Il y a cinq Partsoufim (« visages de Dieu », « configurations ») primaires : Arikh Anpin (le Long Visage), Abah (le Père), Imah (la Mère), Zeir Anpin (le Petit Visage), Malkhout (ou Noukva/Féminin, également désigné sous le terme de Shekhina)
Au dessus de ces 5 Partsoufim se trouve Atik, le Partsouf le plus élevé et donc le plus caché . Atik permet la présence de l’Infini au sein de ce qui est limité.
Atik correspond à l’intériorité d’Arikh Anpin. Le processus en Keter crée la capacité à continuer la construction des mondes et canaliser la Lumière sans fin aux niveaux inférieurs.
Atik est également désigné Atik Yomin, l’Ancien des Jours, dont parle Daniel :
Je continuai à regarder, lorsque des trônes furent dressés et un Ancien des Jours prit la place. Son vêtement avait la blancheur de la neige, et la chevelure de sa tête, celle de la laine éclatante son trône était des flammes étincelantes et ses roues un feu incandescent.
Je voyais comme cette corne engageait une guerre avec les saints et triomphait d’eux, jusqu’au moment où, l’Ancien des Jours étant venu, justice fut rendue aux saints du Dieu suprême, et le temps arriva où les saints furent mis en possession de la royauté.
Le système séfirotique est semblable à un programme informatique. Atik est la plus haute configuration kabbalistique, le principe premier créateur. De la même façon, lorsque l’on fait un clic-droit sur ordinateur, la première fonction est de copier.
Au commencement était le Verbe.
L’enchaînement des mondes pourrait se résumer à ces 3 fonctions : Copier (Atik) / Couper (Galout / Exil) / Coller (Gueoula / Délivrance)
Atik et « Lehatik » (qui signifie « Copier ») ont la même racine, car Atik permet de faire un « copier-coller » entre Ein Sof (le Sans Fin) et la Création.
Atik est la Malhout d’Adam Kadmon et est donc « Coupé du monde ».
C’est Atik qui fait la connexion entre les mondes et qui, lors de la Délivrance, va « Coller » YHVH et Elohim, c’est à dire de libérer la Shekhina. Mais sa mission est difficile (« Je suis belle mais je suis noire » dit la Shekhina). Il faut surmonter la Colère divine. Atik « colle Hé » : il rattache le dernier Hé du Nom YHVH.
On retrouve le son « CO » ou « COU » dans les 3 mots : Copier / Couper / Coller. CO et COU peuvent s’écrivent Kaf-Vav en hébreu, soit 26, qui est la guematria du Nom de Dieu YHVH.
Atik est à la fois Coupé et Collé au Ein Sof, et sa fonction est de Copier la lumière du Ein Sof dans les mondes inférieurs;
On retrouve le Nom YHVH dans tout le processus de l’enchaînement des mondes.
Lorsque l’on dit que Dieu cherche à avoir une « demeure » ici-bas, cela veut dire que notre but est faire de ce monde une « copie » du monde d’en-haut.
ATIK = COPIER (COP Yeh)
Pour partager, il faut d’abord copier.
COPIE = COP i (la Tête du i)
La Tête du i, c’est le Point. Le Point c’est Pou Un. Pou s’écrit Peh-Vav en hébreu, soit la guematria d’Elohim (86). La Tête du i, c’est Elohim Un.
La Pointe du Youd.
I signifie Je en anglais.
La Tête a la même prononciation que la lettre Tet en hébreu.
Tet est la 9ème lettre de l’alphabet.
9 et Neuf (nouveau).
La Tête c’est le Youd.
Coppe signifie Tête, Sommet, ou Couronne en Vieil Anglais. En allant plus loin, on voit que le mot est également lié à l’Araignée. https://en.wiktionary.org/wiki/cop
L’araignée. Le web. La toile.
