Le Machiah (Messie) est celui qui « multipliera les pains dans la gueule » et « changera l’eau en vin ».
Dans le judaïsme, l’Eau représente la Torah.
Le Vin, lui, représente la Torah ésotérique.
Guematria de Yain יין (vin) = 70
Guematria de Sod סוד (secret) = 70
« Lorsque le vin (Yain) rentre le secret (Sod) sort. » (Talmud)
Le vin représente la Torah cachée qui doit révélée au MONDE, et pas seulement à un seul peuple.
…
Trop de Juifs, qui étudient une « Torah d’ombre », continuent de croire qu’un Non-Juif qui touche du vin le rend impur. Cela est inadmissible et reflète une incompréhension totale du Divin. Ceux qui s’obstinent en connaissance de cause sont des ennemis de Dieu et de la Paix. Faites Techouva. Repentissez-vous. Un Non-Juif ne rendra pas impur le vin en le touchant. Ceux qui continuent de préserver leur vin de toute « souillure » non-juive n’ont pas assez étudié la Torah, ils ont besoin de « pains dans la gueule ».
Bientôt cette halakha (loi juive) disparaîtra grâce à la Vrai Torah, la Torah de Lumière.
L’Humanité « boira du vin », car chaque homme, chaque femme, chaque enfant, aura accès à la Connaissance Divine.
Le football étant le sport le plus populaire au monde, Dieu n’a pas manqué d’y cacher les secrets de la Torah les plus prodigieux.
Chaque chose matérielle a son équivalent dans les mondes spirituels. Il existe des « matchs de football » dans le Monde d’En-haut tout comme il en existe dans le Monde d’En-bas.
L’important, c’est les 3 points.
Disposition des joueurs selon l’Arbre de Vie :
Gardien : Keter Aile Droite : ‘Ho’hmah / ‘Hessed / Netza’h Aile Gauche : Binah / Gevourah / Hod Défenseur Central : Daat Milieu de Terrain : Tiferet Milieu offensif : Yessod Avant-centre : Malhout
« Tiferet » veut dire “beauté” ou “splendeur”. Le milieu de terrain / meneur de jeu est responsable de l’harmonie de l’équipe, c’est celui qui fait le lien entre les opposés, entre les défenseurs et les attaquants ainsi qu’entre les 2 ailes / piliers de l’Arbre de Vie.
La Délivrance Finale est similaire à un gardien de buts qui sort de ses cages et qui donne la victoire en marquant un but à la dernière minute sur un retourné acrobatique.
« Gvoura » (attribut du Jugement, également appelé DIN) גבורה Guematria = 216 = 6 x 6 x 6
F=6ème lettre de l’alphabet FFF=666 Hexagone = 6 Côtés
En 1998 (666×3=1998) ZineDINe ZiDANe marque sur 2 corners en finale de la Coupe du Monde à Saint-DENiS (où sont enterrés les Rois de France)
Les mots Karan / Keren / Corne / Couronne / Coin / Corner sont très similaires. Rachi sur Exode 34:29 explique que « la Lumière brille et rayonne comme une sorte de Corne » : « Or, lorsque Moïse redescendit du mont Sinaï, tenant en main les deux tables du Statut, il ne savait pas que la peau de son visage était devenue « rayonnante » (« Karan Or ») lorsque Dieu lui avait parlé. »
« Au commencement Dieu créa le ciel » (Genèse 1:1) בראשית ברא אלהים את השמים Guematria = 1998
Lorsque le Ciel et la Terre sont séparés, lorsque nous ne faisons pas l’effort d’unifier l’En-Haut et l’En-Bas, alors s’abat le Din (la Rigueur).
Au Mont Sinaï les Enfants d’Israel virent une « lumière blanche ».
« Aspaklaria » = Lentille qui reflète la Lumière Divine.
Lumière = « Or » en hébreu.
En 1998, lors de la Coupe du Monde à Lens (« lens » = lentille en anglais), l’Or en blanc marque le but en Or.
#LaLumièreEstVenueDeLOrEnBlanc
La tradition juive hassidique enseigne, de façon imagée, qu’un Juste a le « coeur à droite ».
