« Là où il y a un roi, il y a une pute. »
Les puissants, les riches, les rois de ce monde sont souvent entourés de prostituées.
Il n’y a pas de lumière sans ombre : là où se trouve la dimension Malkhout (Royauté) se trouve la klipa (l’écorce spirituelle) de la Prostitution.
#TenteÀSion
« Le Zohar compare le mal à une prostituée engagée par le roi pour tenter le prince. Bien qu’elle déploie tous ses talents de séduction pour piéger le prince, elle espère en réalité – comme le roi – que le prince sera assez fort pour résister à ses avances. De façon analogue, le mal tente de nous tromper et de nous inciter à mal nous comporter, mais il ne fait en réalité que son travail et préférerait que nous ne lui prêtions aucune attention. Dès lors que nous sommes conscients de la véritable nature du mal, il nous est plus facile de lui résister. » (Rabbi de Loubavitch)
Les récits mythiques qui décrivent la lignée davidique, royale, ont en commun de parler d’inceste, de prostitution, etc.
Les deux filles de Loth ont couché avec leur père pour lui donner une descendance.
Tamar a dû se déguiser en prostituée pour s’unir avec Judas et enfanter Peretz.
Le père du Roi David lui, soupçonnait son fils de ne pas être son fils biologique…
La sefira Malkhout est de dimension féminine : elle représente la Présence Divine dans son royaume, notre monde. La dimension féminine est liée au cycle, à la figure du cercle, au « Or HaSovev » (la Lumière Entourante »), à une couronne…
« Péripapéticienne » vient du grec « Peripatetikos » (« Qui aime se promener, faire un tour »).
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La coquille Saint-Jacques est liée à Yaakov/Israel, soit la sefira Zeir Anpin (cf. article « Saint Jacques »). Zeir Anpin correspond au monde de Yetsira, celui de la Formation. Une madeleine est un gâteau qui, à l’origine, était moulé, formé dans une coquille « Saint-Jacques », c’est-à dire « Israel ». Chacun(e), par le raffinement de ses traits de caractère, à le potentiel de devenir « Israel » : à l’image de Dieu.
Il y a moule et moule. « Israel » signifie « Qui lutte avec Dieu » : chacun(e) doit devenir un « Jedi » qui lutte contre l’obscurité en sortant du formatage, en redevenant soi-même. Ainsi, on sortira du moule. On retrouvera le temps perdu…
En kabbalah, Rachel, la femme de Yaakov, est associée à la sefira Malkhout à laquelle Zeir Anpin doit s’unir. Pendant l’exil, elle pleure « comme une madeleine » mais un jour viendra où nous arrêterons de tourner en rond pour rentrer « à la maison ».
« Ainsi parle le Seigneur : Une voix retentit dans Rama, une voix plaintive, d’amers sanglots. C’est Rachel qui pleure ses enfants, qui ne veut pas se laisser consoler de ses fils perdus ! Or, dit le Seigneur, que ta voix cesse de gémir et tes yeux de pleurer, car il y aura une compensation à tes efforts, dit l’Eternel, ils reviendront du pays de l’ennemi.
Oui, il y a de l’espoir pour ton avenir, dit le Seigneur : tes enfants rentreront dans leur domaine. » (Jérémie 31:14-16)