Le mot « Conscience » vient du latin « Conscientia », composé de « Con » (« Avec ») et de « Scientia » (« Connaissance »).
« Todaa » (« Conscience ») תודעה Guematria ordinale = 53 = guematria ordinale de « Torah » תורה = guematria de « Evèn » (« Pierre ») אבן
#Connaître #Avec
« Evèn » est composé de « Av » (« Père »), symbole de la ‘Hokhmah, la Sagesse, et de « Ben » (« Fils », Zeir Anpin, représentant l’affinement des traits de caractère). אב בן
En kabbalah, un Partsouf représente une configuration de sefirot, de forces spirituelles. Un Partsouf peut se traduire par « Visage » et il y en a 4, comme les 4 membres archétypaux de la famille.
Outre le Père et le Fils, il y a la Mère, liée au partsouf Bina, la Compréhension.
Le Fils (Ben) tire sa force de la Bina, et ces deux mots ont la même racine que le verbe Livnot, Construire.
C’est en taillant sa pierre, en travaillant sur soi-même pour devenir un homme / une femme meilleur(e) que l’on dévoile la Fille, la Shekhina, la Présence de Dieu sur Terre, la conscience d’être une Pierre du Temple.
La Croix représente l’exil de Rome, d’Edom, du monde occidental. Par l’étude de la Kabbalah, des secrets de la Torah, nous pouvons « renverser la croix », renverser l’exil, et voir la Lumière de la Délivrance.
« Tsalav Hafou’h » (« Croix à l’envers ») צלב הפוך Guematria = 233 = « Ets Ha’Hayim » (« L’Arbre de Vie ») עץ החיים = « Or YHVH » (« Lumière de Dieu ») אור יהוה
Pour croître, il faut renverser l’Arbre de la Mort : il ne faut pas croire, mais être dans l’action, l’épée levée.
La Famille et la Transmission entre générations font partie des valeurs primordiales de la Torah. En kabbalah, l’enchaînement des mondes est expliqué à travers un système de métaphores comparant les principaux principes spirituels aux 4 membres archétypaux de la structure familiale. Le Père, la Mère, le Fils et la Fille sont des « Partsoufim ». Un « Partsouf » est la combinaison d’une ou plusieurs sephirot, représentant un « visage » de Dieu.
#SainteFamille
LE PÈRE : Abba. Correspond à la sefira ‘Hokhmah (Sagesse), au monde d’Atsilout (Émanation) et à la lettre Youd du nom de Dieu YHVH.
LA MÈRE : Ima. Correspond à la sefira Bina (Compréhension), au monde de Bria (Création) et à la première lettre Hé de YHVH.
LE FILS : Zeir Anpin / Petit Visage. Correspond aux 6 sefirot liés aux Midot (traits de caractère) :
Le Fils correspond au monde de Yetsira (Formation) et à la lettre Vav de YHVH.
LA FILLE : Shekhina / Présence Divine, correspond à la sefira Malkhout (Royauté), au monde d’Assia (Action, ce monde-ci) et au deuxième Hé de YHVH.
Certains disent de Dieu qu’il est « le Père », d’autres disent qu’il est « la Mère », d’autres encore qu’il est « le Fils ». Les religions ont tout faux. Dans notre monde, la Présence Divine, la Shekhina, correspond à la Fille. Dieu se rend perceptible sous les traits d’une Fille : pour trouver le Divin, il ne faut pas dédaigner les plus petits. Le Divin se fait « tout petit », ce qui est d’apparence faible cache ce qui est plus précieux.
Dieu se révèlera pleinement lorsque le monde sera plus attentif à la voix des Femmes et des Enfants. Faisons preuve d’humilité, de sensibilité, d’insouciance. Écoutons la voix de de la Princesse.
L’ancien monothéisme, c’est la religion du vieux barbu. Les religieux intégristes refusent d’ailleurs d’écouter la voix d’une femme. Grâce à la Nouvelle Torah, fini les vieux barbus : place à la petite fille.