Caput signifie Tête, Sommet, Commencement en latin et vient de le l’indo-européen commun *káput (« tête, pot ») qui donne aussi Haupt en allemand, head en anglais, etc. Ce radical indo-européen comporte la même dérivation métaphorique de « pot » à « tête » que l’on retrouve dans testa ; elle est fréquente dans toutes les langues (et variée → voir bocal, fiole, cruche, bol, pot et boule). Elle a pu se produire indépendamment en gotique, en sanskrit, etc., à partir de la même base, qui, pour le latin donne cupa et qui pour le grec ancien lie κεφαλή, kephalế (« tête ») et κύβας, kúbas (« récipient »). https://fr.wiktionary.org/wiki/caput
L’étude de la racine indo-européenne nous renvoie au sens du mot Atik et à son importance majeure : il signifie à la fois Tête et Récipient. Machiah, qui vient de Atik, est à la fois Tête et Pied. Copier = Cop + Pied
Le mot Copier vient du latin Copia, qui signifie Abondance et qui a donné Copieux en français. Copier, c’est reproduire, et donc créer de l’abondance. Cette Abondance, c’est celle d’Atik, le « Réservoir des âmes », dont la Lumière est Une et Miséricorde.
Le Baal Shem Tov, fondateur de la Hassidout, est né à Okopie.
Atik c’est A-Tik. A, c’est le Aleph, la Source primordial. Tik, Sac en hébreu, est le Récipient.
Source et récipient.
De nombreux mots français comportent cette racine, par exemple Capitale, Capitaine, Cap, Kippa…
To Cope signifie Faire Face en anglais.
Etymologiquement, le Copain est celui avec qui l’on mange le pain.
Copia signifie Couple en italien.
La Copie c’est l’Union.
Unir le microcosmosme et le macrocosme, le générale et le particulier (כלל ופרט = כו »פ).
Faisons l’homme à notre image.
La Kabbalah nous enseigne que les aspects masculins et féminins d’Atik Yomin sont attachés, mais collés « dos à dos ».
Cop signifie aussi Policier en anglais familier.
La Police, c’est la Peau Lisse, la Lumière Lisse (Peau se dit Or en hébreu et signifie également Lumière).
Police, c’est aussi Po Lys, Ici se trouve le Lys. (Po signifie Ici en hébreu).
C’est la Police, le Cop, qui fait respecter la Loi.
Dans 84 pays dans le monde, 112 est le numéro d’urgence, notamment pour appeler la Police.
112 = YHVH (26) + Elohim (86)
Aux USA, le numéro d’urgence est le 911, guematria de Reshit (Commencement, En tête) comme dans Bereshit.
Atik = Tête, Commencement, et … Secours (Délivrance)
Copper signifie Cuivre/Bronze en anglais. Les policiers américains portaient des badges en bronze, ce qui a donné l’anglais familier « cop » pour les désigner.
Magen David = Alliage Haut / Bas
Couper et Coup ont la même étymologie. L’Exil, c’est les Makot.
Cuivre se dit Nehoshet en hébreu et est lié au Nahash (Serpent).
Serpent d’airain.
Pour ne plus être dos à dos, il faut de la Coopération.
Faute de protection et de justice, il a été enlevé. Qui pourrait décrire sa destinée ? Car il s’est vu coupé du pays des vivants, les coups qui le frappaient avaient pour cause les péchés des peuples.
Certaines personnes décrivent le Machiah comme un « Singe » et l’assimilent à l’Antéchrist du Nouveau Testament.
Pourquoi un singe ? Car de nombreux écrits catholiques comparent Satan à un singe, qui « singe » Dieu, prenant les apparences de Dieu, l’imitant, afin de tromper les hommes.
Tertullien, théologien chrétien, déclara que « Satan est le Singe de Dieu ».
Il est intéressant de noter que dans le Judaïsme, le Machiah est également comparé à un « singeur ». En effet, la Kabbalah nous enseigne que l’âme du Machiah vient d’Atik, le niveau supérieur de la sefira Keter (Couronne).
