« Ouvre mes yeux, pour que je puisse contempler les merveilles de ta Torah ! » (Tehilim / Psaume de David 119:18)
« Ouvre mes yeux » : « Gal Einay »
גל עיני
GaL (גל) = Dévoilement.
Le Mongol, le Bengali et le Gallois partagent la racine GaL et sont donc liés à la sefira Malkhout (la Royauté).
Exemples : La Horde d’Or (Mongolie), le Prince de Galles, Calcutta (« KolKata » en bengali, soit la « Malkhout » de la déesse Kali), etc.
Mongolie (Mongolia) מונגוליה Guematria en valeur réduite (mispar katan) = 33 = GaL (גל)
Capitale de la Mongolie : Oulan Bator
« Bat Or » signifie « Fille de la Lumière » en hébreu. C’est la sefira Malkhout (Royauté), la Présence Divine, la Shekhina.
Oulan Bator (אולאן בטור) Guematria en « Mispar Boneh » (ajout des valeurs précédentes pour chaque calcul de lettre) = 770
Mongolie (מונגוליה)
Guematria = 150
Oulan Bator (אולאן בטור)
= 305
Le calcul de la somme des diviseurs de 150 et 305 donne un résultat identique = 372, qui est la guematria des Sheva (שבע). qui signifie Sept. Le chiffre sept nous renvoie à nouveau à Malkhout, représentée par le 7ème jour.
Oulan Bator אולאן בטור Oulan signifie « Héros » en langue mongole, et Bator, « Rouge ».
Guematria de Bator
בטור
= 217 = Guematria de Gevourah
(216) avec le kollel.
Rouge = Gevourah (Puissance, Rigueur,…)
LUMIERE se dit « гэрэл » (prononcer « Guerel ») en langue mongole, qui est l’anagramme de רגל (Reguel), qui signifie Pied en hébreu.
Car lors de la Délivrance, le « Pied » du Goel (Libérateur) se pose sur Malkhout et la Shekhina (Présence Divine) resplendit de Lumière.
Lumière se dit « Golau » en gallois.
Lumière se dit « Louz » en Galicien.
Louz est le nom donné à « l’os indestrucatible », « l’os de lumière », et à la Ville Indestructible.
« Jacob appela cet endroit Béthel, mais Louz était d’abord le nom de la ville » (Genèse 28:19).
Pied se dit « хөл » (prononcer « G’ol ») en langue monGoLe.
« Or » = « Goula » en hawaïen.
Il est possible de lier chaque nation et chaque langue à une Sefira particulière et ainsi en faire sortir des « Lumières ».
MAIS : Conjonction qui permet d’indiquer une différence, une opposition, une précision, une objection ou une transition.
SI : Marque l’affirmation en réponse à une négation.
Tel est le « Secret du Mais Si », qui s’oppose à l’Exil.
Car le Machiah, le Messie, se démarque par sa différence, s’oppose et objecte, précise la Torah sur tous ses points, détruit les forces négatives et marque la transition vers un monde qui fait Un avec la Présence Divine.
Il y a plusieurs siècles, à Tsfat, en Galilée, Rabbi Ytshak Louria, le Ari Zal, était réuni avec ses disciples pour la lecture de la Torah à la synagogue. Il leur annonça que le Machiah allait aujourd’hui se dévoiler et monter à la Torah ! Le Ari Zal leur dit qu’ils devaient veiller à respecter scrupuleusement ce moment de grande sainteté, quoi qu’il puisse se passer.
Le premier appelé à la Torah fut appelé. Et soudain, apparut Avraham Avinou dans toute sa splendeur. Un grand silence régnait dans la synagogue pendant ce moment solennel et majestueux. Ce fut ensuite le tour d’Ytshak, de Yaakov, Moshe Rabbenou,… et chacun dans la synagogue éprouvait un profond respect pour chacun des grands personnages de la Torah.
Puis vint le moment fatidique, le moment où le Machiah allait être appelé à la Torah. Une voix appela « Machiah Ben David ! »… Soudain, les fidèles virent un personnage au comportement bizarre, entrer dans la synagogue par la fenêtre de la synagogue. Que faisait là un tel hurluberlu ? Il avait un accoutrement de bouffon, faisait des grimaces et des acrobaties. Les fidèles du Ari Zal ne purent retenir leurs moqueries à la vue de ce personnage si étrange.