« Emmanuel » signifie « Dieu est avec nous » עמנואל
Photo : Emmanuel Petit mettant la main à droite pendant la Marseillaise (Coupe du Monde 1998 – France / Afrique du Sud). Il en rit encore.
Délivrance Finale = Chute d’Edom = Destruction du Messianisme = Finale contre la Croix. Si.
Comme le dit Thierry Roland dans ses commentaires, « Emmanuel Petit vient crucifier l’équipe du Brésil », « Quel pied, quel pied ! », et « On peut mourir tranquille ».
Tout finit bien car Dieu « se fait petit » et est « avec nous ».
La Délivrance (Gueoula) consiste à gagner la « Coupe du Monde ». Le Goël (Libérateur) mettra un coup de pied (Reguel) sur la planète Terre depuis l’Hexagone pour marquer le Goal.
Roy רוי Guematria = 216 = 6x6x6
La chanson « I will survive » (Je survivrai) fait référence à l’Exil de la Présence Divine et au DIN qui s’abat sur le monde.
Malgré l’Exil, je survivrai.
« I WILL SURVIVE »
« Goal » גול Guematria = 39
« Dieu est Un » (« YHVH Ehad »)
יהוה אחד
Guematria = 39
Le But de la Vie, c’est l’Unité Divine.
« L’Eternel sera Roi sur toute la Terre ; en ce jour, l’Eternel sera UN et Son Nom sera UN. » (Zacharie 14:9)
#Goal #Gueoula
La vrai Coupe du Monde, c’est l’Humanité qui crée un keli (receptacle), une « demeure » pour Dieu. C’est la sefira Malkhout (Royauté) réparée, la Shekhina (Présence Divine) délivrée de son exil, le Nom de Dieu qui est Un.
Et pour aller plus loin :
La Vérité, toute la Vérité : Le Complot dans le Complot.
Pour gagner la Coupe du Monde, il faut Aimer Jacob.
« Ouvre mes yeux, pour que je puisse contempler les merveilles de ta Torah ! » (Tehilim / Psaume de David 119:18)
« Ouvre mes yeux » : « Gal Einay »
גל עיני
GaL (גל) = Dévoilement.
Le Mongol, le Bengali et le Gallois partagent la racine GaL et sont donc liés à la sefira Malkhout (la Royauté).
Exemples : La Horde d’Or (Mongolie), le Prince de Galles, Calcutta (« KolKata » en bengali, soit la « Malkhout » de la déesse Kali), etc.
Mongolie (Mongolia) מונגוליה Guematria en valeur réduite (mispar katan) = 33 = GaL (גל)
Capitale de la Mongolie : Oulan Bator
« Bat Or » signifie « Fille de la Lumière » en hébreu. C’est la sefira Malkhout (Royauté), la Présence Divine, la Shekhina.
Oulan Bator (אולאן בטור) Guematria en « Mispar Boneh » (ajout des valeurs précédentes pour chaque calcul de lettre) = 770
Mongolie (מונגוליה)
Guematria = 150
Oulan Bator (אולאן בטור)
= 305
Le calcul de la somme des diviseurs de 150 et 305 donne un résultat identique = 372, qui est la guematria des Sheva (שבע). qui signifie Sept. Le chiffre sept nous renvoie à nouveau à Malkhout, représentée par le 7ème jour.
Oulan Bator אולאן בטור Oulan signifie « Héros » en langue mongole, et Bator, « Rouge ».
Guematria de Bator
בטור
= 217 = Guematria de Gevourah
(216) avec le kollel.
Rouge = Gevourah (Puissance, Rigueur,…)
LUMIERE se dit « гэрэл » (prononcer « Guerel ») en langue mongole, qui est l’anagramme de רגל (Reguel), qui signifie Pied en hébreu.
Car lors de la Délivrance, le « Pied » du Goel (Libérateur) se pose sur Malkhout et la Shekhina (Présence Divine) resplendit de Lumière.
Lumière se dit « Golau » en gallois.
Lumière se dit « Louz » en Galicien.