« Qu’il s’en remette à l’Eternel ! Que celui-ci le sauve, qu’il l’arrache du danger, puisqu’il l’aime! » (Psaumes 22:9) גֹּל אֶל יְהוָה יְפַלְּטֵהוּ יַצִּילֵהוּ כִּי חָפֵץ בּוֹ
Lorsque nous nous remettons à l’Eternel, celui-ci nous sauve, nous traversons les tumultes de ce monde grâce au Pont du Roua’h HaKodesh (Saint-Esprit).
597 + 3 lettres = 600 = les deux lettres Shin (300 x 2) réunies.
#TraverserLeRhône #LeTrône
Lorsque nous traversons le « Pont-Saint-Esprit’, le Divin « habite » (« Gar ») en nous. גר Guematria ordinale de « Gar » = 23 = 23ème lettre de l’alphabet, le Shin à 4 branches.
Antimoine אנטימון Guematria = 166 = guematria de « Imanou » (« Avec nous ») עמנו = « Elyon » (« Très haut ») עליון
« Antimoine » = Anti + Monos (« Seul » en grec)
Un des symboles alchimiques de l’Antimoine, un cercle surmonté d’une croix, désigne aussi le sexe féminin : il n’est pas bon d’être seul. Sans une Femme, un Homme ne peut s’élever.
« Saint Pierre » se dit « Petrus HaKadosh » en hébreu פטרוס הקדוש Guematria = 770 = guematria de « Tsarfat » (« France ») צרפת = « Beit Mashia’h » (« Maison du Messie ») בית משיח
#Even #AvBen #Petrus #Tserouf #Tsarfat #770
« Saint-Pierre » (transcription phonétique) סן פייר Guematria ordinale = 86 = guematria du nom de Dieu « Elohim » אלהים
« Puis ils se mirent à errer de nation en nation, d’un royaume vers un autre peuple. » (Psaumes 105:13) וַיִּתְהַלְּכוּ מִגּוֹי אֶל גּוֹי מִמַּמְלָכָה אֶל עַם אַחֵר Guematria du verset = 1111
#ExilPourLaGloire #TrouverLesNitsotsot
« Car l’Éternel sera l’objet de ton espoir ; il préservera ton pied des embûches. » (Proverbes 3:26) כִּי יְהוָה יִהְיֶה בְכִסְלֶךָ וְשָׁמַר רַגְלְךָ מִלָּכֶד Guematria du verset = 1111
La Famille et la Transmission entre générations font partie des valeurs primordiales de la Torah. En kabbalah, l’enchaînement des mondes est expliqué à travers un système de métaphores comparant les principaux principes spirituels aux 4 membres archétypaux de la structure familiale : le Père, la Mère, le Fils et la Fille.
LE PÈRE : Abba. Correspond à la sefira Khokhmah (Sagesse), au monde d’Atsilout (Émanation) et à la lettre Youd du nom de Dieu YHVH.
LA MÈRE : Ima. Correspond à la sefira Bina (Compréhension), au monde de Bria (Création) et à la première lettre Hé de YHVH.
LE FILS : Zeir Anpin / Petit Visage. Correspond aux 6 sefirot liés aux Midot (traits de caractère) :
Hessed (Bonté) Gvourah (Rigueur) Tiferet (Harmonie) Netsakh (Victoire) Hod (Reconnaissance) Yessod (Fondation) Le Fils correspond au monde de Yetsira (Formation) et à la lettre Vav de YHVH.
LA FILLE : Shekhina / Présence Divine, correspond à la sefira Malkhout (Royauté), au monde d’Assia (Action, ce monde-ci) et au deuxième Hé de YHVH.
Comprendre ce principe permet d’avoir une compréhension beaucoup plus profonde de la Torah. Il permet également de mieux comprendre l’origine midrachique des évangiles. Les évangiles, écrits par des Juifs connaisseurs de la Torah et de la Kabbalah, sont des types de récits midrachiques (contes et histoires édifiantes basées sur la Torah) ayant pour particularité d’avoir été rédigés à partir des Livres des Prophétes, notamment Esaïe.
