et Il sera dans la gloire » (Adon Olam)
וְהוּא הָיָה וְהוּא הֹוֶה
וְהוּא יִהְיֶה בְּתִפְאָרָה

#TempsPrésent #TenPrésent


« Don » signifie « Seigneur » en espagnol.

#DonDuSeigneur


Quand Abba et Ima sont ensemble, unis, quand ils sont à l’unison, alors ils sont en mesure de « donner », de faire descendre la Lumière divine dans les mondes inférieurs en donnant naissance à Zeir Anpin, le Fils, qui à son tour, pourra s’unir avec la Shekhina.

Onde
Donne
On est Deux
Uni-Son
One Too Free

#Enceinte #FairePasserLeSon


« Shar » (comme dans « Ani Shar », « Je Chante ») du verbe « Lashir » (« Chanter ») s’écrit comme le mot « Sar », « Prince ».
שר
Guematria = 500

#ShirHadash


Le Prince (Zeir Anpin, le Fils) a pour mission de délivrer la Princesse (la Shekhina, Présence Divine).
Pour cela, il doit terrasser le Grand Dragon, le S’attend, en améliorant ses midot, ses traits de caractère. Le dragon vaincu, il pourra s’unir à la Princesse. Ce sera la Délivrance Finale.

#EnAttendantGod #SamaelB #Gnose


Le Prince et la Princesse vivront heureux et auront de « nombreux enfants » : la sefira Malkhout devient le Keter, la couronne du monde qui suit. Tel est le secret du Seder Hishtalshelout, l’Enchaînement des Mondes.

#IlÉtaitUneFoi

Baal

La racine indo-européenne “Bel” signifie “Enfler”, “Gonfler”, “Devenir plus grand”, “Se mettre en colère”, …. “Bel” a par exemple donné les mots “Balu” (“Sac de cuir” en gaulois qui donnera « Balle »), Baleine, Boule, Bull (taureau), Ballot, Phallus, Belge, Blague, etc.


Baal était le nom d’un dieu de l’orage et de la fertilité chez de nombreux peuples du Moyen-Orient de l’Antiquité, notamment les Cananéens et les Phéniciens. « Baal » peut se traduire par « Seigneur », « Maître », « Propriétaire », « Époux ».
Baal était associé au taureau, animal symbole de force créatrice et de puissance, dont le beuglement fait penser au tonnerre.


Dans la mythologie grecque, Europe est une princesse phénicienne enlevée et violée par Zeus qui s’était pour l’occasion métamorphosé en taureau.

#BelleEurope #TonnerreDeZeus


À l’origine, en protosinaïtique, la lettre Aleph représentait une tête de taureau. Au fil du temps, et de sa « migration vers l’ouest », celle-ci s’est retournée pour donner la lettre A de l’alphabet latin.

Les cornes représentent l’Homme qui a vaincu l’animal.
De manière symbolique, l’Homme combat et vainc son âme animale grâce au langage, et il en fait la lettre Aleph, une couronne. Le Taureau se transforme en Torah.

#TonnerreDeTor #TonnerreDeLaTorah #AReine


La racine « Erev » désigne, dans les langues sémitiques, le « Soir », « l’Ouest », l’idée de « Déplacement », de « Passage ». Les mots « Europe » et « Arabe » pourraient ainsi partager une étymologie commune.


En hébreu, la racine « Béla » signifie « Avaler », « Engloutir ».
בלע

#Baal #Balaam #Balak #Belial #Balagan


« Europe »
אירופה
Guematria = 302
= guematria de « Bruxelles »
בריסל

#BlagueBelge #BaalBelge


#Baali #Baalo #DansSonBerceau


Nirguna et Saguna

« Nirguṇa Brahman » (निर्गुण ब्रह्मन्) est une expression composée de « Nirguṇa » qui signifie « Sans distinction » en sanskrit, et de « Brahman » qui désigne l’Âme Universelle, le Grand Tout, l’Absolu.
Dans la philosophie indienne, le Nirguna Brahman désigne ainsi le Divin transcendant, non manifesté.

Nirguna
נירגונה
Guematria ordinale = 72
= guematria pleine du Nom de Dieu YHVH
יוד הי ויו הי

Il existe 4 façons d’épeler complètement le Nom de Dieu YHVH :
– Shem AV (Guematria = 72) יוד הי ויו הי
– Shem SaG (63) יוד הי ואו הי
– Shem MaH (45) יוד הא ואו הא
– Shem BaN (52) יוד הה וו הה

L’épellation du nom de Dieu YHVH appelée Shem AV correspond au monde le plus élevé, celui d’Atsilout (Émanation), le monde spirituel d’où émane le « Or Ein Sof », la « Lumière Sans Fin ».

Le Shem AV correspond à la sefira ‘Hokhmah (Sagesse) et à Abba (le Père).
Son opposé, le Shem SaG correspond, lui, à la sefira Bina (Compréhension), à Ima (la Mère) et au monde de Briah (Création).

De même, l’opposé du Nirguna Brahman est le Saguna Brahman (सगुण ब्रह्मन्), terme composé de « Saguna » qui signifie « Doué de qualités ». Saguṇa Brahman désigne ainsi dans la philosophie indienne l’Absolu avec attributs, le Divin manifesté, immanent.

#Av #Sag


Dans le Vedanta et plus particulièrement dans l’Advaita Vedanta, le Saguna Brahman désigne l’Être à la source de la Création, c’est-à-dire
Ishvara ( ईश्वर ), également appelé Isha.

« Isha » veut dire « Femme » en hébreu.
אשה
Sans sa Dimension Féminine, sans Isha, Nirguna Brahman ne peut se manifester. Ainsi, notre travail dans ce monde consiste à unir le Spirituel et le Matériel, le Ciel et la Terre, le Masculin et le Féminin, les Pensées et les Actions, YHVH et Elohim, la Transcendance et l’Immanence, Nirguna et Saguna…