L’animal symbole de la GauLe, la France, est le coq, TarneGoL תרנגול en hébreu.
Le coq possède la Binah, il est le premier à distinguer le jour de la nuit.
La guematria (valeur numérique) de la ragine GaL גל est de 33.
33 est l’indicatif téléphonique international de la France.
33 est le 137ème nombre premier.
Guematria de Kabbalah קבלה = 137
Le « Yetser Ara » (mauvais penchant) dominant en France (Tsarfat) est la débauche (« Pritsout »).
C’est la raison pour laquelle « Cock » en anglais familier signifie le sexe masculin, le penis.
Penis = Panis (« pain » en latin).
Par euphémisme le judaisme assimile le pain au sexe (Talmud Sanhedrin 75a).
La racine indo-européenne « G-h-el » signifie « Chanter » / « Crier » / « Lancer au loin »
« Coq » se dit « TarneGol » en hébreu, « Gallus » en latin, et « Rooster » en anglais.
« Gallus » en latin se lit comme « Galout » (prononciation ashkénaze) qui signifie « Exil » en hébreu..
« Rooster » peut se lire « Roue » + « Ster » (« caché » en hébreu). Le coq, c’est la « roue cachée ».
« La cervelle du coq est faite en forme d’un crapaud bien formé et qu’étant renversé de l’autre côté elle ressemble à une fleur de lys, qui sont les armes des Français et des Gaulois. » (Blaise de Vigenère, diplomate-alchimiste du XVIème siècle)
Tarn(Tourne)Gol.
Guematria pleine de « Tarnegol » (תרנגול)
= 1201
« Reviens, ô mon âme, à ta quiétude, car l’Eternel te comble de ses bienfaits. » (Tehilim / Psaume 116:7)
Une des clés de la Sagesse est la connaissance des chants d’oiseaux.
« Quand la prophétie se tait, le ciel parle par la voix des sages. À défaut de sages, l’avenir est révélé dans les songes, et, à défaut de songes, on peut le lire dans le chant des oiseaux. » (Zohar I, 183b)
« Oiseau témoin, oiseau signe, oiseau messager, oiseau dans le nid caché où le Messie attend son heure. » (Zohar II, 8b)
Par exemple, les canaris émettent des sons composés de 25 à 30 syllabes différentes. Chacune dure de 20 à 200 millisecondes. La répétition de ces syllabes forment des phrases (entre 500ms et 3s) qui elles-mêmes forment un chant (entre 5s et 15s).
On ne peut décrire Dieu par des théories soignées et faciles à comprendre.
Dieu est au delà de « ou » / « parce que » / « soit » / « donc » etc…
Dieu est au-delà des logiques.
Le libre-arbitre et le déterminisme existent simultanément. La vie est à la fois un monologue et un dialogue.
Si tu ne crois pas que tu peux changer toi-même et le monde qui t’entoure, alors tu es encore comme un esclave en Egypte.
Les Enfants d’Israel sortis d’Egypte ont dû accepter de tout abandonner, de relever le défi de laisser derrière eux leur ancienne logique de pensée.
Personne n’est banal. Chaque être humain a en lui des pouvoirs spécifiques à son âme, des pouvoirs souvent insoupçonnés.
L’Egypte (« Mitsraïm ») est une « Galout » (exil en hébreu), un « Goulet » (passage étroit), un « Goulot d’étranglement » (point d’un système limitant les performances globales d’un flux de production).
Sors d’Egypte !
Sors des limites, arrête d’imiter.
Sois toi-même.
Sors de « l’imite ».
Sois toi-même : cultive et fais resplendir ta propre personnalité, ne cherche pas à toujours rentrer dans le moule, ne sois pas un « être-on ».
« Faire d’un adversaire un allié constitue la plus complète et la plus efficace des victoires. » (Rabbi de Loubavitch)
L’Adversaire = Satan / Samael, le Mauvais Penchant, l’Ange de la Mort.
