Néron

Néron est né Lucius Domitius Ahenobarbus.
Le nom « Lucius » vient de « Lux » et signifie « Né avec la lumière, à l’aube ».

« Nèr » veut dire « Bougie » en hébreu ; « Nero », « Sa bougie ».
נרו
Selon le Talmud (Guitin 56a), l’Empereur Néron entra dans Jerusalem pour la détruire, mais il changea d’avis et se convertit au judaisme. Le célèbre Rabbi Meïr fut l’un de ses descendants.

En hébreu, « Meïr » signifie « Éclairant », « Lumineux », à rapprocher de la racine « Or » liée à la Lumière, et « Nour » liée au Feu.
מאיר

#LumiNèr #TheNumberOfTheBest #RetourDeFlamme #IWillReturn



Nero
נרו
Guematria = 256
= guematria de « HaMeïr » (« Le Lumineux »)
המאיר

#MatRix #Matrixide


« Nero » veut dire « Noir » en italien : la lumière sort de l’obscurité. En alchimie, l’Œuvre au noir est comparée à un « matricide » : il faut casser la matrice, « tuer l’amer » pour élever les étincelles de sainteté enfouies dans les points les plus bas de la terre.

#MèreMorte


« Nero » est l’anagramme de « Ranou » (« Chanter fort », cf. Jérémie 31:6) :
רנו
« En vérité, ainsi parle l’Eternel : Eclatez en chants joyeux au sujet de Jacob, en cris d’allégresse au sujet de la première des nations ; publiez à voix haute des louanges et dites : Assure, ô Seigneur, le salut de ton peuple, des derniers restes d’Israel ! »
כִּי כֹה אָמַר יְהוָה רָנּוּ לְיַעֲקֹב שִׂמְחָה וְצַהֲלוּ בְּרֹאשׁ הַגּוֹיִם הַשְׁמִיעוּ הַלְלוּ וְאִמְרוּ הוֹשַׁע יְהוָה אֶת עַמְּךָ אֵת שְׁאֵרִית יִשְׂרָאֵל


Néron (avec le Noun final)
נרון
Guematria = 306
= guematria de « HaEsh » (« Le Feu »)
האש


Même si sa venue à Jerusalem décrite par le Talmud n’a pas de valeur historique, Néron semble avoir été proche du Peuple Juif.
Sa femme Poppée intercéda plusieurs fois en faveur des Juifs et plusieurs sources rapportent sa conversion au Judaïsme.

À la fin du règne de Néron, des Juifs zélotes comme le cercle des descendants de Juda de Gamla prophétisèrent la chute de Rome. Ils voyaient dans l’Empire Romain et son Empereur la « Bête » du Livre de Daniel.

Neron Cesar
נרון קסר
Guematria = 666

Certains écrivaient « Nero » sans le Noun, c’est pourquoi sur certains vieux parchemins de l’Apocalypse le « Nombre de la Bête » fait 616.
נרו קסר


Le nom Nero a pour racine indo-européenne « Hner » qui signifie « Force ».

« Force » se dit « Gvourah » en hébreu.
גבורה
Guematria = 216
= 6 x 6 x 6

#TheNumberOfTheBest #LaForce #LaFarce


À la mort de Néron, une guerre civile commence, appelée l’Année des quatre empereurs. La situation est très confuse, et nombreux sont ceux qui croient que Néron n’est pas mort mais reviendra bientôt reprendre le pouvoir.

#IWillReturn


Mais Néron n’était pas seulement l’ennemi des Juifs zélotes. D’autres personnes avaient intérêt à colporter des rumeurs sur lui : les Flaviens, la dynastie d’empereurs romains qui succéda à la dynastie julio-claudienne, celle de Néron.

La dynastie des Flaviens, celle de Titus qui détruit le Temple de Jérusalem, est à l’origine de l’écriture des Évangiles. L’Empire Romain devait absolument se débarasser des Messianistes. Les Messianistes étaient des Juifs zélotes qui n’acceptaient pas l’invasion romaine et souhaitaient rétablir un Royaume d’Israel avec un descendant du Roi David à sa tête.

La Bible rapporte que Yaakov utilisa la ruse contre Essav pour prendre son droit d’aînesse. Les rôles allaient s’inverser. Les Romains eurent une idée de génie : contrer le messianisme juif en créant une nouvelle religion, plus favorable aux Romains.

Clément de Rome, l’un des tous premiers papes, appartenait à la dynastie flavienne et de nombreuses sources rapportent les liens étroits entre les Flaviens et les premiers Chrétiens.


Le peuple aimait Néron, contrairement aux élites romaines, et toute sortes de fausses accusations (meurtre, folie, débauche,…) ont été écrites sur lui afin de le discréditer. Par exemple, les écrits sur sa persécution des Chrétiens sont des inventions, des ajouts tardifs à ceux décrivant le Grand Incendie de Rome. Néron a en effet été accusé d’avoir brûlé des Chrétiens de Rome, la nuit, comme des torches.

#LumièresPourLesNations #CorpsNèr


Néron aimait la poésie, les arts. Il jouait de la lyre, à l’image du roi David. Il n’était pas un va-t-en-guerre comme les autres empereurs et ferma les portes du temple de Janus, les portes de la guerre. Il fit la paix avec les Parthes et était particulièrement apprécié en Orient.

Néron n’était ni cruel, ni fou. Il était simplement différent et fut condamné à tort par ceux qui n’acceptaient pas de se remettre en question, d’évoluer.

Dans le cirque messianique, certains veulent voir dans le Messie un acrobate. La tradition kabbalistique (Zohar, récits du Ari Zal,…), elle, associe le Machia’h à un clown, un « nez rond ».

Le clown, le bouffon, est en effet celui qui révèle la dualité, la multiplicité à l’intérieur de chaque être. Il déconcerte et oblige à être humble, à rechercher l’harmonie intérieure.

À la cour du Roi, seul le bouffon a le droit de dire toute la vérité.

Le bouffon s’attire la haine des forces obscures. Mais lorsqu’il est accepté, le clown est un facteur d’évolution, de délivrance.


« Le nombre 666 contient en lui-même, de façon cachée, un potentiel messianique élevé et sublime. » (Gaon de Vilna, d’après Mossad HaYessod)

#TheBest