Une grande obscurité tomba subitement dans la synagogue. Les patriarches, Moshe Rabbenou, le clown, tous avaient disparus.
Le Ari Zal avait un visage triste : le Machiah n’avait pas pu se dévoiler.
Dans notre société actuelle, il est très difficile de se faire entendre quand on n’appartient pas à un groupe politique, religieux, etc., si l’on n’a pas d’étiquette.
Cette histoire du Ari Zal nous enseigne qu’il faut parfois savoir « faire le fou », comme dit Rabbi Nahman de Breslev, pour retrouver l’Unité, réconcilier les contraires.
Le mot « Clown » vient du germanique « Klönne » signifiant « homme rustique, balourd », depuis un mot désignant, à l’origine, une « motte de terre ».
« Clown » se dit « Leitsane » en hébreu ליצן Guematria = 180
= guematria de « Panim » (« Visages ») פנים = « Inyan » (« Affaires ») ענין = « Poal » (« Action ») פעל = « Olaf » (« Enveloppé », « Dissimulé ») עלף
180 correspond à la transformation du Nom de Dieu YHVH en Akhas Beita, et donc au partsouf Zeir Anpin, le Petit Visage destiné à quitter sa fonction de « Clown » / « Homme rustre » pour devenir un « Clone » de Dieu. C’est par l’action, en améliorant ses midot, que le « Clone » se dévoile.
קלון
Les mot « Clone » et « Clown » retranscrits en hébreu (Kouf, Lamed, Vav, Noun) ont une valeur numérique de 186 (guematria pleine de letrre Kouf).
Cependant, le sens de ce mot, « Kalon », est tout autre : il signifie « Infamie », que nous devons transformer en « Couronne ».
Attaque des Clones / Attaque des Clowns
« Celui qui veut s’éloigner du mal, doit faire le fou quand il voit qu’il n’y a pas de vérité dans le monde. »
Rabbi Nahman de Breslev
À la cour du Roi, seul le bouffon a le droit de dire toute la vérité.
Il n’y a pas de Mi sans Ma, ni de Ma sans Mi.
Le Mi a besoin du Ma, et le Ma besoin du Mi.
Pas d’En-haut sans En-bas ni d’En-bas sans En-haut.
La tâche du Fé-MI-nin est de se lier au MI, celle du MA-sculin de se lier au MA.
Guematria de Mi (50) + Ma (45) = 95
95ème commandement de la Torah « Et ils me construiront un sanctuaire, pour que je réside au milieu d’eux » (Exode 25:8)
Les Eaux d’En-bas et les Eaux d’En-haut se rejoignent, se miment et forment un tout : L’Eau Une, celle qui ruisselle infiniment du haut vers le bas et du bas vers le haut.
L’Eau (HaMayim) המים Guematria = 95
« Et l’esprit de Dieu planait sur la surface des eaux. » (Genèse 1:2)
L’esprit de Dieu réside là où les opposés sont réunis.
Mascul-UN et Fémin-UN.
C’est l’Esprit de Dieu qui va construire le Sanctuaire.
Je le vois, mais ce n’est pas encore l’heure ; je le distingue ; mais il n’est pas proche : un astre s’élance de Jacob, et une comète surgit du sein d’Israël, qui écrasera les sommités de Moab et renversera tous les enfants de l’orgueil.
« Kokhav MiYaakov OuKam Shevet MiIsrael OuMakhats » contient les Rashei Tevot (initales) de « Kemo Shemo ».
Kmo Shemo signifie « Comme Son Nom » car lorsque les deux Messies sont réunis, le Nom de Dieu est UN.
Comme Son Nom (Kemo Shemo) כמו שמו Guematria = 412
Maison (Beit) בית = 412
Maison de David et Maison de Yossef (Beit David veBeit Yossef) בית דוד ובית יוסף
= 1000
1000 se dit « Elef » en hébreu et s’écrit comme « Alef » qui veut dire Un.
Machiah ben David et Machiah ben Yossef construisent une Maison pour le Un.
Seuls 4 versets de la Bible ont une guematria totale de 1000. Tous sont des versets des Tehilim, les Psaumes de David : 30:8, 59:17, 116:14, et 116:18.
Lumière (« Or » אור), Secret (« Raz » רז) et Etranger (« Zar » זר) partagent la même guematria = 207.
