« Ouvre mes yeux, pour que je puisse contempler les merveilles de ta Torah ! » (Tehilim / Psaume de David 119:18)
« Ouvre mes yeux » : « Gal Einay »
גל עיני
GaL (גל) = Dévoilement.
Le Mongol, le Bengali et le Gallois partagent la racine GaL et sont donc liés à la sefira Malkhout (la Royauté).
Exemples : La Horde d’Or (Mongolie), le Prince de Galles, Calcutta (« KolKata » en bengali, soit la « Malkhout » de la déesse Kali), etc.
Mongolie (Mongolia) מונגוליה Guematria en valeur réduite (mispar katan) = 33 = GaL (גל)
Capitale de la Mongolie : Oulan Bator
« Bat Or » signifie « Fille de la Lumière » en hébreu. C’est la sefira Malkhout (Royauté), la Présence Divine, la Shekhina.
Oulan Bator (אולאן בטור) Guematria en « Mispar Boneh » (ajout des valeurs précédentes pour chaque calcul de lettre) = 770
Mongolie (מונגוליה)
Guematria = 150
Oulan Bator (אולאן בטור)
= 305
Le calcul de la somme des diviseurs de 150 et 305 donne un résultat identique = 372, qui est la guematria des Sheva (שבע). qui signifie Sept. Le chiffre sept nous renvoie à nouveau à Malkhout, représentée par le 7ème jour.
Oulan Bator אולאן בטור Oulan signifie « Héros » en langue mongole, et Bator, « Rouge ».
Guematria de Bator
בטור
= 217 = Guematria de Gevourah
(216) avec le kollel.
Rouge = Gevourah (Puissance, Rigueur,…)
LUMIERE se dit « гэрэл » (prononcer « Guerel ») en langue mongole, qui est l’anagramme de רגל (Reguel), qui signifie Pied en hébreu.
Car lors de la Délivrance, le « Pied » du Goel (Libérateur) se pose sur Malkhout et la Shekhina (Présence Divine) resplendit de Lumière.
Lumière se dit « Golau » en gallois.
Lumière se dit « Louz » en Galicien.
Louz est le nom donné à « l’os indestrucatible », « l’os de lumière », et à la Ville Indestructible.
« Jacob appela cet endroit Béthel, mais Louz était d’abord le nom de la ville » (Genèse 28:19).
Pied se dit « хөл » (prononcer « G’ol ») en langue monGoLe.
« Or » = « Goula » en hawaïen.
Il est possible de lier chaque nation et chaque langue à une Sefira particulière et ainsi en faire sortir des « Lumières ».
MAIS : Conjonction qui permet d’indiquer une différence, une opposition, une précision, une objection ou une transition.
SI : Marque l’affirmation en réponse à une négation.
Tel est le « Secret du Mais Si », qui s’oppose à l’Exil.
Car le Machiah, le Messie, se démarque par sa différence, s’oppose et objecte, précise la Torah sur tous ses points, détruit les forces négatives et marque la transition vers un monde qui fait Un avec la Présence Divine.
Il y a plusieurs siècles, à Tsfat, en Galilée, Rabbi Ytshak Louria, le Ari Zal, était réuni avec ses disciples pour la lecture de la Torah à la synagogue. Il leur annonça que le Machiah allait aujourd’hui se dévoiler et monter à la Torah ! Le Ari Zal leur dit qu’ils devaient veiller à respecter scrupuleusement ce moment de grande sainteté, quoi qu’il puisse se passer.
Le premier appelé à la Torah fut appelé. Et soudain, apparut Avraham Avinou dans toute sa splendeur. Un grand silence régnait dans la synagogue pendant ce moment solennel et majestueux. Ce fut ensuite le tour d’Ytshak, de Yaakov, Moshe Rabbenou,… et chacun dans la synagogue éprouvait un profond respect pour chacun des grands personnages de la Torah.
Puis vint le moment fatidique, le moment où le Machiah allait être appelé à la Torah. Une voix appela « Machiah Ben David ! »… Soudain, les fidèles virent un personnage au comportement bizarre, entrer dans la synagogue par la fenêtre de la synagogue. Que faisait là un tel hurluberlu ? Il avait un accoutrement de bouffon, faisait des grimaces et des acrobaties. Les fidèles du Ari Zal ne purent retenir leurs moqueries à la vue de ce personnage si étrange.
