La présence de Dieu se trouve dans tous les aspects matériels et dans toutes les langues des nations du monde. (Rabbi Nahman de Breslev)
Ce que l’on appelle « Langue des oiseaux » dans les traditions ésotériques occidentales est identique aux procédés traditionnels d’interprétation de la Torah.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Langue_des_oiseaux
L’interprétation de la Torah par la « langue des oiseaux » effectuée par l’intermédiaire de toutes les langues du monde (pas seulement l’hébreu) est extrêmement puissante.
On retrouve ce procédé dans le Midrash avec le grec ancien.
Ce procédé a été pendant trop longtemps sous-estimé par ceux qui étudient la Torah.
Aujourd’hui, nous sommes à l’aube de la Révolution finale et avons accès aux langues et aux sagesses du monde entier.
À nous d’aller chercher les étincelles de sainteté qui y sont cachées.
…
L’hébreu, le français, l’anglais et l’anglais sont par nature à la base de la « Langue des Oiseaux » de la Nouvelle Torah.
Il s’agit de bien prendre en compte les différences de sonorité entre les langues, leurs propres particularités de sons produits par l’appareil phonatoire au niveau du thorax, du cou et de la tête, le symbolisme de ces lettres, et toutes leurs interconnexions.
Exemples :
– Les lettres ‘Het ou Khaf peuvent devenir un R en français ou en anglais .
– Les sons É et A peuvent directement faire références à l’une des lettres Hé du Nom de Dieu YHVH. Les letttes I ou Y au Youd. V ou W au Vav. Etc.
– Le son « ma » au Shem Mah (Quoi)
– Le son « mi » au Shem Mi (Qui)
– IER peut faire allusion à YeH (Youd Hé en hébreu)
– IA à YaH (Youd Hé avec vocalisation A)
– É à Hé (Hé)
– A à Ha (Hé avec vocalisation A)
etc.