Certaines personnes décrivent le Machiah comme un « Singe » et l’assimilent à l’Antéchrist du Nouveau Testament.
Pourquoi un singe ? Car de nombreux écrits catholiques comparent Satan à un singe, qui « singe » Dieu, prenant les apparences de Dieu, l’imitant, afin de tromper les hommes.
Tertullien, théologien chrétien, déclara que « Satan est le Singe de Dieu ».
Il est intéressant de noter que dans le Judaïsme, le Machiah est également comparé à un « singeur ». En effet, la Kabbalah nous enseigne que l’âme du Machiah vient d’Atik, le niveau supérieur de la sefira Keter (Couronne).
Atik et « Lehatik » (qui signifie « copier ») ont la même racine, car Atik permet de faire un « copier-coller » entre Ein Sof (le Sans Fin) et la Création.
Le système séfirotique est semblable à un programme informatique.
Atik est la plus haute configuration kabbalistique, le principe premier créateur.
De la même façon, lorsque l’on fait un clic-droit sur ordinateur, la première fonction est de copier.
Le « singeur » peut donc être vu comme le Machiah pour certains (le niveau le plus haut), un « Anti-Machiah » (le niveau le plus bas) pour d’autres…
Le mot Singe vient du latin simus, apparenté à similis (semblable).
La carte SIM permet de copier puis stocker les informations spécifiques(données, applications) à l’abonné d’un réseau mobile. Elle permet de connecter le T-Eleph-One au Réseau.
Le Singe (Kof en hébreu) est assimilé à la lettre Kouf, qui à l’origine représentait un singe. ( http://hebreu-biblique.e-monsite.com/pages/version-sefarade/la-lettre-kouf-version-sefarade.html )
On le retrouve également dans un ancien idéogramme sous forme de hache (qui Coupe).
Kof est la seule lettre (hors finales) qui descend sous la ligne d’écriture, car cette lettre a la particularité d’éclairer ce qui est tout en bas.
Kouf, c’est la Coupe, le keli parfait qui contient l’En-haut et l’En-bas.
קופ
Kouf s’écrit Kouf-Vav-Peh et a pour guematria 186, soit celle du nom de Dieu Makom.
Nom de Dieu en Guematria Mispar Perati = 186
YHVH
יהוה
= 10 + 5 + 6 + 5
10×10 + 5×5 + 6×6 + 5×5
= 100 + 25 + 36 + 25
= 186
קלון
Les mot « Clone » et « Clown » retranscrits en hébreu (Kouf, Lamed, Vav, Noun) ont également une valeur numérique de 186.
Cependant, le sens de ce mot, « Kalon », est tout autre : il signifie « Infamie ».
Alef, de valeur 1, représente l’unité primordiale.
Youd, de valeur 10, la plénitude au niveau des sefirot.
Kouf, qui a pour valeur numérique 100, représente la plénitude cosmologique.
Commentant la sentence « Une personne qui vieillit est comme un singe » (Midrash Rabba, Ecclésiaste Rabba 1:3), le Rabbi de Kotzk explique : « De même que le singe imite l’homme, une personne qui vieillit s’imite elle-même et fait ce qu’elle faisait avant. En d’autres termes, la plupart d’entre nous, arrivés à un certain point de notre vie, nous nous contentons, consciemment ou non, de ce que nous sommes. Nous cessons alors d’aspirer à de plus hauts sommets spirituels et nous vivons le reste de nos jours dans l’imitation de nous-mêmes ! »
En anglais, singe se dit « Monkey ». Dans le mot Monkey, nous retrouvons le mot « Monk » qui signifie « Moine ». Le moine, celui qui se coupe du monde pour s’approcher de Dieu, est le véritable « singe ». Car Dieu nous demande de transformer le matériel en spirituel, Il nous demande de nous impliquer pleinement dans les affaires du monde, et non de nous retirer.
En utilisant la Langue des Oiseaux, le mot Singe peut être découpé ainsi : « Saint Je », c’est à dire l’ego, l’idolâtrie du Moi.
Il existe en effet de nombreux « singes » qui imitent Dieu de façon grossière, afin de chercher les honneurs des hommes.
C’est la raison pour laquelle « HaSatan » (le Satan) et Bnei Brak (ville ultra-orthodoxe israélienne) ont la même guematria (364).
De nombreux religieux sont comme des « singes » qui ne font que répéter sans réfléchir.
Saint Je.
12 Tribus
Zeir Anpin
Dévoilement
Lumière