Une grande obscurité tomba subitement dans la synagogue. Les patriarches, Moshe Rabbenou, le clown, tous avaient disparus.
Le Ari Zal avait un visage triste : le Machiah n’avait pas pu se dévoiler.
Dans notre société actuelle, il est très difficile de se faire entendre quand on n’appartient pas à un groupe politique, religieux, etc., si l’on n’a pas d’étiquette.
Cette histoire du Ari Zal nous enseigne qu’il faut parfois savoir « faire le fou », comme dit Rabbi Nahman de Breslev, pour retrouver l’Unité, réconcilier les contraires.
Le mot « Clown » vient du germanique « Klönne » signifiant « homme rustique, balourd », depuis un mot désignant, à l’origine, une « motte de terre ».
« Clown » se dit « Leitsane » en hébreu ליצן Guematria = 180
= guematria de « Panim » (« Visages ») פנים = « Inyan » (« Affaires ») ענין = « Poal » (« Action ») פעל = « Olaf » (« Enveloppé », « Dissimulé ») עלף
180 correspond à la transformation du Nom de Dieu YHVH en Akhas Beita, et donc au partsouf Zeir Anpin, le Petit Visage destiné à quitter sa fonction de « Clown » / « Homme rustre » pour devenir un « Clone » de Dieu. C’est par l’action, en améliorant ses midot, que le « Clone » se dévoile.
קלון
Les mot « Clone » et « Clown » retranscrits en hébreu (Kouf, Lamed, Vav, Noun) ont une valeur numérique de 186 (guematria pleine de letrre Kouf).
Cependant, le sens de ce mot, « Kalon », est tout autre : il signifie « Infamie », que nous devons transformer en « Couronne ».
Attaque des Clones / Attaque des Clowns
« Celui qui veut s’éloigner du mal, doit faire le fou quand il voit qu’il n’y a pas de vérité dans le monde. »
Rabbi Nahman de Breslev
À la cour du Roi, seul le bouffon a le droit de dire toute la vérité.
Lumière (« Or » אור), Secret (« Raz » רז) et Etranger (« Zar » זר) partagent la même guematria = 207.
Pour à la fois recevoir la Lumière et illuminer le monde, il faut s’ouvrir vers l’étranger, vers l’autre, vers ce qui est différent. Le monde n’aura alors plus de secrets pour nous.
Un mot proche, Tserouf, signifie Combinaison, Purification, Réunion, Liaison,…
Voici ce que dit le Rabbi de Loubavitch à propos du lien entre la France et le Tserouf :
Tsarfat (France en hébreu) est lié avec le mot Tserouf qui signifie Purification, comme il est écrit au sujet de la Délivrance « Beaucoup seront triés, épurés et passés au creuset (yitsarfou). » (Daniel, 12:10), car celle-ci vient à travers le « raffinement du monde ».
La France (Gaule = « Gallus » en latin, qui signifie aussi « Exil » en hébreu) amènera à la Gueoula (« Délivrance finale »). C’est le secret du nombre 770, de l’Etoile de David et l’Hexagone, de Yaakov et Essav.
Le secret du Nombre 770, c’est la guematria de Tsarfat, qui est également la valeur numérique de Beit Machiah (La Maison du Messie).
Le secret de l’Etoile de David et l’Hexagone, c’est le chiffre 6, le Vav, le lien. C’est leur complémentarité.
La France cristallise les forces les plus négatives et son raffinement propre marque la plénitude du raffinement du monde.
(Rabbi de Loubavitch)
Le secret des frères jumeaux Yaakov et Essav :
Il est écrit dans le Talmud que Edom (Essav) est constitué de deux peuples, Rome et Guermania.
Avec Clovis, les Francs ont réussi à « rassembler les contraires », c’est à dire faire le Tserouf, des mondes romains et germaniques.
Deux peuples constituent Essav : Rome et Guermania (Talmud Meguila 6a). Rome a 365 chefs, Guermania 300. Ces 2 peuples se font la guerre. S’ils se réunissaient sous un chef le monde serait dévasté.