Louz est le nom donné à « l’os indestrucatible », « l’os de lumière », et à la Ville Indestructible.
« Jacob appela cet endroit Béthel, mais Louz était d’abord le nom de la ville » (Genèse 28:19).
Pied se dit « хөл » (prononcer « G’ol ») en langue monGoLe.
« Or » = « Goula » en hawaïen.
Il est possible de lier chaque nation et chaque langue à une Sefira particulière et ainsi en faire sortir des « Lumières ».
Il y a plusieurs siècles, à Tsfat, en Galilée, Rabbi Ytshak Louria, le Ari Zal, était réuni avec ses disciples pour la lecture de la Torah à la synagogue. Il leur annonça que le Machiah allait aujourd’hui se dévoiler et monter à la Torah ! Le Ari Zal leur dit qu’ils devaient veiller à respecter scrupuleusement ce moment de grande sainteté, quoi qu’il puisse se passer.
Le premier appelé à la Torah fut appelé. Et soudain, apparut Avraham Avinou dans toute sa splendeur. Un grand silence régnait dans la synagogue pendant ce moment solennel et majestueux. Ce fut ensuite le tour d’Ytshak, de Yaakov, Moshe Rabbenou,… et chacun dans la synagogue éprouvait un profond respect pour chacun des grands personnages de la Torah.
Puis vint le moment fatidique, le moment où le Machiah allait être appelé à la Torah. Une voix appela « Machiah Ben David ! »… Soudain, les fidèles virent un personnage au comportement bizarre, entrer dans la synagogue par la fenêtre de la synagogue. Que faisait là un tel hurluberlu ? Il avait un accoutrement de bouffon, faisait des grimaces et des acrobaties. Les fidèles du Ari Zal ne purent retenir leurs moqueries à la vue de ce personnage si étrange.
Une grande obscurité tomba subitement dans la synagogue. Les patriarches, Moshe Rabbenou, le clown, tous avaient disparus.
Le Ari Zal avait un visage triste : le Machiah n’avait pas pu se dévoiler.
Dans notre société actuelle, il est très difficile de se faire entendre quand on n’appartient pas à un groupe politique, religieux, etc., si l’on n’a pas d’étiquette.
Cette histoire du Ari Zal nous enseigne qu’il faut parfois savoir « faire le fou », comme dit Rabbi Nahman de Breslev, pour retrouver l’Unité, réconcilier les contraires.
Le mot « Clown » vient du germanique « Klönne » signifiant « homme rustique, balourd », depuis un mot désignant, à l’origine, une « motte de terre ».
« Clown » se dit « Leitsane » en hébreu ליצן Guematria = 180
= guematria de « Panim » (« Visages ») פנים = « Inyan » (« Affaires ») ענין = « Poal » (« Action ») פעל = « Olaf » (« Enveloppé », « Dissimulé ») עלף
180 correspond à la transformation du Nom de Dieu YHVH en Akhas Beita, et donc au partsouf Zeir Anpin, le Petit Visage destiné à quitter sa fonction de « Clown » / « Homme rustre » pour devenir un « Clone » de Dieu. C’est par l’action, en améliorant ses midot, que le « Clone » se dévoile.
קלון
Les mot « Clone » et « Clown » retranscrits en hébreu (Kouf, Lamed, Vav, Noun) ont une valeur numérique de 186 (guematria pleine de letrre Kouf).
Cependant, le sens de ce mot, « Kalon », est tout autre : il signifie « Infamie », que nous devons transformer en « Couronne ».
Attaque des Clones / Attaque des Clowns
« Celui qui veut s’éloigner du mal, doit faire le fou quand il voit qu’il n’y a pas de vérité dans le monde. »
Rabbi Nahman de Breslev
À la cour du Roi, seul le bouffon a le droit de dire toute la vérité.
Il n’y a pas de Mi sans Ma, ni de Ma sans Mi.
Le Mi a besoin du Ma, et le Ma besoin du Mi.
Pas d’En-haut sans En-bas ni d’En-bas sans En-haut.
La tâche du Fé-MI-nin est de se lier au MI, celle du MA-sculin de se lier au MA.
