La Bible est une oeuvre littéraire remplie de jeux de mots. Elle n’est pas un livre historique. La Traversée de la Mer Rouge ou le Royaume de Salomon sont des mythes, n’en déplaise aux « anti-c’est mythe ».
Les rédacteurs de la Bible étaient des adeptes de la réécriture, de la contre-histoire.
On retrouve dans le mot « Historia » le son correspondant à la racine « Ster » qui signifie « Caché » en hébreu.
היסטוריה
סתר
La contre-histoire permet de s’opposer au caché, de dévoiler, n’en déplaise aux antisémites.
La Bible est une invention humaine servant avant tout les classes dirigeantes, et cela est valable pour les autres livres des religions « monothéistes » issues du Judaisme. Cependant, en adoptant une approche raffinée, en conciliant les opposés, il est possible d’y trouver la Lumière.
« Même si tu crois t’être tellement éloigné de Dieu qu’il t’est impossible de te rapprocher de Lui, tu peux encore trouver la Divinité même là où tu as sombré. » (Rabbi Na’hman de Breslev)