Situé face à un bâtiment par exemple, un PANneau, ou une PANcarte, nous donne des indications.
De la manière, le Visage (Panim) nous indique l’Intériorité (Pnimiout) d’un personne.
Notre visage est notre « panneau ».
Lorsque nous révélons le Divin en nous et dans le monde, notre visage « s’éclaire », nous devenons des « panneaux lumineux ».
L’Ange Metatron est aussi appelé Sar HaPanim, « le Prince du Visage ».
Lorsque le Zohar dit que Metatron est « la lumière brillante de la Shekhina » (Zohar), cela signifie que la Shekhina resplendit lorsqu’elle est unie à Zeir Anpin.
« L’Arche d’en Haut » est l’Arche de Metatron. (Midrash Rabba), Nombres 12:12)
Face à Face
METATRON est SHADAI lorsque le Saint, béni soit-il, descend dans le Monde de BRIYAH pour régner sur l’Arbre de la Connaissance du Bien et du Mal, le bien étant Métatron et le mal Samaël, le roi des démons. Métatron est un ange, le roi des anges, mais sous l’aspect de l’arbre de vie, le nom Shadai est Yesod d’Atsilout.
Zohar Ki Tetse
Guematria de Metatron מטטרון
= 314
Guematria de Shaddai שדי
= 314
Pi = 3,14…
Circonférence / Cercle / Balle / Boule
Les 5 li
Guematria de Metatron מטטרון
= 314
Guematria de Shaddai שדי
= 314
Pi = 3,14…
Circonférence / Cercle / Balle / Boule
Les 5 livres de la Torah commencent par les lettres Bet, Shin, Vav, Bet, et Dalet (Bereshit, Shemot, Vayikra, Bamidbar, Dvarim).
La racine STR se retrouve dans les mots MYSTERE et MASTER (Maître).
Mi (qui ?) et Ma (quoi ?) sont deux concepts importants en kabbalah.
Le Mystère, c’est le « Mi caché ».
Le Master, celui qui maîtrise la matière, c’est le « Ma caché ».
Master מאסטר Guematria = 310 = Guematria de « Yesh » יש Car le MaSter maîtrise le « Ma » et le « Yesh » pour accéder aux MyStères du « Mi » et du « Ein ». אין
M’être
Docteur Mi מי
Mi, extrémité du ciel d’en haut, et Ma, extrémité du ciel d’en bas. Et c’est là l’héritage de Jacob qui forme le trait d’union entre l’extrémité supérieure Mi et l’extrémité inférieure Ma, car il se tient au milieu d’elles. »
Zohar Bereshit 1a
Il est écrit : « Au commencement. » Rabbi Éléazar ouvrit une de ses conférences par l’exorde suivant : « Levez les yeux en haut et considérez qui a créé cela. » « Levez les yeux en haut », vers quel endroit ? Vers l’endroit où tous les regards sont tournés. Et quel est cet endroit ? C’est l’« ouverture des yeux ». Là vous apprendrez que le mystérieux Ancien, éternel objet des recherches, a créé cela. Et qui est-il ? « Mi » (= Qui). C’est celui qui est appelé l’« Extrémité du ciel », en haut, car tout est en son pouvoir. Et c’est parce qu’il est l’éternel objet des recherches, parce qu’il est dans une voie mystérieuse et parce qu’il ne se dévoile point qu’il est appelé « Mi » (= Qui); et au-delà il ne faut point approfondir c. Cette Extrémité supérieure du ciel est appelée « Mi » (= Qui). Mais il y a une autre extrémité en bas, appelée « Mâ » (= Quoi). Quelle différence y a-t-il entre l’une et l’autre ? La première, mystérieuse, appelée « Mi » est l’éternel objet des recherches ; et, après que l’homme a fait des ; recherches, après qu’il s’est efforcé de méditer et de remonter d’échelon en échelon jusqu’au dernier, il finit par arriver à « Mâ » (= Quoi). Qu’est-ce que tu as appris ? Qu’est-ce que tu as compris ? Qu’est-ce que tu as cherché ? Car tout est aussi mystérieux qu’auparavant. C’est à ce mystère que font allusion les paroles de l’écriture : « Mi » (= Quoi), je te prendrai à témoin, Mâ (= Quoi), je te ressemblerai. » Lorsque le Temple de Jérusalem fut détruit, une voix céleste se fit entendre et dit : « Mâ » (= Quoi) te donnera un témoignage », car chaque jour, dès les premiers jours de la création, j’ai témoigné, ainsi qu’il est écrit : « Je prends aujourd’hui à témoin le ciel et la terre. » « Mâ te ressemblera », c’est-à-dire te conférera des couronnes sacrées, tout à fait semblables aux siennes, et te rendra maître du monde, ainsi qu’il est écrit : « Est-ce