Guematria de Mi (50) + Ma (45) = 95
95ème commandement de la Torah « Et ils me construiront un sanctuaire, pour que je réside au milieu d’eux » (Exode 25:8)
Les Eaux d’En-bas et les Eaux d’En-haut se rejoignent, se miment et forment un tout : L’Eau Une, celle qui ruisselle infiniment du haut vers le bas et du bas vers le haut.
L’Eau (HaMayim) המים Guematria = 95
« Et l’esprit de Dieu planait sur la surface des eaux. » (Genèse 1:2)
L’esprit de Dieu réside là où les opposés sont réunis.
Mascul-UN et Fémin-UN.
C’est l’Esprit de Dieu qui va construire le Sanctuaire.
Je le vois, mais ce n’est pas encore l’heure ; je le distingue ; mais il n’est pas proche : un astre s’élance de Jacob, et une comète surgit du sein d’Israël, qui écrasera les sommités de Moab et renversera tous les enfants de l’orgueil.
« Kokhav MiYaakov OuKam Shevet MiIsrael OuMakhats » contient les Rashei Tevot (initales) de « Kemo Shemo ».
Kmo Shemo signifie « Comme Son Nom » car lorsque les deux Messies sont réunis, le Nom de Dieu est UN.
Comme Son Nom (Kemo Shemo) כמו שמו Guematria = 412
Maison (Beit) בית = 412
Maison de David et Maison de Yossef (Beit David veBeit Yossef) בית דוד ובית יוסף
= 1000
1000 se dit « Elef » en hébreu et s’écrit comme « Alef » qui veut dire Un.
Machiah ben David et Machiah ben Yossef construisent une Maison pour le Un.
Seuls 4 versets de la Bible ont une guematria totale de 1000. Tous sont des versets des Tehilim, les Psaumes de David : 30:8, 59:17, 116:14, et 116:18.
Lumière (« Or » אור), Secret (« Raz » רז) et Etranger (« Zar » זר) partagent la même guematria = 207.
Pour à la fois recevoir la Lumière et illuminer le monde, il faut s’ouvrir vers l’étranger, vers l’autre, vers ce qui est différent. Le monde n’aura alors plus de secrets pour nous.
La racine STR se retrouve dans les mots MYSTERE et MASTER (Maître).
Mi (qui ?) et Ma (quoi ?) sont deux concepts importants en kabbalah.
Le Mystère, c’est le « Mi caché ».
Le Master, celui qui maîtrise la matière, c’est le « Ma caché ».
Master מאסטר Guematria = 310 = Guematria de « Yesh » יש Car le MaSter maîtrise le « Ma » et le « Yesh » pour accéder aux MyStères du « Mi » et du « Ein ». אין
M’être
Mi, extrémité du ciel d’en haut, et Ma, extrémité du ciel d’en bas. Et c’est là l’héritage de Jacob qui forme le trait d’union entre l’extrémité supérieure Mi et l’extrémité inférieure Ma, car il se tient au milieu d’elles. »
Zohar Bereshit 1a
Il est écrit : « Au commencement. » Rabbi Éléazar ouvrit une de ses conférences par l’exorde suivant : « Levez les yeux en haut et considérez qui a créé cela. » « Levez les yeux en haut », vers quel endroit ? Vers l’endroit où tous les regards sont tournés. Et quel est cet endroit ? C’est l’« ouverture des yeux ». Là vous apprendrez que le mystérieux Ancien, éternel objet des recherches, a créé cela. Et qui est-il ? « Mi » (= Qui). C’est celui qui est appelé l’« Extrémité du ciel », en haut, car tout est en son pouvoir. Et c’est parce qu’il est l’éternel objet des recherches, parce qu’il est dans une voie mystérieuse et parce qu’il ne se dévoile point qu’il est appelé « Mi » (= Qui); et au-delà il ne faut point approfondir c. Cette Extrémité supérieure du ciel est appelée « Mi » (= Qui). Mais il y a une autre extrémité en bas, appelée « Mâ » (= Quoi). Quelle différence y a-t-il entre l’une et l’autre ? La première, mystérieuse, appelée « Mi » est l’éternel objet des recherches ; et, après que l’homme a fait des ; recherches, après qu’il s’est efforcé de méditer et de remonter