Dieu gère le monde seul. Tout provient de Lui, même le mal, l’Adversaire, illusion qui n’a été créée par Dieu que pour permettre le libre arbitre et nous donner du mérite.
Sans adversaire, il n’y a pas de victoire.
Cela signifie que nous reconnaissons que même le mal, même la mort, ont été créés par Dieu. Il n’y a rien d’autre que Lui.
La Kabbalah nous enseigne que nous pouvons dompter notre mauvais penchant (l’une des formes du Satan) jusqu’à l’utiliser pour faire le bien.
« En cette année jubilaire vous rentrerez chacun dans votre possession. » (Lév. 25:13)
Interprétant un passage du Zohar (1:138b), où il est écrit que le mot « Zot » זאת, « cette », a pour guematria 408 , de nombreux cabalistes proclamèrent l’année 5408 (1648) celle de la Délivrance finale.
Ce fut le contraire qui se produisit cette année là, en 5408. L’année 5408 devint ‘l’année de la terreur ». Les Cosaques, commandés par Chmielnicki, provoquèrent des pogroms atroces. Plus de 100 000 Juifs furent massacrés.
« La Pénitence (Techouva), la Prière (Tefilah), et la Charité (Tsedakah) atténuent la sévérité du jugement » (Ounetané Tokef, prière de Rosh Hashana et de Yom Kipour).
Dans les livres de prières, les mots Techouva, Tefilah et Tsesaka sont surmontés des mots Tsom, Kol et Mamon.
Ces 3 mots, Tsom צום (jeûne), Kol קול (voix), et Mamon ממון (argent), ont chacun exactement une valeur numérique de 136.
Ensemble, leur guematria est de 408.
Tsom + Kol + Mamon = 408
Il est écrit que le jour de Yol Kipour Aaron entrait dans le Sanctuaire avec « cette chose » (Lévitique 16, 3).
Aaron avait de nombreux ustensiles. Pourquoi est-il écrit « Zot » (cette) et non pas « Élé » (ces) ?
Car il y a 3 voies de repentir : Techouva, Tefilah, et Tsom.
Qassem Soleimani
קאסם סולימאני
Guematria = 408
Qassem Soleimani, général iranien, commandant de la Force Al Qods, est actuellement l’une des personnes qui fait peser le plus de menaces sur Israel.
Yom Kippour approche. Le véritable repentir écarte de tous les dangers.
Notre « possession » c’est « notre âme, qui est notre propriété et notre patrimoine » (Zohar I 139b).
Le « Zot » de « En cette année » fait avant tout référence à la Techouva, la Tefilah, et la Tsedakah, les 3 voies de la repentance qui permettent de « revenir à son âme ».
Pain (qui vient de « panis » en latin) est un homonyme du mot anglais « Pain » qui signifie « Douleur ».
Pourquoi la douleur ? Car lors de l’exil, l’homme doit gagner sa vie, son pain, « à la sueur de son front ».
Les Pains de Proposition « Lehem HaPanim » לחם הפנים, ou « Pain des Faces » correspondent eux aussi à la Douleur, ils sont associés à la sefirah Gvourah (la Rigueur). Dans le Temple, la table des Pains de Proposition était située au Nord, direction également liée à la Gvourah.
Guematria du Nom de Dieu YHVH יהוה
= 26
Pain (Lehem) לחם
= 78
Pain = YHVH X 3
Une des explications du sens du mot « Pain des Faces » (Lehem HaPanim) est que ces pains avaient la forme des Kerouvim (Chérubins), les anges situés sur l’Arche.
Ces anges se faisaient Face à Face.
La racine indo-européenne PAN signifie « Vêtement », « Voile », « Textile ».
En hawaïen, Face (« Panim » en hébreu) se dit « Maka » qui veut dire « Coup » en hébreu. Nous retrouvons ici le lien entre Pain et Coup (Le’hem HaPanim / Face / Pain dans la Gueule).
Même le hawaïen peut nous aider à percer les secrets de la Torah.
