Ani, Aïn et Sinaï

Le Aïn (« Rien » en hébreu) comprend la Lumière que l’on voit et celle que l’on ne voit pas.

Le Aïn et le Ani (« Je ») sont indissociables.
אין אני

C’est la raison pour laquelle la Torah a été donnée au SINAÏ, qui est l’anagramme de « AÏN IS » : « Le Aïn est ».

#Sinaï


Le Aïn nous permet de réparer le « Sin I », le « Péché du Je », de l’Ego.

Le Aïn correspond au secret de la première étape de la création des lettres : l’encre et le blanc qui les entourent faisant Un.