d’échelon en échelon jusqu’au dernier, il finit par arriver à « Mâ » (= Quoi). Qu’est-ce que tu as appris ? Qu’est-ce que tu as compris ? Qu’est-ce que tu as cherché ? Car tout est aussi mystérieux qu’auparavant. C’est à ce mystère que font allusion les paroles de l’écriture : « Mi » (= Quoi), je te prendrai à témoin, Mâ (= Quoi), je te ressemblerai. » Lorsque le Temple de Jérusalem fut détruit, une voix céleste se fit entendre et dit : « Mâ » (= Quoi) te donnera un témoignage », car chaque jour, dès les premiers jours de la création, j’ai témoigné, ainsi qu’il est écrit : « Je prends aujourd’hui à témoin le ciel et la terre. » « Mâ te ressemblera », c’est-à-dire te conférera des couronnes sacrées, tout à fait semblables aux siennes, et te rendra maître du monde, ainsi qu’il est écrit : « Est-ce là la ville d’une beauté si parfaite, etc. », et ailleurs, Jérusalem qui est bâtie comme une ville dont toutes les parties sont dans une parfaite harmonie entre elles. » « Mâ » (= Quoi) deviendra ton égal, c’est-à-dire il prendra en haut la même attitude que tu observeras en bas ; de même que le peuple sacré n’entre plus aujourd’hui dans les murs saints, de même je te promets de ne pas entrer dans ma résidence en haut avant que toutes les troupes soient entrées dans des murs en bas. Que cela te serve de consolation, puisque sous cette forme de « Quoi » je serai ton égal en toutes choses. Et s’il en est ainsi, « le débordement de tes maux est semblable à une mer ». Mais si tu penses que ton mal est sans guérison et sans fin, détrompe-toi, « Mi te guérira ». Car (Mi), celui qui est l’échelon supérieur du mystère et dont tout dépend, te guérira et te rétablira ; Mi, extrémité du ciel d’en haut, et Mâ, extrémité du ciel d’en bas. Et c’est là l’héritage de Jacob qui forme le trait d’union entre l’extrémité supérieure Mi et l’extrémité inférieure Mâ, car il se tient au milieu d’elles. Telle est la signification du verset : « Mi (= Qui) a créé cela ».
Zohar Bereshit 1a
« De » / « Depuis » (dans le sens de « Origine ») se dit « Mi » en hébreu.
Il y a cinq Partsoufim (« visages de Dieu », « configurations ») primaires : Arikh Anpin (le Long Visage), Abah (le Père), Imah (la Mère), Zeir Anpin (le Petit Visage), Malkhout (ou Noukva/Féminin, également désigné sous le terme de Shekhina)
Au dessus de ces 5 Partsoufim se trouve Atik, le Partsouf le plus élevé et donc le plus caché . Atik permet la présence de l’Infini au sein de ce qui est limité.
Atik correspond à l’intériorité d’Arikh Anpin. Le processus en Keter crée la capacité à continuer la construction des mondes et canaliser la Lumière sans fin aux niveaux inférieurs.
Atik est également désigné Atik Yomin, l’Ancien des Jours, dont parle Daniel :
Je continuai à regarder, lorsque des trônes furent dressés et un Ancien des Jours prit la place. Son vêtement avait la blancheur de la neige, et la chevelure de sa tête, celle de la laine éclatante son trône était des flammes étincelantes et ses roues un feu incandescent.
Je voyais comme cette corne engageait une guerre avec les saints et triomphait d’eux, jusqu’au moment où, l’Ancien des Jours étant venu, justice fut rendue aux saints du Dieu suprême, et le temps arriva où les saints furent mis en possession de la royauté.
Le système séfirotique est semblable à un programme informatique. Atik est la plus haute configuration kabbalistique, le principe premier créateur. De la même façon, lorsque l’on fait un clic-droit sur ordinateur, la première fonction est de copier.