Le Talmud a été écrit avant le couronnement de Clovis.
Il existe un lien profond entre la France et la Délivrance messianique. La raison en est que la plénitude du raffinement du monde est atteinte par le raffinement et l’élévation de la France.
(Rabbi de Loubavitch)
La France est le lieu du Tserouf de Rome et Germania, d’Essav et Jacob, des Royaumes de Judah et d’Israel.
La synergie entre la force supérieure d’Essav et la sagesse de Jacob sera la caractéristique déterminante des temps messianiques et constitue par là même la clé de leur avènement.
Situé face à un bâtiment par exemple, un PANneau, ou une PANcarte, nous donne des indications.
De la manière, le Visage (Panim) nous indique l’Intériorité (Pnimiout) d’un personne.
Notre visage est notre « panneau ».
Lorsque nous révélons le Divin en nous et dans le monde, notre visage « s’éclaire », nous devenons des « panneaux lumineux ».
L’Ange Metatron est aussi appelé Sar HaPanim, « le Prince du Visage ».
Lorsque le Zohar dit que Metatron est « la lumière brillante de la Shekhina » (Zohar), cela signifie que la Shekhina resplendit lorsqu’elle est unie à Zeir Anpin.
« L’Arche d’en Haut » est l’Arche de Metatron. (Midrash Rabba), Nombres 12:12)
METATRON est SHADAI lorsque le Saint, béni soit-il, descend dans le Monde de BRIYAH pour régner sur l’Arbre de la Connaissance du Bien et du Mal, le bien étant Métatron et le mal Samaël, le roi des démons. Métatron est un ange, le roi des anges, mais sous l’aspect de l’arbre de vie, le nom Shadai est Yesod d’Atsilout.
Zohar Ki Tetse
Guematria de Metatron מטטרון
= 314
Guematria de Shaddai שדי
= 314
Pi = 3,14…
Circonférence / Cercle / Balle / Boule
Les 5 li
Guematria de Metatron מטטרון
= 314
Guematria de Shaddai שדי
= 314
Pi = 3,14…
Circonférence / Cercle / Balle / Boule
Les 5 livres de la Torah commencent par les lettres Bet, Shin, Vav, Bet, et Dalet (Bereshit, Shemot, Vayikra, Bamidbar, Dvarim).
La racine STR se retrouve dans les mots MYSTERE et MASTER (Maître).
Mi (qui ?) et Ma (quoi ?) sont deux concepts importants en kabbalah.
Le Mystère, c’est le « Mi caché ».
Le Master, celui qui maîtrise la matière, c’est le « Ma caché ».
Master מאסטר Guematria = 310 = Guematria de « Yesh » יש Car le MaSter maîtrise le « Ma » et le « Yesh » pour accéder aux MyStères du « Mi » et du « Ein ». אין
M’être
Mi, extrémité du ciel d’en haut, et Ma, extrémité du ciel d’en bas. Et c’est là l’héritage de Jacob qui forme le trait d’union entre l’extrémité supérieure Mi et l’extrémité inférieure Ma, car il se tient au milieu d’elles. »
Zohar Bereshit 1a
Il est écrit : « Au commencement. » Rabbi Éléazar ouvrit une de ses conférences par l’exorde suivant : « Levez les yeux en haut et considérez qui a créé cela. » « Levez les yeux en haut », vers quel endroit ? Vers l’endroit où tous les regards sont tournés. Et quel est cet endroit ? C’est l’« ouverture des yeux ». Là vous apprendrez que le mystérieux Ancien, éternel objet des recherches, a créé cela. Et qui est-il ? « Mi » (= Qui). C’est celui qui est appelé l’« Extrémité du ciel », en haut, car tout est en son pouvoir. Et c’est parce qu’il est l’éternel objet des recherches, parce qu’il est dans une voie mystérieuse et parce qu’il ne se dévoile point qu’il est appelé « Mi » (= Qui); et au-delà il ne faut point approfondir c. Cette Extrémité supérieure du ciel est appelée « Mi » (= Qui). Mais il y a une autre extrémité en bas, appelée « Mâ » (= Quoi). Quelle différence y a-t-il entre l’une et l’autre ? La première, mystérieuse, appelée « Mi » est l’éternel objet des recherches ; et, après que l’homme a fait des ; recherches, après qu’il s’est efforcé de méditer et de remonter d’échelon en échelon jusqu’au dernier, il finit par arriver à « Mâ » (= Quoi). Qu’est-ce que tu as appris ? Qu’est-ce que tu as compris ? Qu’est-ce que tu as cherché ? Car tout est aussi mystérieux qu’auparavant. C’est à ce mystère que font allusion les paroles de l’écriture : « Mi » (= Quoi), je te prendrai à témoin, Mâ (= Quoi), je te ressemblerai. » Lorsque le Temple de Jérusalem fut détruit, une voix céleste se fit entendre et dit : « Mâ » (= Quoi) te donnera un témoignage », car chaque jour, dès les premiers jours de la création, j’ai témoigné, ainsi qu’il est écrit : « Je prends aujourd’hui à témoin le ciel et la terre. » « Mâ te ressemblera », c’est-à-dire te conférera des couronnes sacrées, tout à fait semblables aux siennes, et te rendra maître du monde, ainsi qu’il est écrit : « Est-ce là la ville d’une beauté si parfaite, etc. », et ailleurs, Jérusalem qui est bâtie comme une ville dont toutes les parties sont dans une parfaite harmonie entre elles. » « Mâ » (= Quoi) deviendra ton égal, c’est-à-dire il prendra en haut la même attitude que tu observeras en bas ; de même que le peuple sacré n’entre plus aujourd’hui dans les murs saints, de même je te promets de ne pas entrer dans ma résidence en haut avant que toutes les troupes soient entrées dans des murs en bas. Que cela te serve de consolation, puisque sous cette forme de « Quoi » je serai ton égal en toutes choses. Et s’il en est ainsi, « le débordement de tes maux est semblable à une mer ». Mais si tu penses que ton mal est sans guérison et sans fin, détrompe-toi, « Mi te guérira ». Car (Mi), celui qui est l’échelon supérieur du mystère et dont tout dépend, te guérira et te rétablira ; Mi, extrémité du ciel d’en haut, et Mâ, extrémité du ciel d’en bas. Et c’est là l’héritage de Jacob qui forme le trait d’union entre l’extrémité supérieure Mi et l’extrémité inférieure Mâ, car il se tient au milieu d’elles. Telle est la signification du verset : « Mi (= Qui) a créé cela ».
Zohar Bereshit 1a
« De » / « Depuis » (dans le sens de « Origine ») se dit « Mi » en hébreu.
Il y a cinq Partsoufim (« visages de Dieu », « configurations ») primaires : Arikh Anpin (le Long Visage), Abah (le Père), Imah (la Mère), Zeir Anpin (le Petit Visage), Malkhout (ou Noukva/Féminin, également désigné sous le terme de Shekhina)
Au dessus de ces 5 Partsoufim se trouve Atik, le Partsouf le plus élevé et donc le plus caché . Atik permet la présence de l’Infini au sein de ce qui est limité.
Atik correspond à l’intériorité d’Arikh Anpin. Le processus en Keter crée la capacité à continuer la construction des mondes et canaliser la Lumière sans fin aux niveaux inférieurs.
Atik est également désigné Atik Yomin, l’Ancien des Jours, dont parle Daniel :
Je continuai à regarder, lorsque des trônes furent dressés et un Ancien des Jours prit la place. Son vêtement avait la blancheur de la neige, et la chevelure de sa tête, celle de la laine éclatante son trône était des flammes étincelantes et ses roues un feu incandescent.
Je voyais comme cette corne engageait une guerre avec les saints et triomphait d’eux, jusqu’au moment où, l’Ancien des Jours étant venu, justice fut rendue aux saints du Dieu suprême, et le temps arriva où les saints furent mis en possession de la royauté.
Le système séfirotique est semblable à un programme informatique. Atik est la plus haute configuration kabbalistique, le principe premier créateur. De la même façon, lorsque l’on fait un clic-droit sur ordinateur, la première fonction est de copier.
Au commencement était le Verbe.