ZionKabbalah.com est un site « antimessianique » et il est important pour le lecteur de comprendre que nous ne vivons pas au pays des rêves : lorsque nous parlons du « Fils » par exemple, cela n’a rien à voir avec Jésus qui nous le rappelons n’est qu’une sorte de mythe solaire sans existence historique (ce que le Vatican a essayé de cacher pendant des siècles).
« HaLev HaKadosh » (« Le Cœur Saint ») הלב הקדוש Guematria = 452
« Ceci est l’histoire des générations de l’humanité. Lorsque Dieu (Elohim) créa l’être humain, il le fit à sa propre ressemblance. » (Genèse / Bereshit 5:1)
« BeDemout » (« À sa propre ressemblance ») בדמות Guematria = 452
La dimension de « l’âme de Machiah », qui inclut toutes les âmes et le chemin de leurs rédemptions, se situe dans Atik (« La Sainte Ressemblance »), et s’atteint avec un « Cœur Saint ».
Il [Rabbi Yo’hanane ben Zaccaï] leur dit : « Allez et identifiez le bon chemin auquel l’homme doit s’attacher. » Rabbi Eliézer dit : « un bon œil. » Rabbi Yeochoua dit : « un bon ami. » Rabbi Yossé dit : « un bon voisin. » Rabbi Chimone dit : « entrevoir les conséquences de ses actes. » Rabbi Eléazar dit : « un bon cœur. » Il leur dit : « Les paroles d’Eléazar ben Ara’h m’apparaissent préférables aux vôtres, car les vôtres sont incluses dans les siennes. » Il leur dit : « Allez et identifiez le mauvais chemin dont l’homme doit s’éloigner. » Rabbi Eliézer dit : « un mauvais œil. » Rabbi Yeochoua dit : « un mauvais compagnon » Rabbi Yossé dit : « un mauvais voisin. » Rabbi Chimone dit : « c’est celui qui emprunte et ne restitue pas. » [En effet] emprunter à l’homme équivaut à emprunter à Dieu, car il est dit : L’impie emprunte et ne restitue pas, mais le Juste [D.ieu] agit avec bonté et donne[au prêteur lésé]. Rabbi Eléazar dit : « un mauvais cœur. »
« Or Na’hash » (« Peau de Serpent »)
עור נחש
Guematria = 634
#ChatBotté #Chabbat #Malkhout
Les bottines que Caligula portait et qui étaient adaptées à ses petits pieds lui ont valu son surnom, diminutif de « caliga » (« bottine », « sandale » en latin).
Agrippa Ier né vers 10 avant notre ère et mort vers 44 à Césarée, petit-fils d’Hérode le Grand, est le dernier roi juif de Judée.
#Caligula #ChatBotté
Porteur d’une double identité juive et romaine, Agrippas 1er joue un rôle d’intercesseur en faveur des Juifs auprès des autorités romaines et laisse espérer la restauration d’un royaume juif indépendant.
Sur le chemin de son nouveau royaume, Agrippa passe par Alexandrie vers juillet 38. Lors de festivités, le nouveau roi y est la cible d’une mascarade populaire anti-juive mettant en scène un « Roi des Juifs » idiot surnommé Karabas (voir extrait de Wikipédia en bas de page).
Il meurt subitement — peut-être empoisonné — en 44.
#SecretDuChatBotté
En latin, Agrippa est un nom signifiant « qui vient au monde les pieds les premiers », « cause de grandes douleurs lors de son enfantement » (source : Gaius Plinius Secundus).
En grec, Agrippas (αγρίππας) signifie « cheval sauvage ».