הוואי / Shem Havaye / YHVH
Si on étudie le mot de façon plus profonde, c’est à dire en « cassant la klipa » et en remontant à La Source, les Pains de Proposition, ou « Pain des Faces », correspondent, en argot français, au « PAIN dans la GUEULE », qui nous renvoie à nouveau à la Gvourah (Rigueur Divine).
Le japonais (yaPaNit) est lié à la sefira Gevourah. EN japonais, « Visage » se dit « Kao » 顔 (prononcer comme « K.O. » ou « Chaos »).
Le’hem HaPanim
Pains dans la Gueule
Proposition de la « Mafia » (« Boulangerie » en hébreu)
BoulAnge
Baker / BaCœuR / KRV
La Hassidout, la Kabbalah, nous enseignent que la Présence Divine se cache dans les choses les + grossières.
D’une façon surprenante, lors de la Délivrance finale, nous verrons que même les paroles « grossières » que nous avons apprises permettent d’apprendre la Sagesse Cachée.
« Pan » signifie « Gueule » / « Visage » en anglais (argot ancien).
Vignettes Panini : visages de joueurs de football.
« Elohim dit : Faisons l’homme à notre image » (Gen 1:26)
וַיֹּאמֶר אֱלֹהִים, נַעֲשֶׂה אָדָם בְּצַלְמֵנוּ
« à notre image » = « betsalmenou »
Tsal / Tsèle (צַלְ) signifie « Ombre ». Selon certains avis il est préférable de traduire le verset ainsi : « Faisons l’Homme dans notre ombre ».
À la manière de l’Ombre, qui est l’absence de lumiére, le Nom naît grâce au « tsimtsoum », le « retrait » de la Lumière Divine permettant la Création.
Il existe de nombreux Noms Divins, les plus connus étant YHVH et Elohim. Mais au-dessus d’un certain niveau, il n’y a plus de mots, il n’y a plus de Nom, car la compréhension de l’Essence Divine, la Lumière, y est trop aveuglante.
Résumé du Discours du Rabbi de Loubavitch sur la Paracha Vayechev (23 Kislev 5752 / 30 juin 1991).
La ‘Hassidout enseigne que, bien que la dispersion des Enfants d’Israël aux quatre coins du monde apparaisse superficiellement comme un sujet négatif, il s’agit en réalité d’un bienfait de Dieu.
Les Sages ont dit à ce propos « Dieu a fait preuve de charité en dispersant les Enfants d’Israël parmi les nations » (Talmud Pessa’him 87b). En effet, en y étant établis de façon stable, les Juifs imprègnent leurs pays de résidence respectifs de la Torah et des Mitsvot, d’une manière qui dépend des modalités et des us propres à la nature de chaque endroit. Le Midrach stipule en effet « Lorsque tu te rends dans une cité, adoptes-en les usages » (Chemot Rabbah, 47, 5) (dans le respect des lois de la Torah). On retrouve cela dans la Halakha : «Un principe fondamental des règles du commerce veut que les affaires soient traitées dans la langue des habitants de l’endroit et d’après la coutume locale» (Maïmonide, lois relatives au commerce). Ainsi la Torah confère-t-elle une importance particulière et une force juridique à la coutume locale non-juive.
Cela permet de comprendre l’importance du fait que des Juifs se soient établis en de si nombreux endroits : c’est précisément lorsque l’on est implanté dans un certain milieu et que l’on en maîtrise parfaitement les usages que l’on crée pleinement « une demeure pour Dieu dans les mondes inférieurs » (Midrach Tan’houma). Le fait que le Midrach utilise l’expression plurielle « les mondes inférieurs » pour désigner le monde matériel montre qu’il est important que ce travail soit réalisé dans chaque endroit, conformément à la coutume locale. En effet, chaque endroit étant caractérisé par une mentalité et une façon de vivre spécifiques, ce n’est qu’en y étant parfaitement intégré que l’on peut l’influencer de l’intérieur.