Au commencement était le Verbe.
L’enchaînement des mondes pourrait se résumer à ces 3 fonctions : Copier (Atik) / Couper (Galout / Exil) / Coller (Gueoula / Délivrance)
Atik et « Lehatik » (qui signifie « Copier ») ont la même racine, car Atik permet de faire un « copier-coller » entre Ein Sof (le Sans Fin) et la Création.
Atik est la Malhout d’Adam Kadmon et est donc « Coupé du monde ».
C’est Atik qui fait la connexion entre les mondes et qui, lors de la Délivrance, va « Coller » YHVH et Elohim, c’est à dire de libérer la Shekhina. Mais sa mission est difficile (« Je suis belle mais je suis noire » dit la Shekhina). Il faut surmonter la Colère divine. Atik « colle Hé » : il rattache le dernier Hé du Nom YHVH.
On retrouve le son « CO » ou « COU » dans les 3 mots : Copier / Couper / Coller. CO et COU peuvent s’écrivent Kaf-Vav en hébreu, soit 26, qui est la guematria du Nom de Dieu YHVH.
Atik est à la fois Coupé et Collé au Ein Sof, et sa fonction est de Copier la lumière du Ein Sof dans les mondes inférieurs;
On retrouve le Nom YHVH dans tout le processus de l’enchaînement des mondes.
Lorsque l’on dit que Dieu cherche à avoir une « demeure » ici-bas, cela veut dire que notre but est faire de ce monde une « copie » du monde d’en-haut.
ATIK = COPIER (COP Yeh)
Pour partager, il faut d’abord copier.
COPIE = COP i (la Tête du i)
La Tête du i, c’est le Point. Le Point c’est Pou Un. Pou s’écrit Peh-Vav en hébreu, soit la guematria d’Elohim (86). La Tête du i, c’est Elohim Un.
La Pointe du Youd.
I signifie Je en anglais.
La Tête a la même prononciation que la lettre Tet en hébreu.
Tet est la 9ème lettre de l’alphabet.
9 et Neuf (nouveau).
La Tête c’est le Youd.
Coppe signifie Tête, Sommet, ou Couronne en Vieil Anglais. En allant plus loin, on voit que le mot est également lié à l’Araignée. https://en.wiktionary.org/wiki/cop
L’araignée. Le web. La toile.
Caput signifie Tête, Sommet, Commencement en latin et vient de le l’indo-européen commun *káput (« tête, pot ») qui donne aussi Haupt en allemand, head en anglais, etc. Ce radical indo-européen comporte la même dérivation métaphorique de « pot » à « tête » que l’on retrouve dans testa ; elle est fréquente dans toutes les langues (et variée → voir bocal, fiole, cruche, bol, pot et boule). Elle a pu se produire indépendamment en gotique, en sanskrit, etc., à partir de la même base, qui, pour le latin donne cupa et qui pour le grec ancien lie κεφαλή, kephalế (« tête ») et κύβας, kúbas (« récipient »). https://fr.wiktionary.org/wiki/caput
L’étude de la racine indo-européenne nous renvoie au sens du mot Atik et à son importance majeure : il signifie à la fois Tête et Récipient. Machiah, qui vient de Atik, est à la fois Tête et Pied. Copier = Cop + Pied
Le mot Copier vient du latin Copia, qui signifie Abondance et qui a donné Copieux en français. Copier, c’est reproduire, et donc créer de l’abondance. Cette Abondance, c’est celle d’Atik, le « Réservoir des âmes », dont la Lumière est Une et Miséricorde.
Le Baal Shem Tov, fondateur de la Hassidout, est né à Okopie.
Atik c’est A-Tik. A, c’est le Aleph, la Source primordial. Tik, Sac en hébreu, est le Récipient.
Source et récipient.
De nombreux mots français comportent cette racine, par exemple Capitale, Capitaine, Cap, Kippa…
To Cope signifie Faire Face en anglais.
Etymologiquement, le Copain est celui avec qui l’on mange le pain.
Copia signifie Couple en italien.
La Copie c’est l’Union.