Pour à la fois recevoir la Lumière et illuminer le monde, il faut s’ouvrir vers l’étranger, vers l’autre, vers ce qui est différent. Le monde n’aura alors plus de secrets pour nous.
Un mot proche, Tserouf, signifie Combinaison, Purification, Réunion, Liaison,…
Voici ce que dit le Rabbi de Loubavitch à propos du lien entre la France et le Tserouf :
Tsarfat (France en hébreu) est lié avec le mot Tserouf qui signifie Purification, comme il est écrit au sujet de la Délivrance « Beaucoup seront triés, épurés et passés au creuset (yitsarfou). » (Daniel, 12:10), car celle-ci vient à travers le « raffinement du monde ».
La France (Gaule = « Gallus » en latin, qui signifie aussi « Exil » en hébreu) amènera à la Gueoula (« Délivrance finale »). C’est le secret du nombre 770, de l’Etoile de David et l’Hexagone, de Yaakov et Essav.
Le secret du Nombre 770, c’est la guematria de Tsarfat, qui est également la valeur numérique de Beit Machiah (La Maison du Messie).
Le secret de l’Etoile de David et l’Hexagone, c’est le chiffre 6, le Vav, le lien. C’est leur complémentarité.
La France cristallise les forces les plus négatives et son raffinement propre marque la plénitude du raffinement du monde.
(Rabbi de Loubavitch)
Le secret des frères jumeaux Yaakov et Essav :
Il est écrit dans le Talmud que Edom (Essav) est constitué de deux peuples, Rome et Guermania.
Avec Clovis, les Francs ont réussi à « rassembler les contraires », c’est à dire faire le Tserouf, des mondes romains et germaniques.
Deux peuples constituent Essav : Rome et Guermania (Talmud Meguila 6a). Rome a 365 chefs, Guermania 300. Ces 2 peuples se font la guerre. S’ils se réunissaient sous un chef le monde serait dévasté.
Le Talmud a été écrit avant le couronnement de Clovis.
Il existe un lien profond entre la France et la Délivrance messianique. La raison en est que la plénitude du raffinement du monde est atteinte par le raffinement et l’élévation de la France.
(Rabbi de Loubavitch)
La France est le lieu du Tserouf de Rome et Germania, d’Essav et Jacob, des Royaumes de Judah et d’Israel.
La synergie entre la force supérieure d’Essav et la sagesse de Jacob sera la caractéristique déterminante des temps messianiques et constitue par là même la clé de leur avènement.
Situé face à un bâtiment par exemple, un PANneau, ou une PANcarte, nous donne des indications.
De la manière, le Visage (Panim) nous indique l’Intériorité (Pnimiout) d’un personne.
Notre visage est notre « panneau ».
Lorsque nous révélons le Divin en nous et dans le monde, notre visage « s’éclaire », nous devenons des « panneaux lumineux ».
L’Ange Metatron est aussi appelé Sar HaPanim, « le Prince du Visage ».
Lorsque le Zohar dit que Metatron est « la lumière brillante de la Shekhina » (Zohar), cela signifie que la Shekhina resplendit lorsqu’elle est unie à Zeir Anpin.
« L’Arche d’en Haut » est l’Arche de Metatron. (Midrash Rabba), Nombres 12:12)
METATRON est SHADAI lorsque le Saint, béni soit-il, descend dans le Monde de BRIYAH pour régner sur l’Arbre de la Connaissance du Bien et du Mal, le bien étant Métatron et le mal Samaël, le roi des démons. Métatron est un ange, le roi des anges, mais sous l’aspect de l’arbre de vie, le nom Shadai est Yesod d’Atsilout.
Zohar Ki Tetse
Guematria de Metatron מטטרון
= 314
Guematria de Shaddai שדי
= 314
Pi = 3,14…
Circonférence / Cercle / Balle / Boule
Les 5 li
Guematria de Metatron מטטרון
= 314
Guematria de Shaddai שדי
= 314
Pi = 3,14…
Circonférence / Cercle / Balle / Boule
Les 5 livres de la Torah commencent par les lettres Bet, Shin, Vav, Bet, et Dalet (Bereshit, Shemot, Vayikra, Bamidbar, Dvarim).
La racine STR se retrouve dans les mots MYSTERE et MASTER (Maître).
Mi (qui ?) et Ma (quoi ?) sont deux concepts importants en kabbalah.
Le Mystère, c’est le « Mi caché ».
Le Master, celui qui maîtrise la matière, c’est le « Ma caché ».