#ChatBotté #DompterLAnimal
« Écoutez l’histoire difficile à croire de cet homme qui n’avait rien. »
#Agrippa #Goya #ChatBotté
Écoutez l’histoire difficile à croire
De cet homme qui n’avait rien
Qu’un chat de misère qui a su y faire
Pour lui changer son destin
En chaussant ses bottes en mangeant un ogre
En peu de temps il changea
D’un coup de baguette son malheureux maître
En marquis de Carabas
Certains critiques voient dans cette parodie une référence à la crucifixion de Jésus car elle ressemble par bien des points à ce qui est fait subir à un des deux Jésus — Jésus Barabbas et/ou Jésus le roi des Juifs — dans les récits de la Passion contenus dans les Évangiles. Le nom même par lequel les acteurs de cette parodie appellent leur victime (Karabbas) fait penser à Barabbas, l’alter ego de Jésus Christ dans ces récits. Cette proximité est autant phonétique que graphique. Surtout que dans les textes chrétiens antiques les surnoms ou cognomen Barsabas et Barabbas sont souvent connectés aux noms des membres de la famille de Jésus, comme le frère de Jésus appelé Joseph Barsabbas ou celui appelé Judas qui dans le Codex Bezae des Actes des Apôtres est même surnommé Judas Barabbas, alors que dans les versions actuelles, il est nommé Judas Barsabas. De plus, cet événement se déroule en août 38, moins de 18 mois après le renvoi de Ponce Pilate par Lucius Vitellius « pour qu’il s’explique auprès de l’empereur ». Comme pour Jésus, on met au surnommé Karabas une chlamyde ou une natte en guise de vêtement royal, une couronne improvisée sur la tête et on lui donne un roseau en guise de sceptre, puis ceux qui lui impose cette mascarade font mine dérisoirement de le considérer comme un roi. Par ailleurs, le titre qui est donné au surnommé Karabbas par ces habitants grecs d’Alexandrie est singulièrement est un mot araméen et syriaque, celui de Maran qui se traduit par « Seigneur », titre qui est très souvent donné à Jésus dans les évangiles. La langue courante en Palestine à l’époque étant le syriaque, c’est ce même mot de Maran qui devait être prononcé par les disciples de Jésus pour lui donner le titre de Seigneur. Enfin, cette mascarade avait pour but de se moquer d’Agrippa Ier, nouveau roi juif que Caligula vient de nommer, de passage à Alexandrie pour se rendre dans ses territoires, alors que Jésus a été condamné pour s’être proclamé « roi des Juifs » ou pour l’avoir été par ses partisans. (Wikipédia)
Mar Qui
Syndrome de Jerusalem ? Viens voir le Docteur.
#FéeCarabosse #Carabas #ChatBotté #Agrippa
Un cadeau pour le Roi, de la part du Marquis de Carabas !
L’un des buts de ZionKabbalah.com est la destruction, l’annihilation complète et définitive du Messianisme, qu’il soit chrétien ou juif, afin d’amener au Monde la Délivrance Finale. Aucune peuple ne peut prétendre être « Supérieur », « Élu », … aucune personne ne peut prétendre être « Roi des Juifs », « Grand Monarque », …
Le monde doit sortir de cette « maladie mentale », ce « syndrome de Jerusalem », maladie typiquement « masculine » car la Dimension Féminine du Divin est voilée pendant l’exil.
Seul Dieu est Roi.
« Melekh HaMachiah » (« Le Roi Messie »)
מלך המשיח
Guematria = 453
Le vrai Messianisme, c’est l’union de l’En Haut et de l’En Bas, des noms de Dieu YHVH et Elohim.
YHVH (26) + Elohim (86) = 112
Guematria de Machiah en transformation ATBASH (valeurs inversées) = 112
Dieu est UN.
Lorsque nous brisons la barrière entre matériel et spirituel, lorsque YHVH et Elohim sont unis, nous pouvons tous faire descendre en nous-mêmes une âme très haute, c’est cela à notre sens ce que nous appelons « Machiah ». Machiah est une sorte d’âme collective, et non un être en particulier.
Sur ZionKabbalah.com, vous trouverez des enseignements et des informations destinées à « ouvrir les yeux ». Nous ne prétendons pas détenir la vérité, mais souhaitons partager les résultats de nombreuses années de recherches. Comme vous pouvez le remarquer, l’immense majorité des enseignements publiés sur ce site sont « voilés », pour plusieurs raisons, à la manière de la Torah qui est un ensemble de « jeux de mots » et de « calculs ».