là la ville d’une beauté si parfaite, etc. », et ailleurs, Jérusalem qui est bâtie comme une ville dont toutes les parties sont dans une parfaite harmonie entre elles. » « Mâ » (= Quoi) deviendra ton égal, c’est-à-dire il prendra en haut la même attitude que tu observeras en bas ; de même que le peuple sacré n’entre plus aujourd’hui dans les murs saints, de même je te promets de ne pas entrer dans ma résidence en haut avant que toutes les troupes soient entrées dans des murs en bas. Que cela te serve de consolation, puisque sous cette forme de « Quoi » je serai ton égal en toutes choses. Et s’il en est ainsi, « le débordement de tes maux est semblable à une mer ». Mais si tu penses que ton mal est sans guérison et sans fin, détrompe-toi, « Mi te guérira ». Car (Mi), celui qui est l’échelon supérieur du mystère et dont tout dépend, te guérira et te rétablira ; Mi, extrémité du ciel d’en haut, et Mâ, extrémité du ciel d’en bas. Et c’est là l’héritage de Jacob qui forme le trait d’union entre l’extrémité supérieure Mi et l’extrémité inférieure Mâ, car il se tient au milieu d’elles. Telle est la signification du verset : « Mi (= Qui) a créé cela ».
Il y a cinq Partsoufim (« visages de Dieu », « configurations ») primaires : Arikh Anpin (le Long Visage), Abah (le Père), Imah (la Mère), Zeir Anpin (le Petit Visage), Malkhout (ou Noukva/Féminin, également désigné sous le terme de Shekhina)
Au dessus de ces 5 Partsoufim se trouve Atik, le Partsouf le plus élevé et donc le plus caché . Atik permet la présence de l’Infini au sein de ce qui est limité.
Atik correspond à l’intériorité d’Arikh Anpin. Le processus en Keter crée la capacité à continuer la construction des mondes et canaliser la Lumière sans fin aux niveaux inférieurs.
Atik est également désigné Atik Yomin, l’Ancien des Jours, dont parle Daniel :
Je continuai à regarder, lorsque des trônes furent dressés et un Ancien des Jours prit la place. Son vêtement avait la blancheur de la neige, et la chevelure de sa tête, celle de la laine éclatante son trône était des flammes étincelantes et ses roues un feu incandescent.
Je voyais comme cette corne engageait une guerre avec les saints et triomphait d’eux, jusqu’au moment où, l’Ancien des Jours étant venu, justice fut rendue aux saints du Dieu suprême, et le temps arriva où les saints furent mis en possession de la royauté.
Le système séfirotique est semblable à un programme informatique. Atik est la plus haute configuration kabbalistique, le principe premier créateur. De la même façon, lorsque l’on fait un clic-droit sur ordinateur, la première fonction est de copier.
Au commencement était le Verbe.
L’enchaînement des mondes pourrait se résumer à ces 3 fonctions : Copier (Atik) / Couper (Galout / Exil) / Coller (Gueoula / Délivrance)
Atik et « Lehatik » (qui signifie « Copier ») ont la même racine, car Atik permet de faire un « copier-coller » entre Ein Sof (le Sans Fin) et la Création.
Atik est la Malhout d’Adam Kadmon et est donc « Coupé du monde ».
C’est Atik qui fait la connexion entre les mondes et qui, lors de la Délivrance, va « Coller » YHVH et Elohim, c’est à dire de libérer la Shekhina. Mais sa mission est difficile (« Je suis belle mais je suis noire » dit la Shekhina). Il faut surmonter la Colère divine. Atik « colle Hé » : il rattache le dernier Hé du Nom YHVH.
On retrouve le son « CO » ou « COU » dans les 3 mots : Copier / Couper / Coller. CO et COU peuvent s’écrivent Kaf-Vav en hébreu, soit 26, qui est la guematria du Nom de Dieu YHVH.
Atik est à la fois Coupé et Collé au Ein Sof, et sa fonction est de Copier la lumière du Ein Sof dans les mondes inférieurs;
On retrouve le Nom YHVH dans tout le processus de l’enchaînement des mondes.
Lorsque l’on dit que Dieu cherche à avoir une « demeure » ici-bas, cela veut dire que notre but est faire de ce monde une « copie » du monde d’en-haut.
ATIK = COPIER (COP Yeh)
Pour partager, il faut d’abord copier.
