En hébreu, on appelle les « Frites », des « Tchips »
צ’יפס
Guematria = 240
= guematria d’Amalek, l’ennemi héréditaire d’Israel, qui cherche toujours à se « friter » avec les Hébreux
עמלק
#AccompagneMent
La frite est un bâtonnet de pomme de terre cuit dans de la graisse ou de l’huile. De même, Amalek est comparé à une personne qui saute dans de l’eau bouillante afin de refroidir la foi en Dieu de ceux qui sont sur le chemin de la sortie de l’exil (Midrash Tan’houma, Ki Tetsé 9).
La frite symbolise la junk food. Elle accompagne notamment le plat cher à l’homme d’après la chute : la chair d’un être mort (steak, poulet…).
#LâcheErre
Elle vient des pays Francs (peuple originaire des Pays-Bas / Belgique, très gros producteurs de patates), figure amalécite dont les dirigeants étaient connus pour leur cruauté au cours de l’Histoire (cf. la pratique de la faide, les croisades, etc.).
Pépin le Bref avait promis de protéger l’Église de Rome qui a toujours eu un lien particulier et fort avec le Royaume franc. C’est pour cela que la France est « fille aînée de l’Église / Amalek ».
Qui dit frites, dit Belgique, pays dont la capitale, Bruxelles, siège de la Commission européenne, symbolise le pouvoir politique d’Essav, dont Amalek est le petit-fils.
La Belgique est appelé le Plat Pays et Amalek signifie « Celui qui demeure dans la vallée ».
On dit des Amalécites qu’il détestaient le symbole de l’Alliance des Hébreux qui est la circoncision.
Selon Balaam, Amalek « était le premier des peuples; mais son avenir est voué à la perdition. » (Nombres 24:20)
Amalek, le mal, peut être symbolisé par une excroissance, un prépuce, une protubérance qui se multiplie si on ne l’élimine pas. C’est un tubercule, une patate.
Les Amérindiens appelaient la pomme de terre « Papa » mais les Espagnols la renommèrent « Patata » par respect pour le Pape.
Non, il ne faut pas respecter le Pape / Amalek.
Il faut se souvenir d’Amalek, ne pas oublier tout le mal qui a été fait dans ce monde au nom de l’Église de Rome. Et l’Humanité ne sera réellement sortie d’Égypte seulement que lorsqu’Edom sera tombé : lorsqu’il n’existera plus de Pape.
Dollar
דולר
Guematria = 240
עמלק
Amalek, c’est aussi le pouvoir du dollar, de l’argent : en français familier, une patate désigne un million d’ancien francs français, soit environ 15OO euros.
Qui dit frites dit Poutine, le nom de ce plat canadien composé de frites, de fromage et de sauce brune, mais aussi le nom d’un des pires ennemis de l’Humanité.
#OhPoutine #OhPurée #Amalek
‘Haïm Dynovisz
חיים דינוביץ
Guematria = 240
= guematria d’Amalek
Le Rav ‘Haïm Dynovisz, célèbre rabbin francophone prônant la « délivrance finale », est lui aussi un archétype d’Amalek.
Amalek attaque les « Hébreux » : ceux qui sortent de l’exil de leur prison mentale pour revenir à eux-mêmes, en « Israel ».
De même, le Rav Dynovisz, tel Amalek, cherche à attaquer ceux qui entament ce chemin vers la Terre Promise. Lui et ses sbires (des gens exécrables aux théories fascisantes tels Fabien Hababou et Yehiel Dray) sont des « patates » : des personnes imbéciles, qui vivent dans le dogme religieux (la pratique des mitzvot/commandements) et le mythe (et toutes les dérives extrémistes/complotistes que cela implique).
#PHommeDeTerre #Adam
Amalek se déguise en brebis / religieux. Il est prêt à tout pour casser la Malkhout et ce n’est pas un hasard s’il est surreprésenté chez les rabbins francophones les plus connus : comme ils le disent eux-mêmes, « la Délivrance vient de France ».
Le Rav Dynovisz incarne très bien l’archétype amalécite, mais il ne faut pas oublier des rabbins comme le Rav Ron Chaya, le Rav David Touitou, le Rav Avraham Ifrah…
Los Angeles
לוס אנג’לס
Guematria = 240
= guematria d’Amalek
עמלק
#Chips #CaliforniaHighwayPatrol
Amalek est « gonflé » : il se prend pour plus grand que ce qu’il est, il cherche à nous faire avaler ses bobards, son cinéma.
Amalek, c’est aussi Los Angeles, ou plutôt des démons qui se cachent sous l’apparence d’anges, de religieux : ce sont les textes religieux des grandes religions monothéistes qui ont inspiré les plus grands massacres de l’Humanité.
Mais tous ces textes, tous ces personnages bibliques, ce n’est que du mythe, du cinéma. Une belle histoire, un beau film, peuvent nous transporter, nous élever, mais aussi fausser nos jugements : il faut faire la part entre le mythe et la réalité.
#FreEdomFries #BigOne