Master מאסטר Guematria = 310 = Guematria de « Yesh » יש Car le MaSter maîtrise le « Ma » et le « Yesh » pour accéder aux MyStères du « Mi » et du « Ein ». אין
M’être
Mi, extrémité du ciel d’en haut, et Ma, extrémité du ciel d’en bas. Et c’est là l’héritage de Jacob qui forme le trait d’union entre l’extrémité supérieure Mi et l’extrémité inférieure Ma, car il se tient au milieu d’elles. »
Zohar Bereshit 1a
Il est écrit : « Au commencement. » Rabbi Éléazar ouvrit une de ses conférences par l’exorde suivant : « Levez les yeux en haut et considérez qui a créé cela. » « Levez les yeux en haut », vers quel endroit ? Vers l’endroit où tous les regards sont tournés. Et quel est cet endroit ? C’est l’« ouverture des yeux ». Là vous apprendrez que le mystérieux Ancien, éternel objet des recherches, a créé cela. Et qui est-il ? « Mi » (= Qui). C’est celui qui est appelé l’« Extrémité du ciel », en haut, car tout est en son pouvoir. Et c’est parce qu’il est l’éternel objet des recherches, parce qu’il est dans une voie mystérieuse et parce qu’il ne se dévoile point qu’il est appelé « Mi » (= Qui); et au-delà il ne faut point approfondir c. Cette Extrémité supérieure du ciel est appelée « Mi » (= Qui). Mais il y a une autre extrémité en bas, appelée « Mâ » (= Quoi). Quelle différence y a-t-il entre l’une et l’autre ? La première, mystérieuse, appelée « Mi » est l’éternel objet des recherches ; et, après que l’homme a fait des ; recherches, après qu’il s’est efforcé de méditer et de remonter d’échelon en échelon jusqu’au dernier, il finit par arriver à « Mâ » (= Quoi). Qu’est-ce que tu as appris ? Qu’est-ce que tu as compris ? Qu’est-ce que tu as cherché ? Car tout est aussi mystérieux qu’auparavant. C’est à ce mystère que font allusion les paroles de l’écriture : « Mi » (= Quoi), je te prendrai à témoin, Mâ (= Quoi), je te ressemblerai. » Lorsque le Temple de Jérusalem fut détruit, une voix céleste se fit entendre et dit : « Mâ » (= Quoi) te donnera un témoignage », car chaque jour, dès les premiers jours de la création, j’ai témoigné, ainsi qu’il est écrit : « Je prends aujourd’hui à témoin le ciel et la terre. » « Mâ te ressemblera », c’est-à-dire te conférera des couronnes sacrées, tout à fait semblables aux siennes, et te rendra maître du monde, ainsi qu’il est écrit : « Est-ce là la ville d’une beauté si parfaite, etc. », et ailleurs, Jérusalem qui est bâtie comme une ville dont toutes les parties sont dans une parfaite harmonie entre elles. » « Mâ » (= Quoi) deviendra ton égal, c’est-à-dire il prendra en haut la même attitude que tu observeras en bas ; de même que le peuple sacré n’entre plus aujourd’hui dans les murs saints, de même je te promets de ne pas entrer dans ma résidence en haut avant que toutes les troupes soient entrées dans des murs en bas. Que cela te serve de consolation, puisque sous cette forme de « Quoi » je serai ton égal en toutes choses. Et s’il en est ainsi, « le débordement de tes maux est semblable à une mer ». Mais si tu penses que ton mal est sans guérison et sans fin, détrompe-toi, « Mi te guérira ». Car (Mi), celui qui est l’échelon supérieur du mystère et dont tout dépend, te guérira et te rétablira ; Mi, extrémité du ciel d’en haut, et Mâ, extrémité du ciel d’en bas. Et c’est là l’héritage de Jacob qui forme le trait d’union entre l’extrémité supérieure Mi et l’extrémité inférieure Mâ, car il se tient au milieu d’elles. Telle est la signification du verset : « Mi (= Qui) a créé cela ».
Zohar Bereshit 1a
« De » / « Depuis » (dans le sens de « Origine ») se dit « Mi » en hébreu.
Car notre Origine est dans l’En-haut.
Mi cadeau.
Kabbalah, Gnose, Guematria, Anthropologie, Linguistique, Métaphysique, Langue des Oiseaux, Humour, Rock et Poésie.