L’enchaînement des mondes pourrait se résumer à ces 3 fonctions : Copier (Atik) / Couper (Galout / Exil) / Coller (Gueoula / Délivrance)
Atik et « Lehatik » (qui signifie « Copier ») ont la même racine, car Atik permet de faire un « copier-coller » entre Ein Sof (le Sans Fin) et la Création.
Atik est la Malhout d’Adam Kadmon et est donc « Coupé du monde ».
C’est Atik qui fait la connexion entre les mondes et qui, lors de la Délivrance, va « Coller » YHVH et Elohim, c’est à dire de libérer la Shekhina. Mais sa mission est difficile (« Je suis belle mais je suis noire » dit la Shekhina). Il faut surmonter la Colère divine. Atik « colle Hé » : il rattache le dernier Hé du Nom YHVH.
On retrouve le son « CO » ou « COU » dans les 3 mots : Copier / Couper / Coller. CO et COU peuvent s’écrivent Kaf-Vav en hébreu, soit 26, qui est la guematria du Nom de Dieu YHVH.
Atik est à la fois Coupé et Collé au Ein Sof, et sa fonction est de Copier la lumière du Ein Sof dans les mondes inférieurs;
On retrouve le Nom YHVH dans tout le processus de l’enchaînement des mondes.
Lorsque l’on dit que Dieu cherche à avoir une « demeure » ici-bas, cela veut dire que notre but est faire de ce monde une « copie » du monde d’en-haut.
ATIK = COPIER (COP Yeh)
Pour partager, il faut d’abord copier.
COPIE = COP i (la Tête du i)
La Tête du i, c’est le Point. Le Point c’est Pou Un. Pou s’écrit Peh-Vav en hébreu, soit la guematria d’Elohim (86). La Tête du i, c’est Elohim Un.
La Pointe du Youd.
I signifie Je en anglais.
La Tête a la même prononciation que la lettre Tet en hébreu.
Tet est la 9ème lettre de l’alphabet.
9 et Neuf (nouveau).
La Tête c’est le Youd.
Coppe signifie Tête, Sommet, ou Couronne en Vieil Anglais. En allant plus loin, on voit que le mot est également lié à l’Araignée. https://en.wiktionary.org/wiki/cop
L’araignée. Le web. La toile.
Caput signifie Tête, Sommet, Commencement en latin et vient de le l’indo-européen commun *káput (« tête, pot ») qui donne aussi Haupt en allemand, head en anglais, etc. Ce radical indo-européen comporte la même dérivation métaphorique de « pot » à « tête » que l’on retrouve dans testa ; elle est fréquente dans toutes les langues (et variée → voir bocal, fiole, cruche, bol, pot et boule). Elle a pu se produire indépendamment en gotique, en sanskrit, etc., à partir de la même base, qui, pour le latin donne cupa et qui pour le grec ancien lie κεφαλή, kephalế (« tête ») et κύβας, kúbas (« récipient »). https://fr.wiktionary.org/wiki/caput
L’étude de la racine indo-européenne nous renvoie au sens du mot Atik et à son importance majeure : il signifie à la fois Tête et Récipient. Machiah, qui vient de Atik, est à la fois Tête et Pied. Copier = Cop + Pied
Le mot Copier vient du latin Copia, qui signifie Abondance et qui a donné Copieux en français. Copier, c’est reproduire, et donc créer de l’abondance. Cette Abondance, c’est celle d’Atik, le « Réservoir des âmes », dont la Lumière est Une et Miséricorde.
Le Baal Shem Tov, fondateur de la Hassidout, est né à Okopie.
Atik c’est A-Tik. A, c’est le Aleph, la Source primordial. Tik, Sac en hébreu, est le Récipient.
Source et récipient.
De nombreux mots français comportent cette racine, par exemple Capitale, Capitaine, Cap, Kippa…
To Cope signifie Faire Face en anglais.
Etymologiquement, le Copain est celui avec qui l’on mange le pain.
Copia signifie Couple en italien.
La Copie c’est l’Union.
Unir le microcosmosme et le macrocosme, le générale et le particulier (כלל ופרט = כו »פ).
Faisons l’homme à notre image.
La Kabbalah nous enseigne que les aspects masculins et féminins d’Atik Yomin sont attachés, mais collés « dos à dos ».
Cop signifie aussi Policier en anglais familier.
