Le Kaléidoscope

Kaléidoscope
קליידוסקופ
Guematria = 406

Toi (« Ata »)
אתה
Guematria = 406

Seul, on ne peut réfléchir à l’infini et en couleurs la lumière extérieure. On a besoin de l’autre, on a besoin de toi.

Dans la mesure où il possède à la fois un nombre fini d’éléments dans un espace fini et où il autorise pourtant un nombre indéfini de combinaisons, le kaléidoscope illustre la façon dont on peut créer quelque chose de nouveau par un simple réagencement de ce qui existait déjà.

Le kaléidoscope donne une figure réconciliant les termes apparemment opposés de la permanence et du changement, de l’identité et de la différence.

Ce ne sont pas les éléments qui font le tout, mais la forme que prend leur combinaison : le tout n’est pas réductible à la somme de ses parties.

Les cellules qui composent notre corps, des ongles de pieds au cerveau, sont en permanence remplacées par d’autres. Pourtant, notre personnalité, nos souvenirs, restent les mêmes. Nous restons nous-mêmes. Ce qui importe, ce n’est pas les atomes en eux-mêmes mais leur Agencement.