Les Évangiles sont des récits de type midrachique, originellement en hébreu, dont les paraboles traitent de la Délivrance. Lus à la lumière de l’hébreu et de la Kabbalah, les récits des Évangiles nous permettent de mieux comprendre le schisme provoqué il y a 2000 ans. Pris à la lettre, ces récits ont constitué la base du Christianisme, le plus gros mensonge de l’Histoire, et des abominations qui suivirent (guerres, esclavage, etc.).
Les dirigeants du Peuple Juif sont coupables de ne pas avoir su endiguer le fléau du Messianisme depuis l’époque du Roi Saul. Il n’aurait jamais du y avoir de roi humain à la tête du Royaume d’Israel.
Les dirigeants du Peuple Juif sont complices. Ne trouvez-vous pas étrange qu’à part quelques passages obscurs, rien dans le Talmud n’est écrit sur le schisme entre Judaïsme rabbinique et Christianisme ?
« Salut » / « Délivrance » se dit « Yeshoua » en hébreu. « Yeshoua » a donné « Jésus » en français.
« Yeshoua » représente la personnification de la Délivrance Finale et de nombreux récits écrits il y a environ 2000 ans parlent de ce sujet. Le Talmud nous enseigne que les « temps messianiques » ont commencé il y a 2000 ans. Cependant, les « kelim » (récipients spirituels) n’étaient pas prêts et cela a eu pour conséquence un gros « balagan » (« désordre » en hébreu).
« Je ne suis PAS le Messie ! »
La compréhension des événements qui se produisirent il y a 2000 ans est l’une des clés du Tikoun amenant à la Gueoula. C’est un terrain miné, car les conclusions que l’on en tire sont loin de plaire aux « religieux » et demande beaucoup d’humilité, notamment pour les Juifs et les Chrétiens. Pour quoi ? Car pour résumer en quelques mots nos conclusions : 1) Jésus n’est pas un personnage historique, il n’a jamais existé. 2) Il n’y a pas de « peuple élu », Dieu n’est pas si exigeant avec la « Loi » et souhaite faire une alliance universelle avec l’Humanité.
Selon Bernard Dubourg, « les rédacteurs néo-testamentaires, en écrivant en hébreu, savent qu’ils travaillent sur la langue sacrée-divine de la Torah ; mais ils savent aussi qu’ils travaillent sur une langue double, à la fois exotérique et ésotérique. Ils la travaillent donc à la fois en clair et dans le cadre de ses modes opératoires traditionnels (kabbalistiques, au sens étymologique du terme) ».
Nous vous invitions à lire les publications de ce chercheur disparu qui, à la manière de tous ceux qui ont fait des recherches sérieuses sur le sujet et sont arrivés aux mêmes conclusions, ont été ostracisés par la communauté scientifique.
Ci-dessous, vous trouverez des passages du troisième chapitre de son livre « L’Invention de Jésus » (Tome 1) qui traite du sens caché du célèbre conte de Perrault : « Le Chat Botté ».
« Les contes du monde entier contiennent beaucoup de mystères et de choses cachées. » (Rabbi Nahman de Breslev)
« Magdiel » est l’un des noms des Rois d’Edom (Genèse / Bereshit 36:43). Dans son commentaire, Rachi explique que Magdiel correspond à Rome (Pirké deRabbi Eliezer 38).
Magdiel correspond au tikoun d’Essav lors de la gueoula, qui raffine, embellit et donne encore plus de Grandeur (Grand : « Gadol ») au Créateur.
#MagdiEL
« Rome » peut se lire « Élevé », « Glorifié », « Magnifié » en hébreu. רום
#Rome
« Le chef Magdiel, le chef Iram. Tels sont les chefs d’Edom, selon leurs résidences dans le pays qu’ils occupaient ; tel fut Ésaü, le père d’Édom. » (Genèse 36:43) אַלּוּף מַגְדִּיאֵל אַלּוּף עִירָם אֵלֶּה אַלּוּפֵי אֱדוֹם לְמֹשְׁבֹתָם בְּאֶרֶץ אֲחֻזָּתָם הוּא עֵשָׂו אֲבִי אֱדוֹם
Guematria ordinale du verset (avec finales) = 611 = guematria de « Torah » תורה
#AideHomme
Iram עִירָם Guematria = 320
Le nombre 320 correspond à l’ensemble des Forces de Rigueur, qui sont les 320 étincelles tombées de la sefira ‘Hokhmah dans les klipot lors de la Shevirat HaKelim (« Brisure des Vases »).