La Police, c’est la Peau Lisse, la Lumière Lisse (Peau se dit Or en hébreu et signifie également Lumière).
Police, c’est aussi Po Lys, Ici se trouve le Lys. (Po signifie Ici en hébreu).
C’est la Police, le Cop, qui fait respecter la Loi.
Dans 84 pays dans le monde, 112 est le numéro d’urgence, notamment pour appeler la Police.
112 = YHVH (26) + Elohim (86)
Aux USA, le numéro d’urgence est le 911, guematria de Reshit (Commencement, En tête) comme dans Bereshit.
Atik = Tête, Commencement, et … Secours (Délivrance)
Copper signifie Cuivre/Bronze en anglais. Les policiers américains portaient des badges en bronze, ce qui a donné l’anglais familier « cop » pour les désigner.
Magen David = Alliage Haut / Bas
Couper et Coup ont la même étymologie. L’Exil, c’est les Makot.
Cuivre se dit Nehoshet en hébreu et est lié au Nahash (Serpent).
Serpent d’airain.
Pour ne plus être dos à dos, il faut de la Coopération.
Faute de protection et de justice, il a été enlevé. Qui pourrait décrire sa destinée ? Car il s’est vu coupé du pays des vivants, les coups qui le frappaient avaient pour cause les péchés des peuples.
Pain (qui vient de « panis » en latin) est un homonyme du mot anglais « Pain » qui signifie « Douleur ».
Pourquoi la douleur ? Car lors de l’exil, l’homme doit gagner sa vie, son pain, « à la sueur de son front ».
Les Pains de Proposition « Lehem HaPanim » לחם הפנים, ou « Pain des Faces » correspondent eux aussi à la Douleur, ils sont associés à la sefirah Gvourah (la Rigueur). Dans le Temple, la table des Pains de Proposition était située au Nord, direction également liée à la Gvourah.
Guematria du Nom de Dieu YHVH יהוה
= 26
Pain (Lehem) לחם
= 78
Pain = YHVH X 3
Une des explications du sens du mot « Pain des Faces » (Lehem HaPanim) est que ces pains avaient la forme des Kerouvim (Chérubins), les anges situés sur l’Arche.
Ces anges se faisaient Face à Face.
La racine indo-européenne PAN signifie « Vêtement », « Voile », « Textile ».
En hawaïen, Face (« Panim » en hébreu) se dit « Maka » qui veut dire « Coup » en hébreu. Nous retrouvons ici le lien entre Pain et Coup (Le’hem HaPanim / Face / Pain dans la Gueule).
Même le hawaïen peut nous aider à percer les secrets de la Torah.
הוואי / Shem Havaye / YHVH
Si on étudie le mot de façon plus profonde, c’est à dire en « cassant la klipa » et en remontant à La Source, les Pains de Proposition, ou « Pain des Faces », correspondent, en argot français, au « PAIN dans la GUEULE », qui nous renvoie à nouveau à la Gvourah (Rigueur Divine).
Le japonais (yaPaNit) est lié à la sefira Gevourah. EN japonais, « Visage » se dit « Kao » 顔 (prononcer comme « K.O. » ou « Chaos »).
Le’hem HaPanim
Pains dans la Gueule
Proposition de la « Mafia » (« Boulangerie » en hébreu)
BoulAnge
Baker / BaCœuR / KRV
La Hassidout, la Kabbalah, nous enseignent que la Présence Divine se cache dans les choses les + grossières.
D’une façon surprenante, lors de la Délivrance finale, nous verrons que même les paroles « grossières » que nous avons apprises permettent d’apprendre la Sagesse Cachée.
« Pan » signifie « Gueule » / « Visage » en anglais (argot ancien).
Vignettes Panini : visages de joueurs de football.
L’Arbre de Vie (Etz Ha’Haïm) עץ החיים = 70+90+5+8+10+10+40 = 233
La Lumière de Dieu (« Or HaShem ») אור יהוה = 1+6+200+10+5+6+5 = 233
233 est un nombre de Fibonacci.