COPIE = COP i (la Tête du i)
La Tête du i, c’est le Point. Le Point c’est Pou Un. Pou s’écrit Peh-Vav en hébreu, soit la guematria d’Elohim (86). La Tête du i, c’est Elohim Un.
La Pointe du Youd.
I signifie Je en anglais.
La Tête a la même prononciation que la lettre Tet en hébreu.
Tet est la 9ème lettre de l’alphabet.
9 et Neuf (nouveau).
La Tête c’est le Youd.
Coppe signifie Tête, Sommet, ou Couronne en Vieil Anglais. En allant plus loin, on voit que le mot est également lié à l’Araignée. https://en.wiktionary.org/wiki/cop
L’araignée. Le web. La toile.
Caput signifie Tête, Sommet, Commencement en latin et vient de le l’indo-européen commun *káput (« tête, pot ») qui donne aussi Haupt en allemand, head en anglais, etc. Ce radical indo-européen comporte la même dérivation métaphorique de « pot » à « tête » que l’on retrouve dans testa ; elle est fréquente dans toutes les langues (et variée → voir bocal, fiole, cruche, bol, pot et boule). Elle a pu se produire indépendamment en gotique, en sanskrit, etc., à partir de la même base, qui, pour le latin donne cupa et qui pour le grec ancien lie κεφαλή, kephalế (« tête ») et κύβας, kúbas (« récipient »). https://fr.wiktionary.org/wiki/caput
L’étude de la racine indo-européenne nous renvoie au sens du mot Atik et à son importance majeure : il signifie à la fois Tête et Récipient. Machiah, qui vient de Atik, est à la fois Tête et Pied. Copier = Cop + Pied
Le mot Copier vient du latin Copia, qui signifie Abondance et qui a donné Copieux en français. Copier, c’est reproduire, et donc créer de l’abondance. Cette Abondance, c’est celle d’Atik, le « Réservoir des âmes », dont la Lumière est Une et Miséricorde.
Le Baal Shem Tov, fondateur de la Hassidout, est né à Okopie.
Atik c’est A-Tik. A, c’est le Aleph, la Source primordial. Tik, Sac en hébreu, est le Récipient.
Source et récipient.
De nombreux mots français comportent cette racine, par exemple Capitale, Capitaine, Cap, Kippa…
To Cope signifie Faire Face en anglais.
Etymologiquement, le Copain est celui avec qui l’on mange le pain.
Copia signifie Couple en italien.
La Copie c’est l’Union.
Unir le microcosmosme et le macrocosme, le générale et le particulier (כלל ופרט = כו »פ).
Faisons l’homme à notre image.
La Kabbalah nous enseigne que les aspects masculins et féminins d’Atik Yomin sont attachés, mais collés « dos à dos ».
Cop signifie aussi Policier en anglais familier.
La Police, c’est la Peau Lisse, la Lumière Lisse (Peau se dit Or en hébreu et signifie également Lumière).
Police, c’est aussi Po Lys, Ici se trouve le Lys. (Po signifie Ici en hébreu).
C’est la Police, le Cop, qui fait respecter la Loi.
Dans 84 pays dans le monde, 112 est le numéro d’urgence, notamment pour appeler la Police.
112 = YHVH (26) + Elohim (86)
Aux USA, le numéro d’urgence est le 911, guematria de Reshit (Commencement, En tête) comme dans Bereshit.
Atik = Tête, Commencement, et … Secours (Délivrance)
Copper signifie Cuivre/Bronze en anglais. Les policiers américains portaient des badges en bronze, ce qui a donné l’anglais familier « cop » pour les désigner.
Magen David = Alliage Haut / Bas
Couper et Coup ont la même étymologie. L’Exil, c’est les Makot.
Cuivre se dit Nehoshet en hébreu et est lié au Nahash (Serpent).
Serpent d’airain.
Pour ne plus être dos à dos, il faut de la Coopération.
Le Baal Shem Tov, fondateur de la Hassidout, est né à Okopie (Ukraine).
La Coupe
Faute de protection et de justice, il a été enlevé. Qui pourrait décrire sa destinée ? Car il s’est vu coupé du pays des vivants, les coups qui le frappaient avaient pour cause les péchés des peuples.
Certaines personnes décrivent le Machiah comme un « Singe » et l’assimilent à l’Antéchrist du Nouveau Testament.
Pourquoi un singe ? Car de nombreux écrits catholiques comparent Satan à un singe, qui « singe » Dieu, prenant les apparences de Dieu, l’imitant, afin de tromper les hommes.
Tertullien, théologien chrétien, déclara que « Satan est le Singe de Dieu ».