Iram correspond au « Dévoilement des Trésors » qui a lieu pendant la Délivrance Finale, quand ces 320 étincelles ont été délivrées de leurs écorces.
« Roma » (« Rome ») רומא Guematria avec le kolel = 247 + 1 = 248 = guematria d’Abraham, « père d’une multitude » אברהם
En anglais, l’adjectif désuet « Rum » veut dire « Richement orné ».
Le proto-germanique Rūman a donné « Rum » qui signifie « Large », « Spacieux » en anglo-saxon et en danois ; « Rom » en norvégien (« Espace »).
Roma רומא Guematria pleine = 713 ריש וו מם אלף = guematria de « Techouva » (« Retour à Dieu ») תשובה
« Le but ultime de la Création est le don de la bonté infinie de Dieu à l’ensemble de Ses créatures. » (Ram’hal)
« Tous les chemins mènent à Rome » : quels que soient les chemins que l’Homme choisit dans sa vie, tous sans exception le conduiront au final à son élévation.
Magdiel מגדיאל
Guematria AtBash de « Magdiel » = 770 = guematria de « Tsarfat » (France)
Avant de devenir une fleur de lys, c’est une grenouille qui ornait les étendards du Roi Clovis. Les Mérovingiens étaient en effet en partie originaires des Pays-Bas actuels, connus pour leurs marécages.
La « Grenouille » et le « Temple » ont la même guematria en hébreu.
Certaines personnes décrivent le Machiah comme un « Singe » et l’assimilent à l’Antéchrist du Nouveau Testament.
Pourquoi un singe ? Car de nombreux écrits catholiques comparent Satan à un singe, qui « singe » Dieu, prenant les apparences de Dieu, l’imitant, afin de tromper les hommes.
Tertullien, théologien chrétien, déclara que « Satan est le Singe de Dieu ».
Il est intéressant de noter que dans le Judaïsme, le Machiah est également comparé à un « singeur ». En effet, la Kabbalah nous enseigne que l’âme du Machiah vient d’Atik, le niveau supérieur de la sefira Keter (Couronne).
Le terme Nassi, que l’on traduit habituellement en français par le mot « prince », a été employé en hébreu médiéval pour désigner soit des dirigeants réputés des communautés juives, en raison de leur appartenance aux familles aristocratiques, soit, comme il fut dans bon nombre des cas, des dirigeants spirituels dont la renommée leur assurait un ascendant particulier, qui dépassait le cadre de leur propre communauté(1). Tels furent par exemple les cas des chefs de la communauté de Rome, qui portaient ce titre aux XIe et XIIe siècles, se considérant comme les dirigeants du judaïsme d’Europe occidentale, ou bien d’Abraham Bar Khiya de Barcelone, reconnu au XIIe siècle comme chef des communautés de la Catalogne et de l’ Aragon ; par ailleurs, les chefs de la communauté de Barcelone furent qualifiés de Nassi, titre qui indiquait leur fonction, sans qu’il ait impliqué une succession familiale. En revanche, l’emploi de ce titre à Narbonne, depuis le XIe siècle et jusqu’au début du XIVe siècle représente un phénomène différent, à cause de son contenu particulier, au point qu’il faut le considérer comme un cas sui generis. En effet, ce qui est frappant dans le cas de Narbonne est que le titre Nassi ait été exclusivement réservé à la famille des dirigeants de la communauté, qui prétendait descendre du lignage du roi David, donc de la royauté biblique ; de surcroît, cette famille possédait un important patrimoine foncier dans la région. Enfin, elle dirigeait héréditairement l’école talmudique de Narbonne, ce qui ajoutait une dimension spirituelle à ses autres attributs.