« L’Éternel-Dieu fit surgir du sol toute espèce d’arbres, beaux à voir et propres à la nourriture ; et l’Arbre de Vie au milieu du jardin, avec l’arbre de la science du bien et du mal. » (Bereshit / Genèse 2:9)
« Regel », pied, a la même guematria que « Ets HaHaïm », L’Arbre de Vie, qui resplendit lorsque la Sefirah Malkhout, la Shekhinah, est libérée.
Nous retrouvons la lettre Resh, 200, qui représente la dualité cosmologique et la racine GAL, 33, (Galout, Gueoula, Goel, etc.).
Les mots « Règle » et « Roi » ont la même racine indo-européenne : Reg. Le Maître du Monde fait de nous des rois/reines lorsque nous sommes droits et sublimons la sefirah Malkhout (symbolisée par le pied, « ReGeL »).
En français, plusieurs expressions liées aux pieds expriment le plaisir (« c’est le pied », « prendre son pied »,…), et en hébreu le mot REGEL רגל signifie également Fête. Les SHLOSHA REGALIM, sont les Trois Fêtes de Pèlerinage au Temple de Jerusalem, à savoir Pessah, Shavouot, et Souccot.
Le plaisir (« Taanoug ») vient du niveau le plus haut de l’Arbre de Vie, Keter, car lorsque le Corps, la Ressemblance, l’Arbre de Vie, fonctionne en Harmonie, de la tête aux pieds, il en découle un plaisir dans les plus hautes sphères célestes qui se déverse jusqu’à la Sefirah la plus basse, Malkhout.
Pour revenir aux français, le mot français « RIGOLe » vient du néerlandais regel « ligne droite », issu du latin regula « règle ». Une rigole est un conduit creusé au niveau du sol (Malkhout) et destiné à amener l’eau (les eaux d’en haut, Mayim Elyonim).
« Rivière » se dit « Gol » (гол) en langue mongole.
Un autre mot français, le verbe « RIGOLer », est également assimilé au plaisir. Il est dit que « Dieu a créé le monde dans un éclat de rire », et nous pourrons à nouveau ressentir cet éclat de rire lors de la Guéoula, lorsque les secrets de la Torah nous seront dévoilés et que les masques seront tombés, car le Goel (Sauveur) est Rigolo.
Le Nom de Dieu YHVH (יהוה) est formé des lettres Youd, Hé, Vav, et Hé. Le Youd est un « cadeau ». Le premier Hé la main qui donne. Le Vav représente la transmission. Le deuxième Hé la main qui reçoit. « Cadeau » se dit « Regal » en catalan. Quand le cadeau arrive dans les mains du deuxième Hé (ce Monde-ci), symbolisé par le pied (« Reguel » en hébreu), il en ressort une immense joie, un « régal ». Lors de la Délivrance Finale, chacun va « prendre son pied ».
Enfin, l’adjectif « RÉGALien » vient du latin « regalis » qui veut dire « royal ». Régalien signifie ce qui concerne, qui appartient en propre au Roi, au souverain, et est également lié à la Sefira Malkhout.
Pied / Foot / Faute
Pied se dit « Cos » en gaélique irlandais et signifie « Coupe » / « Verre » en hébreu (allusion à la sefira Malkhout, récipient par excellence de la Lumière Divine).
« Pied » se dit « Fotus » 𐍆𐍉𐍄𐌿𐍃 en Gothique, car Malkhout est comme un fœtus, comme un enfant qui n’est pas encore né.
Une langue liée au pied est le basque. « Pied » se dit « Oin » en basque.
« Pied » = פֿיס en Yiddish, et se prononce comme « Fils » (Zeir Anpin).
« Tout seul on va plus vite, à deux on va plus loin. » (Proverbe Yiddish)
Lors de la Délivrance Finale, quand le Nom de Dieu YHVH sera Un, lorsque le tikoun, la réparation du deuxième Hé aura été accompli, il en ressortira une grande joie, nous nous RÉGALerons.
Gal (גל), c’est la Roue, « Wheel » en anglais.
Machiah est celui qui est « Oint d’Wheel ».
« Mets de l’Huile ! »
#RegLys #LeRoiDuLys
Savez-vous planter Malkhout à la mode de chez nous ?
On la plante avec le Pied.
Kabbalah, Gnose, Guematria, Anthropologie, Linguistique, Métaphysique, Langue des Oiseaux, Humour, Rock et Poésie.