Unir le microcosmosme et le macrocosme, le générale et le particulier (כלל ופרט = כו »פ).
Faisons l’homme à notre image.
La Kabbalah nous enseigne que les aspects masculins et féminins d’Atik Yomin sont attachés, mais collés « dos à dos ».
Cop signifie aussi Policier en anglais familier.
La Police, c’est la Peau Lisse, la Lumière Lisse (Peau se dit Or en hébreu et signifie également Lumière).
Police, c’est aussi Po Lys, Ici se trouve le Lys. (Po signifie Ici en hébreu).
C’est la Police, le Cop, qui fait respecter la Loi.
Dans 84 pays dans le monde, 112 est le numéro d’urgence, notamment pour appeler la Police.
112 = YHVH (26) + Elohim (86)
Aux USA, le numéro d’urgence est le 911, guematria de Reshit (Commencement, En tête) comme dans Bereshit.
Atik = Tête, Commencement, et … Secours (Délivrance)
Copper signifie Cuivre/Bronze en anglais. Les policiers américains portaient des badges en bronze, ce qui a donné l’anglais familier « cop » pour les désigner.
Magen David = Alliage Haut / Bas
Couper et Coup ont la même étymologie. L’Exil, c’est les Makot.
Cuivre se dit Nehoshet en hébreu et est lié au Nahash (Serpent).
Serpent d’airain.
Pour ne plus être dos à dos, il faut de la Coopération.
Faute de protection et de justice, il a été enlevé. Qui pourrait décrire sa destinée ? Car il s’est vu coupé du pays des vivants, les coups qui le frappaient avaient pour cause les péchés des peuples.
L’animal symbole de la GauLe, la France, est le coq, TarneGoL תרנגול en hébreu.
Le coq possède la Binah, il est le premier à distinguer le jour de la nuit.
La guematria (valeur numérique) de la ragine GaL גל est de 33.
33 est l’indicatif téléphonique international de la France.
33 est le 137ème nombre premier.
Guematria de Kabbalah קבלה = 137
Le « Yetser Ara » (mauvais penchant) dominant en France (Tsarfat) est la débauche (« Pritsout »).
C’est la raison pour laquelle « Cock » en anglais familier signifie le sexe masculin, le penis.
Penis = Panis (« pain » en latin).
Par euphémisme le judaisme assimile le pain au sexe (Talmud Sanhedrin 75a).
La racine indo-européenne « G-h-el » signifie « Chanter » / « Crier » / « Lancer au loin »
« Coq » se dit « TarneGol » en hébreu, « Gallus » en latin, et « Rooster » en anglais.
« Gallus » en latin se lit comme « Galout » (prononciation ashkénaze) qui signifie « Exil » en hébreu..
« Rooster » peut se lire « Roue » + « Ster » (« caché » en hébreu). Le coq, c’est la « roue cachée ».
« La cervelle du coq est faite en forme d’un crapaud bien formé et qu’étant renversé de l’autre côté elle ressemble à une fleur de lys, qui sont les armes des Français et des Gaulois. » (Blaise de Vigenère, diplomate-alchimiste du XVIème siècle)
Tarn(Tourne)Gol.
Guematria pleine de « Tarnegol » (תרנגול)
= 1201
« Reviens, ô mon âme, à ta quiétude, car l’Eternel te comble de ses bienfaits. » (Tehilim / Psaume 116:7)
Une des clés de la Sagesse est la connaissance des chants d’oiseaux.
« Quand la prophétie se tait, le ciel parle par la voix des sages. À défaut de sages, l’avenir est révélé dans les songes, et, à défaut de songes, on peut le lire dans le chant des oiseaux. » (Zohar I, 183b)
« Oiseau témoin, oiseau signe, oiseau messager, oiseau dans le nid caché où le Messie attend son heure. » (Zohar II, 8b)
Par exemple, les canaris émettent des sons composés de 25 à 30 syllabes différentes. Chacune dure de 20 à 200 millisecondes. La répétition de ces syllabes forment des phrases (entre 500ms et 3s) qui elles-mêmes forment un chant (entre 5s et 15s).