Il est intéressant de noter que dans le Judaïsme, le Machiah est également comparé à un « singeur ». En effet, la Kabbalah nous enseigne que l’âme du Machiah vient d’Atik, le niveau supérieur de la sefira Keter (Couronne).
L’animal symbole de la GauLe, la France, est le coq, TarneGoL תרנגול en hébreu.
Le coq possède la Binah, il est le premier à distinguer le jour de la nuit.
La guematria (valeur numérique) de la ragine GaL גל est de 33.
33 est l’indicatif téléphonique international de la France.
33 est le 137ème nombre premier.
Guematria de Kabbalah קבלה = 137
Le « Yetser Ara » (mauvais penchant) dominant en France (Tsarfat) est la débauche (« Pritsout »).
C’est la raison pour laquelle « Cock » en anglais familier signifie le sexe masculin, le penis.
Penis = Panis (« pain » en latin).
Par euphémisme le judaisme assimile le pain au sexe (Talmud Sanhedrin 75a).
La racine indo-européenne « G-h-el » signifie « Chanter » / « Crier » / « Lancer au loin »
« Coq » se dit « TarneGol » en hébreu, « Gallus » en latin, et « Rooster » en anglais.
« Gallus » en latin se lit comme « Galout » (prononciation ashkénaze) qui signifie « Exil » en hébreu..
« Rooster » peut se lire « Roue » + « Ster » (« caché » en hébreu). Le coq, c’est la « roue cachée ».
« La cervelle du coq est faite en forme d’un crapaud bien formé et qu’étant renversé de l’autre côté elle ressemble à une fleur de lys, qui sont les armes des Français et des Gaulois. » (Blaise de Vigenère, diplomate-alchimiste du XVIème siècle)
Tarn(Tourne)Gol.
Guematria pleine de « Tarnegol » (תרנגול)
= 1201
« Reviens, ô mon âme, à ta quiétude, car l’Eternel te comble de ses bienfaits. » (Tehilim / Psaume 116:7)
Une des clés de la Sagesse est la connaissance des chants d’oiseaux.
« Quand la prophétie se tait, le ciel parle par la voix des sages. À défaut de sages, l’avenir est révélé dans les songes, et, à défaut de songes, on peut le lire dans le chant des oiseaux. » (Zohar I, 183b)
« Oiseau témoin, oiseau signe, oiseau messager, oiseau dans le nid caché où le Messie attend son heure. » (Zohar II, 8b)
Par exemple, les canaris émettent des sons composés de 25 à 30 syllabes différentes. Chacune dure de 20 à 200 millisecondes. La répétition de ces syllabes forment des phrases (entre 500ms et 3s) qui elles-mêmes forment un chant (entre 5s et 15s).
On ne peut décrire Dieu par des théories soignées et faciles à comprendre.
Dieu est au delà de « ou » / « parce que » / « soit » / « donc » etc…
Dieu est au-delà des logiques.
Le libre-arbitre et le déterminisme existent simultanément. La vie est à la fois un monologue et un dialogue.
Si tu ne crois pas que tu peux changer toi-même et le monde qui t’entoure, alors tu es encore comme un esclave en Egypte.
Les Enfants d’Israel sortis d’Egypte ont dû accepter de tout abandonner, de relever le défi de laisser derrière eux leur ancienne logique de pensée.
Personne n’est banal. Chaque être humain a en lui des pouvoirs spécifiques à son âme, des pouvoirs souvent insoupçonnés.
L’Egypte (« Mitsraïm ») est une « Galout » (exil en hébreu), un « Goulet » (passage étroit), un « Goulot d’étranglement » (point d’un système limitant les performances globales d’un flux de production).
Sors d’Egypte !
Sors des limites, arrête d’imiter.
Sois toi-même.
Sors de « l’imite ».
Sois toi-même : cultive et fais resplendir ta propre personnalité, ne cherche pas à toujours rentrer dans le moule, ne sois pas un « être-on ».
« Faire d’un adversaire un allié constitue la plus complète et la plus efficace des victoires. » (Rabbi de Loubavitch)
L’Adversaire = Satan / Samael, le Mauvais Penchant, l’Ange de la Mort.
Dieu gère le monde seul. Tout provient de Lui, même le mal, l’Adversaire, illusion qui n’a été créée par Dieu que pour permettre le libre arbitre et nous donner du mérite.
Sans adversaire, il n’y a pas de victoire.
Cela signifie que nous reconnaissons que même le mal, même la mort, ont été créés par Dieu. Il n’y a rien d’autre que Lui.
La Kabbalah nous enseigne que nous pouvons dompter notre mauvais penchant (l’une des formes du Satan) jusqu’à l’utiliser pour faire le bien.